• Пожаловаться

Charles Dickens: Les temps difficiles (Édition intégrale)

Здесь есть возможность читать онлайн «Charles Dickens: Les temps difficiles (Édition intégrale)» — ознакомительный отрывок электронной книги совершенно бесплатно, а после прочтения отрывка купить полную версию. В некоторых случаях присутствует краткое содержание. категория: unrecognised / на французском языке. Описание произведения, (предисловие) а так же отзывы посетителей доступны на портале. Библиотека «Либ Кат» — LibCat.ru создана для любителей полистать хорошую книжку и предлагает широкий выбор жанров:

любовные романы фантастика и фэнтези приключения детективы и триллеры эротика документальные научные юмористические анекдоты о бизнесе проза детские сказки о религиии новинки православные старинные про компьютеры программирование на английском домоводство поэзия

Выбрав категорию по душе Вы сможете найти действительно стоящие книги и насладиться погружением в мир воображения, прочувствовать переживания героев или узнать для себя что-то новое, совершить внутреннее открытие. Подробная информация для ознакомления по текущему запросу представлена ниже:

Charles Dickens Les temps difficiles (Édition intégrale)

Les temps difficiles (Édition intégrale): краткое содержание, описание и аннотация

Предлагаем к чтению аннотацию, описание, краткое содержание или предисловие (зависит от того, что написал сам автор книги «Les temps difficiles (Édition intégrale)»). Если вы не нашли необходимую информацию о книге — напишите в комментариях, мы постараемся отыскать её.

Roman social, " Les temps difficiles " a pour cadre la ville fictive de Coketown – image de Manchester, le grand centre textile, et de Preston où Charles Dickens a séjourné durant la grève de janvier 1854 – et montre les difficultés d'adaptation des deux classes sociales , la bourgeoisie d'affaires et les ouvriers , à la nouvelle économie issue de la révolution industrielle. L'auteur y dépeint avec un réalisme dénonciateur une classe ouvrière asservie, misérable et moutonnière, abrutie par le travail répétitif, livrée aux démagogues professionnels, que domine une bourgeoisie pragmatique et utilitariste, avide de profits et de pouvoir, persuadée de la nature quasi divine de ses droits et forte de la bonne conscience qu'elle puise dans les lois de l'économie de marché, mais dont il analyse les alibis et présente les travers avec une ironie mordante.

Charles Dickens: другие книги автора


Кто написал Les temps difficiles (Édition intégrale)? Узнайте фамилию, как зовут автора книги и список всех его произведений по сериям.

Les temps difficiles (Édition intégrale) — читать онлайн ознакомительный отрывок

Ниже представлен текст книги, разбитый по страницам. Система сохранения места последней прочитанной страницы, позволяет с удобством читать онлайн бесплатно книгу «Les temps difficiles (Édition intégrale)», без необходимости каждый раз заново искать на чём Вы остановились. Поставьте закладку, и сможете в любой момент перейти на страницу, на которой закончили чтение.

Тёмная тема

Шрифт:

Сбросить

Интервал:

Закладка:

Сделать

– La nommée Cécile Jupe, répliqua M. Gradgrind, regardant son ami de l’air d’un homme qui a quelque chose à se reprocher.

– Bon, attendez un instant ! s’écria de nouveau Bounderby. Comment y est-elle entrée ?

– Le fait est que, pour ma part, je viens de voir cette fille pour la première fois. N’étant pas de la ville, elle a dû s’adresser spécialement ici, à la maison, pour se faire admettre à l’école, et… oui, vous avez raison, Bounderby, vous avez raison…

– Bon, attendez un instants s’écria encore une fois Bounderby. Louise a vu cette fille le jour où elle est venue ici ?

– Bien certainement Louise l’a vue, car c’est elle qui m’a fait part de sa requête. Mais Louise l’a vue, je n’en doute pas, en présence de Mme Gradgrind.

– Que s’est-il passé, je vous prie, madame Gradgrind ? demanda Bounderby.

– Oh ! ma pauvre santé ! répliqua Mme Gradgrind. La petite désirait aller à l’école et M. Gradgrind désirait que les petites filles y allassent, et Louise et Thomas ont tous les deux assuré que la petite désirait y aller et que M. Gradgrind désirait que les petites filles y allassent ; je ne pouvais pas les contredire, le fait étant exact !

– Eh bien, voulez-vous m’en croire, Gradgrind ? dit M. Bounderby. Envoyez promener cette petite, et c’est une affaire faite !

– Vous m’avez presque convaincu.

– Faites-le tout de suite ! dit Bounderby. Telle a été ma devise dès ma plus tendre enfance. Quand l’idée me vint de quitter ma grand’mère et ma boîte à œufs, je les quittai tout de suite. Faites comme moi. Faites-le tout de suite !

– Êtes-vous disposé à faire un petit tour ? demanda son ami. J’ai l’adresse du père. Peut-être ne vous serait-il pas désagréable de venir faire un petit tour avec moi jusqu’à la ville ?

– Pas le moins du monde, dit M. Bounderby ; tant que vous voudrez, pourvu que ce soit tout de suite ! »

Sur ce, M. Bounderby jeta son chapeau sur sa tête. Il se coiffait toujours ainsi, ce qui indiquait un homme qui avait été beaucoup trop occupé à faire son chemin pour apprendre à mettre son chapeau ; et, les mains dans les poches, il gagna l’antichambre : « Je ne porte jamais de gants, avait-il coutume de dire. Je n’ai pas grimpé à l’échelle sociale avec des gants ; ils m’auraient trop gêné pour monter haut. »

Comme il avait une minute ou deux à perdre dans l’antichambre, en attendant que M. Gradgrind allât chercher l’adresse à l’étage supérieur, M Bounderby ouvrit la porte de la salle d’étude des enfants et jeta un coup d’œil dans cet appartement au plancher tapissé, lequel, malgré les bibliothèques et les collections scientifiques et une infinité d’instruments savants et philosophiques, avait plutôt l’air d’un salon de coiffeur pour la coupe des cheveux. Louise, la tête paresseusement appuyée contre la fenêtre, regardait au dehors sans rien voir, tandis que le jeune Thomas contemplait le feu avec des reniflements vindicatifs. Adam Smith et Malthus, les deux Gradgrind cadets, étaient absents ; ils assistaient, sous escorte, à un cours quelconque. La petite Jeanne, après avoir fabriqué sur son visage un beau masque de terre glaise humide avec ses larmes et le crayon d’ardoise dont elle s’était frotté la figure, avait fini par s’endormir sur des fractions décimales.

« C’est bon, Louise ; c’est bon, Thomas, dit M. Bounderby. Vous ne le ferez plus. Je réponds que votre père a fini de gronder. Eh bien, Louise, ça vaut un baiser, hein ?

– Vous pouvez en prendre un, si vous voulez, monsieur Bounderby, répliqua Louise, qui s’en vint avec un silence plein de froideur, après avoir lentement traversé la chambre, lui présenter la joue d’un air peu gracieux et en détournant le visage.

– Toujours mon enfant gâté, n’est-ce pas, Louise ? » dit M. Bounderby.

Il partit là-dessus ; mais elle, elle resta à la même place, essuyant avec un mouchoir la joue qu’il venait de baiser ; elle la frotta et refrotta si bien qu’elle en avait là peau tout en feu. Cinq minutes après, elle la frottait encore.

« À quoi penses-tu donc, Lou ? grommela son frère. Tu vas finir par te faire un trou dans la figure, à force de te frotter.

– Tu peut enlever le morceau avec ton canif, si tu veux, Tom ; je te promets de ne pas pleurer pour ça ! »

CHAPITRE V.

La tonique.

Cokeville, où se dirigèrent MM. Gradgrind et Bounderby était un des triomphes du Fait ; cette cité avait échappé à la contagion de l’Imagination avec autant de bonheur que Mme Gradgrind elle-même. Puisque Cokeville est la tonique, donnons l’accord avant de continuer notre air.

C’était une ville de briques rouges, ou plutôt de briques qui eussent été rouges si la fumée et les cendres l’avaient permis ; mais, telle qu’elle était, c’était une ville d’un rouge et noir peu naturels qui rappelaient le visage enluminé d’un sauvage. C’était une ville de machines et de hautes cheminées, d’où sortaient sans trêve ni repos d’interminables serpents de fumée qui se traînaient dans l’air sans jamais parvenir à se dérouler. Elle avait un canal bien noir et une rivière qui roulait des eaux empourprées par une teinture infecte, et de vastes bâtiments percés d’une infinité de croisées, qui résonnaient et tremblaient tout le long du jour, tandis que le piston des machines à vapeur s’élevait et s’abaissait avec monotonie, comme la tête d’un éléphant mélancolique. Elle renfermait plusieurs grandes rues qui se ressemblaient toutes, et une foule de petites rues qui se ressemblaient encore davantage, habitées par des gens qui se ressemblaient également, qui sortaient et rentraient aux mêmes heures, faisant résonner les mêmes pavés sous le même pas, pour aller faire la même besogne ; pour qui chaque jour était l’image de la veille et du lendemain, chaque année le pendant de celle qui l’avait précédée ou de celle qui allait suivre.

En somme, ces attributs étaient inséparables de l’industrie qui faisait vivre Cokeville ; mais, en revanche, elle ajoutait, disait-on, au bien-être de l’existence, des bienfaits qui se répandaient sur le monde entier et des ressources supplémentaires à ces élégances de la vie qui font plus de la moitié de la grande dame devant laquelle on ose à peine prononcer le nom de la cité enfumée. Les autres traits de la physionomie de Cokeville avaient quelque chose de plus local. – Les voici :

Vous n’y aperceviez rien qui ne rappelât l’image sévère du travail. Si les membres de quelque secte religieuse y élevaient une église (ainsi que l’avaient fait les membres de dix-huit sectes religieuses), ils en faisaient une espèce d’entrepôt de piété en briques rouges, surmonté parfois (mais seulement sur des modèles d’un style excessivement orné) d’une cloche suspendue dans une cage à perroquet. La solitaire exception à cette règle était la Nouvelle Église, édifice aux murs enduits de stuc, ayant un clocher carré au-dessus de la porte, terminé par quatre tourelles peu élevées qui ressemblaient à des jambes de bois enjolivées. Toutes les inscriptions monumentales étaient peintes de la même façon, en lettres sévères, noires et blanches. La prison aurait aussi bien pu être l’hôpital, l’hôpital aurait pu être la prison, l’hôtel de ville aurait pu être l’un ou l’autre de ces monuments ou tous les deux, ou n’importe quel autre édifice, vu qu’aucun détail de leur gracieuse architecture n’indiquait le contraire. Partout le fait, le fait, rien que le fait dans l’aspect matériel de la ville ; partout le fait, le fait, rien que le fait dans son aspect immatériel. L’école Mac Choakumchild n’était rien qu’un fait, et l’école de dessin n’était rien qu’un fait, et les rapports de maître à ouvrier n’étaient rien que des faits, et il ne se passait rien que des faits depuis l’hospice de la maternité jusqu’au cimetière ; enfin tout ce qui ne peut s’évaluer en chiffres, tout ce qui ne peut s’acheter au plus bas cours et se revendre au cours le plus élevé, n’est pas et ne sera jamais, in sæcula sæculorum. Amen.

Читать дальше
Тёмная тема

Шрифт:

Сбросить

Интервал:

Закладка:

Сделать

Похожие книги на «Les temps difficiles (Édition intégrale)»

Представляем Вашему вниманию похожие книги на «Les temps difficiles (Édition intégrale)» списком для выбора. Мы отобрали схожую по названию и смыслу литературу в надежде предоставить читателям больше вариантов отыскать новые, интересные, ещё не прочитанные произведения.


Отзывы о книге «Les temps difficiles (Édition intégrale)»

Обсуждение, отзывы о книге «Les temps difficiles (Édition intégrale)» и просто собственные мнения читателей. Оставьте ваши комментарии, напишите, что Вы думаете о произведении, его смысле или главных героях. Укажите что конкретно понравилось, а что нет, и почему Вы так считаете.