Frédéric Dard - Un éléphant, ça trompe

La sainte femme hoche la tête :

— Oh, les œufs, tu sais, avec mon foie fragile…

Cf. : Viva Bertaga, ouvrage dans lequel nous avons vu Béru adopter une petite nièce orpheline dont le moins qu’on en puisse dire est qu’elle est mutine, et le pire qu’elle est phénoménalement culottée.

Toujours Cf. : Viva Bertaga.

Cf. : Viva Bertaga. Vous voyez : je vous pilonne le mental pour vous inciter à lire mes précédents chefs-d’œuvre, c’est de l’auto-publicité, ça !

Vous caillez pas la laitance à chercher ce mot dans le dico, je viens de le néologer à l’instant !

J’ai écrit con : c…, parce que c’est un maire qui cause ! Sinon, moi vous me connaissez, j’appelle un chat minet, et un inconditionnel un inconditionnel !

Y a pas d’erreur : j’ai bien dit vœuf.

Publicité absolument gratuite.

Et si vous n’en convenez-pas, allez-vous faire tatouer la tête chercheuse.

Abréviation de Royal Office Swellien of the Bank International Fatherly.

Pardonnez mes références pas trop littéraires je vais redéc… dans pas longtemps.

Oh, je me fais pas d’illuses, les gars. J’sais bien qu’y en a des parmi vous, pour m’ergoter à propos de la procédure anglaise que je vais vous causer. Manière de leur faire l’éconocroque d’un timbre, à ces puants ratiocineurs, je préfère leur dire que ma procédure britiche je me la confectionne moi-même et que je me torchonnerai le pot d’échappement avec leurs protestations. Avisss !

En français dans le texte.

Un jour je vous pondrai un San-A. en alexandrins.

Bien qu’ils soient traduits en anglais. Dieu protège la Reine !

C’est inouï ce que je reconstitue bien le parler du vieux poivrot britannique, hein ? On croirait lire du Dickens !

Idem.

Toujours les manchettes japonaises, y en a un peu marre !

Le ouihadegol est un rectangle de papier dont les français ne connaissent pas l’usage, et qu’ils déposent provisoirement dans une urne en attendant de l’avoir trouvé.

Avant, j’ajoutais « de cheval » à un comme celui-là, mais depuis qu’on me fait miroiter le bicorne académique, j’ose plus.

Mordez un peu ma conscience professionnelle : je l’écris en anglais, mais je vous le livre avec les lettres complémentaires vous permettant de le franciser.

Vous m’objecterez que, lui parlant anglais, je ne peux le tutoyer. Je vous répondrai (car je suis poli) que je lui dis « vous » en pensant « tu ». Or, l’intention vaut l’action, n’est-ce pas ?

Sans raison particulière, car l’astuce en question n’est pas très valable en anglais.

L’état-civil anglais, franchement, c’est quèque chose !

Naturellement, il a dit « sorry ».

Tellement préférable à celle de la Légion d’Honneur !

Voilà que j’adopte la forme anglaise pour jacter françois !

Pléonasme ! Un fusil étant un objet qui sert à aiguiser, mais faut bien que je tienne compte de votre ignardise, pas vrai ?

Béru veut parler du carquois.

Béru veut dire « en verve », vous avez rectifié.

De même il parle ici de Cupidon.

Vachement marqué par la forme anglaise, maintenant, le San-A. !

Sans engagement de notre part, nous croyons pouvoir vous traduire cette phrase sibylline, par « Convict en rupture de banc ».