Herman Melville - Herman Melville - Moby Dick (Édition intégrale)

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Herman Melville : Moby Dick (Édition intégrale): краткое содержание, описание и аннотация

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" Appelez-moi Ismaël. Voici quelques années – peu importe combien – le porte-monnaie vide ou presque, rien ne me retenant à terre, je songeai à naviguer un peu et à voir l'étendue liquide du globe. C'est une méthode à moi pour secouer la mélancolie et rajeunir le sang. "
Attiré par la mer et le large, Ismaël, le narrateur, décide de partir à la chasse à la baleine. Il embarque sur le Pequod, baleinier commandé par le capitaine Achab, avec son nouvel ami Queequeg. Ismaël se rend vite compte que le bateau ne chasse pas uniquement pour alimenter le marché de la baleine. L'ouvrage Moby Dick de Herman Melviille est un monument érigé à la gloire de marins téméraires, ainsi qu'une ode à la folie humaine. Clairté du style, puissance des descriptions. Un roman grandiose.

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Le troisième second était Flask, natif de Tisbury, de Martha’s Vineyard. Un jeune gars, petit, râblé, haut en couleurs, très agressif envers les baleines et qui semblait penser que les grands léviathans lui avaient fait un affront personnel et héréditaire, de sorte qu’il se faisait un point d’honneur de détruire tous ceux qu’il rencontrait. Il était parfaitement réfractaire à tout respect pour les nombreuses merveilles de leur taille majestueuse et de leurs habitudes occultes, et complètement étranger à tout sentiment pouvant ressembler à l’appréhension d’un danger possible à les aborder ; selon sa chétive opinion, la prestigieuse baleine n’était rien de plus qu’une espèce de souris d’un fort grossissement, ou disons un rat d’eau, qui réclamait seulement une petite manœuvre, une quelconque dépense de temps et de peine, pour la tuer et la faire bouillir. Cette absence ignorante et inconsciente de toute crainte le rendait badin en matière de baleines, il poursuivait ces poissons pour l’amusement et un voyage de trois ans au-delà du cap Horn n’était qu’une joyeuse facétie qui durait ce laps de temps. De même que les clous de charpentier se divisent en clous forgés et en clous faits en série, l’humanité peut être soumise à pareille distinction. Le petit Flask faisait partie des clous forgés conçus pour river serré et durer longtemps. On l’appelait Cabrion à bord du Péquod , parce que sa forme rappelait ces bordages courts et carrés ainsi nommés par les baleiniers de l’Arctique, lesquels, pourvus d’allonges disposées en rayons, servent à protéger le navire contre le choc des glaces dans ces mers violentes.

Ces trois seconds étaient des hommes d’importance ; ce sont eux qui, selon l’usage universel, en tant que chefs de pirogue, avaient tout pouvoir sur trois de ces embarcations du Péquod . Ces trois chefs de baleinières étaient pareils à des capitaines de compagnies, dans cet ordre de bataille grandiose que le capitaine Achab allait sans doute ordonner pour aller sus à la baleine. Armés de leurs longues lances acérées, ils formaient un trio choisi de lanciers, tout comme les harponneurs figuraient des lanceurs de javelots.

Et parce que dans cette fameuse chasse, chaque second ou chef de baleinière, tel un chevalier goth de jadis, est accompagné de son timonier et harponneur qui, lorsque besoin en est, lui tend une nouvelle lance lorsque la première s’est gravement tordue ou coudée lors d’un premier assaut, parce qu’il s’établit de plus généralement, entre les deux hommes, une intimité et une amitié étroites, il n’est que séant que nous disions ici qui étaient les harponneurs du Péquod et à quel chef appartenait chacun d’entre eux.

Venait d’abord Queequeg que Starbuck, le premier second, avait choisi pour écuyer. Mais on connaît déjà Queequeg.

Venait ensuite Tashtego, un Indien pur sang de Gay Head, le promontoire situé le plus à l’ouest de Martha’s Vineyard, où l’on trouve encore les vestiges d’un village de Peaux-Rouges et qui a longuement fourni à l’île de Nantucket toute proche un grand nombre de ses plus intrépides harponneurs. Dans la baleinerie, on les appelle habituellement du nom générique de Gay-Headers. Tashtego avait de longs et fins cheveux noirs, les pommettes hautes, les yeux noirs n’étaient pas bridés comme ceux des Indiens, mais largement fendus comme ceux d’un Oriental et brûlaient d’un éclat polaire ; tout trahissait qu’il portait en ses veines, sans mélange, le sang de ces fiers guerriers chasseurs qui, à la poursuite du grand élan de la Nouvelle-Angleterre, avaient, l’arc à la main, parcouru les forêts primitives du continent. Ayant fini de suivre au flair les pistes des bêtes sauvages dans les bois, Tashtego, à présent, se lançait dans le sillage marin des grandes baleines ; l’infaillible harpon du fils remplaçait dignement la sûre flèche des ancêtres. À voir ses membres musclés, fauves, souples comme le serpent, on eût presque pu attacher foi aux superstitions de quelques premiers puritains et à croire à demi que ce farouche Indien était un fils du prince des Puissances de l’Air. Tashtego était l’écuyer de Stubb, le deuxième second.

Daggoo était le troisième harponneur. C’était un nègre géant, primitif, d’un noir de charbon, un Assuérus à la démarche de lion. Il portait aux oreilles deux boucles d’or si grandes que les marins les appelaient des chevilles à boucle et suggéraient d’y amarrer les drisses de hune. Daggoo s’était, dans son jeune âge, volontairement embarqué sur un baleinier en relâche dans une baie solitaire de son rivage natal. Il ne connaissait du monde que l’Afrique, Nantucket et les ports non civilisés les plus fréquentés des baleiniers ; depuis de nombreuses années, il menait cette vie téméraire de la chasse, à bord de navires dont les propriétaires se montraient circonspects à l’extrême sur le genre d’hommes qu’ils engageaient. Daggoo conservait intacte sa prestance barbare et, droit comme une girafe, il déplaçait sur les ponts la splendeur de ses six pieds cinq pouces, en chaussettes. En levant les yeux vers lui, une humilité physique vous envahissait. Un homme blanc, debout à ses côtés, faisait figure du drapeau blanc du parlementaire. Par un hasard curieux, ce nègre impérial, Assuérus Daggoo, était l’écuyer du petit Flask qui, près de lui, semblait un pion d’échecs. Quant au reste de l’équipage du Péquod , disons-le, pas un sur deux, jusqu’à ce jour, des milliers de matelots engagés dans la baleinerie américaine n’est américain, bien que presque tous les officiers le soient. Il en va des équipages baleiniers comme de l’armée, de la marine de guerre, de la marine marchande et du génie civil employé à la construction des canaux et des voies ferrées en Amérique. Je dis qu’il en va de même parce que, dans tous ces cas, le natif américain fournit aussi généreusement le cerveau que les autres nations les muscles. Un bon nombre de baleiniers viennent des Açores où les bâtiments en provenance de Nantucket font souvent escale dans le but d’augmenter leur équipage avec les soi-disant paysans de ces îles rocheuses. Les baleiniers groenlandais, partis de Hull ou de Londres, s’arrêtent de même aux Shetland, afin de recruter le complément d’hommes qu’ils y déposent à leur retour. Les insulaires semblent faire les meilleurs baleiniers, on ne sait trop pourquoi. À bord du Péquod , la majorité des hommes étaient des insulaires, des Isolatoes qui plus est, je dirais, car, non contents de ne rien connaître du continent commun à tous les hommes, chaque isolato vit à l’écart sur un continent à lui. Mais à présent, établis en communauté à bord, quel ensemble ils formaient ! Une délégation digne d’Anacharsis Clootz, recrutée dans toutes les îles de la mer, dans tous les coins de la terre, pour témoigner, avec le vieil Achab, de toutes les injustices du monde, à un banc dont bien peu sont revenus. Le petit Noir Pip n’est pas revenu, oh ! non ! il est parti avant. Pauvre gars d’Alabama ! Sur le lugubre gaillard d’avant du Péquod , vous le verrez sous peu battre son tambourin ; il jouait un prélude à l’éternité lorsqu’il fut mandé au gaillard d’arrière du ciel, pour se joindre aux anges et jouer du tambourin dans la gloire. Tenu pour un couard ici, salué en héros là-haut !

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