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Charles Dickens: David Copperfield (Édition intégrale)

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Charles Dickens David Copperfield (Édition intégrale)

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David naît à Blunderstone, peu après la mort de son père, et vit heureux avec sa jeune mère Clara et leur bonne servante Peggotty. Cette douce idylle est brutalement interrompue lorsque, au retour de vacances passées à Yarmouth chez les Peggotty, il découvre que sa mère s'est remariée avec Mr Murdstone, qu'il ne connaît que de vue . Ce beau-père sinistre et cruel, qu'encourage sa sœur, Miss Jane Murdstone, vieille fille acariâtre, exige une totale soumission et, à cette fin, maltraite aussi bien la mère que l'enfant. Lors d'une scène où il utilise froidement le fouet afin de soi-disant " façonner " (" form ") son caractère, David lui mord la main et est aussitôt envoyé à Salem House, institution que dirige Mr Creakle, à l'ignorance crasse et la cruauté féroce. Parmi ses camarades se trouvent le laborieux mais joyeux Tommy Traddles qui, à chaque bastonnade, dessine des squelettes, et le brillant James Steerforth , " figure à la Byron " , qui le prend sous sa protection et lui inspire aussitôt une immense admiration. David Copperfield est l'un des romans les plus universellement connus de Charles Dickens.

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Table des matières

DAVID COPPERFIELD Charles Dickens DAVID COPPERFIELD Edition française

CHAPITRE PREMIER. Je viens au monde.

CHAPITRE II. J’observe.

CHAPITRE III. Un changement.

CHAPITRE IV. Je tombe en disgrâce.

CHAPITRE V. Je suis exilé de la maison paternelle.

CHAPITRE VI. J’agrandis le cercle de mes connaissances.

CHAPITRE VII. Mon premier semestre à Salem-House.

CHAPITRE VIII. Mes vacances, et en particulier certaine après-midi où je fus bien heureux.

CHAPITRE IX. Je n’oublierai jamais cet anniversaire de ma naissance.

CHAPITRE X. On me néglige d’abord, et puis me voilà pourvu.

CHAPITRE XI. Je commence à vivre à mon compte, ce qui ne m’amuse guère.

CHAPITRE XII. Comme cela ne m’amuse pas du tout de vivre à mon compte, je prends une grande résolution.

CHAPITRE XIII. J’exécute ma résolution.

CHAPITRE XIV. Ce que ma tante fait de moi.

CHAPITRE XV. Je recommence.

CHAPITRE XVI. Je change sous bien des rapports.

CHAPITRE XVII. Quelqu’un qui rencontre une bonne chance.

CHAPITRE XVIII. Un regard jeté en arrière.

CHAPITRE XIX. Je regarde autour de moi et je fais une découverte.

CHAPITRE XX. Chez Steerforth.

CHAPITRE XXI. La petite Émilie.

CHAPITRE XXII. Nouveaux personnages sur un ancien théâtre.

CHAPITRE XXIII. Je corrobore l’avis de M. Dick et je fais choix d’une profession.

CHAPITRE XXIV. Mes premiers excès.

CHAPITRE XXV. Le bon et le mauvais ange.

CHAPITRE XXVI. Me voilà tombé en captivité.

CHAPITRE XXVII. Tommy Traddles.

CHAPITRE XXVIII. Il faut que M. Micawber jette le gant à la société.

CHAPITRE XXIX. Je vais revoir Steerforth chez lui.

CHAPITRE XXX. Une perte.

CHAPITRE PREMIER. Une perte plus grave.

CHAPITRE II. Commencement d’un long voyage.

CHAPITRE III. Bonheur.

CHAPITRE IV. Ma tante me cause un grand étonnement.

CHAPITRE V. Abattement.

CHAPITRE VI. Enthousiasme.

CHAPITRE VII. Un peu d’eau froide jetée sur mon feu.

CHAPITRE VIII. Dissolution de société.

CHAPITRE IX. Wickfield-et-Heep.

CHAPITRE X. Triste voyage à l’aventure.

CHAPITRE XI. Les tantes de Dora.

CHAPITRE XII. Une noirceur.

CHAPITRE XIII. Encore un regard en arrière.

CHAPITRE XIV. Notre ménage.

CHAPITRE XV. M. Dick justifie la prédiction de ma tante.

CHAPITRE XVI. Des nouvelles.

CHAPITRE XVII. Marthe.

CHAPITRE XVIII. Événement domestique.

CHAPITRE XIX. Je suis enveloppé dans un mystère.

CHAPITRE XX. Le rêve de M. Peggotty se réalise.

CHAPITRE XXI. Préparatifs d’un plus long voyage.

CHAPITRE XXII. J’assiste à une explosion.

CHAPITRE XXIII. Encore un regard en arrière.

CHAPITRE XXIV. Les opérations de M. Micawber.

CHAPITRE XXV. La tempête.

CHAPITRE XXVI. La nouvelle et l’ancienne blessure.

CHAPITRE XXVII. Les émigrants.

CHAPITRE XXVIII. Absence.

CHAPITRE XXIX. Retour.

CHAPITRE XXX. Agnès.

CHAPITRE XXXI. On me montre deux intéressants pénitents.

CHAPITRE XXXII. Une étoile brille sur mon chemin.

CHAPITRE XXXIII. Un visiteur.

CHAPITRE XXXIV. Un dernier regard en arrière.

Charles Dickens

DAVID COPPERFIELD

Edition française

TOME 1

CHAPITRE PREMIER.

Je viens au monde.

Serai-je le héros de ma propre histoire ou quelque autre y prendra-t-il cette place ? C’est ce que ces pages vont apprendre au lecteur. Pour commencer par le commencement, je dirai donc que je suis né un vendredi, à minuit (du moins on me l’a dit, et je le crois). Et chose digne de remarque, l’horloge commença à sonner, et moi, je commençai à crier, au même instant.

Vu le jour et l’heure de ma naissance, la garde de ma mère et quelques commères du voisinage qui me portaient le plus vif intérêt longtemps avant que nous pussions faire mutuellement connaissance, déclarèrent : 1° que j’étais destiné à être malheureux dans cette vie ; 2° que j’aurais le privilège de voir des fantômes et des esprits. Tout enfant de l’un ou de l’autre sexe assez malheureux pour naître un vendredi soir vers minuit possédait invariablement, disaient-elles, ce double don.

Je ne m’occupe pas ici de leur première prédiction. La suite de cette histoire en prouvera la justesse ou la fausseté. Quant au second point, je me bornerai à remarquer que j’attends toujours, à moins que les revenants ne m’aient fait leur visite quand j’étais encore à la mamelle. Ce n’est pas que je me plaigne de ce retard, bien au contraire : et même si quelqu’un possède en ce moment cette portion de mon héritage, je l’autorise de tout mon cœur à la garder pour lui.

Je suis né coiffé : on mit ma coiffe en vente par la voie des annonces de journaux, au très-modique prix de quinze guinées. Je ne sais si c’est que les marins étaient alors à court d’argent, ou s’ils n’avaient pas la foi et préféraient se confier à des ceintures de liège, mais ce qu’il y a de positif, c’est qu’on ne reçut qu’une seule proposition ; elle vint d’un courtier de commerce qui offrait cinquante francs en argent, et le reste de la somme en vin de Xérès : il ne voulait pas payer davantage l’assurance de ne jamais se noyer. On renonça donc aux annonces qu’il fallut payer, bien entendu. Quant au xérès, ma pauvre mère venait de vendre le sien, ce n’était pas pour en acheter d’autre. Dix ans après on mit ma coiffe en loterie, à une demi-couronne le billet, il y en avait cinquante, et le gagnant devait ajouter cinq shillings en sus. J’assistai au tirage de la loterie, et je me rappelle que j’étais fort ennuyé et fort humilié de voir ainsi disposer d’une portion de mon individu. La coiffe fut gagnée par une vieille dame qui tira, bien à contre-cœur, de son sac les cinq shillings en gros sols, encore y manquait-il un penny ; mais ce fut en vain qu’on perdit son temps et son arithmétique à en convaincre la vieille dame. Le fait est que tout le monde vous dira dans le pays qu’elle ne s’est pas noyée, et qu’elle a eu le bonheur de mourir victorieusement dans son lit à quatre-vingt-douze ans. On m’a raconté que, jusqu’à son dernier soupir, elle s’est vantée de n’avoir jamais traversé l’eau, que sur un pont : souvent en buvant son thé (occupation qui lui plaisait fort), elle s’emportait contre l’impiété de ces marins et de ces voyageurs qui ont la présomption d’aller « vagabonder » au loin. En vain on lui représentait que sans cette coupable pratique, on manquerait de bien de petites douceurs, peut-être même de thé. Elle répliquait d’un ton toujours plus énergique et avec une confiance toujours plus entière dans la force de son raisonnement :

« Non, non, pas de vagabondage. »

Mais pour ne pas nous exposer à vagabonder nous-même, revenons à ma naissance.

Je suis né à Blunderstone, dans le comté de Suffolk ou dans ces environs-là, comme on dit. J’étais un enfant posthume. Lorsque mes yeux s’ouvrirent à la lumière de ce monde, mon père avait fermé les siens depuis plus de six mois. Il y a pour moi, même à présent, quelque chose d’étrange dans la pensée qu’il ne m’a jamais vu ; quelque chose de plus étrange encore dans le lointain souvenir qui me reste des jours de mon enfance passée non loin de la pierre blanche qui recouvrait son tombeau. Que de fois je me suis senti saisi alors d’une compassion indéfinissable pour ce pauvre tombeau couché tout seul au milieu du cimetière, par une nuit obscure, tandis qu’il faisait si chaud et si clair dans notre petit salon ! il me semblait qu’il y avait presque de la cruauté à le laisser là dehors, et à lui fermer si soigneusement notre porte.

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