Herman Melville - Herman Melville - Moby Dick (Édition intégrale)

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Herman Melville : Moby Dick (Édition intégrale): краткое содержание, описание и аннотация

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" Appelez-moi Ismaël. Voici quelques années – peu importe combien – le porte-monnaie vide ou presque, rien ne me retenant à terre, je songeai à naviguer un peu et à voir l'étendue liquide du globe. C'est une méthode à moi pour secouer la mélancolie et rajeunir le sang. "
Attiré par la mer et le large, Ismaël, le narrateur, décide de partir à la chasse à la baleine. Il embarque sur le Pequod, baleinier commandé par le capitaine Achab, avec son nouvel ami Queequeg. Ismaël se rend vite compte que le bateau ne chasse pas uniquement pour alimenter le marché de la baleine. L'ouvrage Moby Dick de Herman Melviille est un monument érigé à la gloire de marins téméraires, ainsi qu'une ode à la folie humaine. Clairté du style, puissance des descriptions. Un roman grandiose.

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CHAPITRE XX Grande animation

Un jour ou deux passèrent et une activité débordante régnait sur le Péquod . Non seulement on réparait les vieilles voiles, mais on en embarquait des neuves, ainsi que des pièces de toiles et des glènes de filin. Bref, tout disait que l’armement du navire tirait à sa fin. Le capitaine Peleg ne descendait pour ainsi dire jamais à terre, mais restait assis dans son wigwam, surveillant étroitement les hommes ; Bildad s’employait à tous les achats et à la fourniture du matériel ; les hommes occupés dans la cale ou au gréement travaillaient très avant dans la nuit.

Le lendemain du jour où Queequeg eut signé son engagement, toutes les auberges où étaient descendus les membres de l’équipage reçurent le mot d’ordre d’amener les coffres à bord avant la nuit car on ne pouvait prévoir quand le navire lèverait l’ancre. De sorte que Queequeg et moi embarquâmes nos atours, résolus toutefois à dormir à terre jusqu’à la dernière minute. Mais il semble que les avertissements soient donnés très longtemps à l’avance, en pareil cas, car le navire n’appareilla pas de plusieurs jours. Il n’y a rien là d’étonnant, il y avait beaucoup à faire et le nombre de choses auquel il convenait de penser pour que l’armement du Péquod fût complet est incalculable.

Tout un chacun sait quelle multitude d’objets s’avèrent indispensables à la tenue d’une maison : lits, casseroles, couteaux et fourchettes, pelles et pincettes, serviettes, casse-noix, que sais-je encore ? Il en va de même sur un baleinier qui réclame pendant trois ans la tenue d’un ménage au milieu du vaste Océan, loin des épiciers, des marchands des quatre saisons, des médecins, des boulangers et des banquiers. Et si cela est vrai pour l’équipement d’un navire marchand, il n’y a pas de commune mesure avec l’armement réclamé par un baleinier. Car indépendamment de la durée prolongée du voyage, le matériel de pêche à lui seul se compose de nombreux objets introuvables dans les ports lointains ordinairement fréquentés. De plus, il faut s’en souvenir, de tous les navires, les baleiniers sont les plus exposés aux accidents de toute nature, plus particulièrement à la destruction et à la perte des engins dont dépend le succès du voyage, c’est pourquoi il y faut des pirogues de rechange, des avirons de rechange, des lignes et des harpons de rechange et de tout de rechange ou presque, hormis un capitaine de rechange et un navire de rechange.

Au moment de notre arrivée dans l’île, le Péquod avait déjà embarqué le plus gros de son chargement, y compris son bœuf salé, son pain, son eau, ses feuillards en fer et ses futailles en botte. Mais, comme je l’ai déjà dit, un va-et-vient perpétuel se prolongea longuement entre la terre et le navire pour l’embarquement de choses et d’autres, tant grandes que petites.

La personne la plus affairée à ces transports était la sœur du capitaine Bildad, une vieille dame maigre, à l’esprit on ne peut plus résolu et infatigable, de bon cœur en outre, qui paraissait décidée, si c’était en son pouvoir, à ce que rien ne manquât à bord, une fois que le Péquod serait engagé en haute mer. Une fois, elle arrivait avec un pot de légumes marinés pour l’office du cambusier ; une autre, avec un bouquet de plumes pour le bureau où le second tenait son journal de bord ; une autre encore, avec une pièce de flanelle destinée au creux d’un dos rhumatisant. Jamais femme ne mérita si bien son nom de Charité, tante Charité comme chacun disait. Et telle une sœur de charité, cette charitable tante Charité allait et venait de-ci de-là, prête à se mettre à l’œuvre, corps et âme, pour tout ce qui pourrait assurer la sécurité, le confort et la consolation de tous sur un navire où son bien-aimé frère Bildad avait ses intérêts, et sur lequel elle-même possédait une ou deux vingtaines de dollars d’économies.

Il était saisissant de voir cette quakeresse au grand cœur monter à bord, comme elle le fit le dernier jour, avec une longue cuillère pour les pots dans une main et une lance plus longue encore dans l’autre. Bildad et le capitaine Peleg ne restaient pas à la traîne. Bildad se promenait avec une interminable liste des objets nécessaires et à chaque arrivage nouveau il mettait une coche face à l’objet désigné sur son papier. De temps à autre, Peleg se dégageait de son antre de fanons, rugissant contre les hommes dans les écoutilles, rugissant vers les gréeurs à la tête du mât, et terminant ses rugissements à l’intérieur de son wigwam.

Au cours de ces jours de préparatifs, Queequeg et moi montâmes souvent sur le navire, et chaque fois je demandais des nouvelles du capitaine Achab, et quand il rejoindrait le bord. À ces questions, il était répondu qu’il allait de mieux en mieux et qu’on l’attendait d’un jour à l’autre ; entre-temps, les deux capitaines Peleg et Bildad pouvaient s’occuper de tout ce qui était nécessaire au bateau pour prendre la mer. Si j’avais été parfaitement sincère avec moi-même, j’aurais vu très clairement dans mon cœur que cela ne me plaisait qu’à moitié d’être engagé de cette manière pour accomplir un aussi long voyage, sans avoir une seule fois aperçu l’homme qui serait maître absolu du navire dès que celui-ci aurait gagné la haute mer. Mais lorsqu’un homme pressent qu’il s’est embarqué dans une mauvaise affaire, il lui arrive de lutter inconsciemment pour se cacher à lui-même ses soupçons. C’était bien à peu près ce que je faisais. Je ne disais rien et j’essayais de ne penser à rien.

Enfin, on annonça que le navire appareillerait probablement le lendemain. Aussi Queequeg et moi nous nous levâmes de bonne heure ce jour-là.

CHAPITRE XXI Nous embarquons

Il était près de six heures lorsque nous approchâmes du quai, mais l’aube grise était incertaine et brumeuse.

– Il y a des marins qui courent devant nous, si je vois bien, dis-je à Queequeg, ce ne peuvent pas être des ombres, je pense que nous allons lever l’ancre avec le soleil. Dépêchez-vous !

– Arrière ! s’écria une voix, et celui à qui elle appartenait fut en même temps dans notre dos et posa une main sur nos épaules respectives puis, se glissant entre nous, il s’arrêta, légèrement penché en avant et, dans cette lumière trouble, il nous regarda tour à tour d’étrange manière. C’était Élie.

– Vous embarquez ?

– Bas les pattes je vous prie, dis-je.

– Écoutez, vous, dit Queequeg en se secouant, vous, allez !

– Alors vous n’embarquez pas ?

– Oui, nous embarquons, mais en quoi cela vous regarde-t-il ? dis-je. Savez-vous, monsieur Élie, que je vous considère comme légèrement indiscret.

– Non, non, non, je ne m’en rendais pas compte, dit Élie, nous regardant alternativement Queequeg et moi d’un regard inexprimable, lent, étonné.

– Élie, dis-je, vous nous obligeriez, mon ami et moi, en vous retirant. Nous partons pour l’océan Indien et l’océan Pacifique et nous préférerions n’être pas retenus.

– Vous y allez vraiment ? Et vous revenez avant le petit déjeuner ?

– Il est toqué, Queequeg, dis-je, venez !

– Holà ! cria Élie, immobile, nous interpellant alors que nous avions fait quelques pas.

– Ne nous occupons pas de lui, lui dis-je, venez Queequeg.

Mais il nous rattrapa à nouveau et, me tapant soudain sur l’épaule, il dit : « N’avez-vous pas vu quelque chose qui ressemblait à des hommes se dirigeant vers le bateau il y a un moment ? »

Frappé par cette question simple et terre à terre, je répondis : « Oui, j’ai cru voir quatre ou cinq hommes, mais il faisait trop sombre pour que j’en sois sûr. »

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