Jane Austen - Emma (Édition intégrale)

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Emma Woodhouse a vingt-et-un ans. Elle habite la belle demeure de Hartfield, près du gros bourg de Highbury, avec son père âgé, hypocondriaque et veuf, entourée d'amis fidèles, tel Mr Knightley, son beau-frère, propriétaire du riche domaine voisin de Donwell Abbey. Son ancienne gouvernante, Miss Taylor, vient d'épouser un veuf fortuné, Mr Weston, dont le fils a été adopté tout jeune par son oncle et sa tante, les Churchill, avec qui il vit à Enscombe, dans le Yorkshire. Emma, persuadée d'être à l'origine du mariage de Miss Taylor, et d'avoir des talents d'entremetteuse, décide alors, pour occuper sa solitude, de faire épouser la jeune et jolie Harriet Smith, dont elle s'est entichée, par Mr Elton, le vicaire de Highbury.

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— Cette aimable et douce Jane Fairfax dit M. Jean Knightley, il y a bien longtemps que je ne l’ai vue. Je la rencontre quelquefois par hasard à Londres, mais je n’ai pas eu le plaisir de m’entretenir avec elle depuis plus d’un an. Quel bonheur ce doit être pour sa vieille grand-mère et son excellente tante quand elle vient leur rendre visite ! Je regrette toujours beaucoup à cause d’Emma qu’elle ne puisse pas être plus souvent à Highbury, mais maintenant que leur fille est mariée je suppose que le colonel et Mme Campbell ne voudront plus se séparer d’elle. Jane Fairfax aurait pu être une délicieuse compagne pour Emma.

M. Woodhouse souscrivit volontiers à tous les éloges, mais ajouta :

— Notre petite amie, Harriet Smith, est également une charmante personne ; je suis certain, ma chère, qu’Harriet vous plaira. Emma ne pourrait avoir une plus agréable amie.

— Je suis heureuse de l’apprendre ; je pensais à Jane Fairfax parce que c’est une jeune fille accomplie et qu’elle a exactement le même âge qu’Emma.

Divers sujets furent abordés et discutés avec calme ; mais la soirée ne devait pas prendre fin sans que l’harmonie fût de nouveau troublée. Quand on apporta la bouillie d’avoine, Isabelle raconta qu’il ne lui avait jamais été possible d’obtenir que la cuisinière, engagée pendant son séjour à South End, lui servît une bouillie convenablement délayée et de la consistance voulue. C’était une ouverture dangereuse.

— Ah ! dit M. Woodhouse en secouant la tête et en regardant sa fille avec une affectueuse sollicitude. Je regretterai toujours que vous ayez été à la mer cet été au lieu de venir ici.

— Mais à quel propos vous tourmentez-vous, monsieur ? Je vous assure que ce séjour a très bien réussi aux enfants.

— En tous cas, du moment que vous étiez décidée à aller à la mer, j’estime qu’il est fâcheux que vous ayez donné la préférence à South End : c’est un endroit malsain. Perry a été surpris de ce choix.

— Je sais que quelques personnes ont cette idée, mais c’est une erreur ; nous nous y sommes toujours très bien portés et M. Wingfield m’a affirmé que c’était un préjugé sans fondement : il connaît parfaitement les conditions climatiques de ce pays où son frère et sa famille ont été à plusieurs reprises.

— Vous auriez dû aller à Cromer, ma chère. Perry a été une fois à Cromer qu’il considère comme la plage la plus saine de la côte : la mer y est très belle, m’a-t-il dit, l’air excellent. Vous auriez trouvé là un logement confortable et suffisamment éloigné de la plage. Que n’avez-vous consulté Perry ?

— Mais, monsieur, considérez la différence du voyage : cent cinquante kilomètres au moins au lieu de soixante.

— Ah, ma chère ! quand il s’agit de la santé ; comme dit Perry, aucune considération ne doit entrer en ligne de compte, et du moment que l’on voyage, il importe peu de faire cent cinquante kilomètres au lieu de soixante. Il eût été préférable de rester simplement à Londres plutôt que de faire soixante kilomètres pour trouver un air plus malsain. Telle a été du moins l’opinion de Perry qui n’a pas approuvé ce déplacement.

Depuis quelques instants Emma s’efforçait en vain d’arrêter son père et quand celui-ci eut prononcé ces dernières paroles, elle ne put s’étonner de l’intervention de son beau-frère.

— M. Perry, dit-il d’une voix qui exprimait son profond mécontentement, ferait bien de garder ses appréciations pour ceux qui les lui demandent. À quel titre se croit-il autorisé à commenter mes décisions ? Je crois être capable de me diriger d’après mes propres lumières et je n’ai besoin ni de ses conseils ni de ses remèdes. Puis se calmant, il ajouta : « Si M. Perry peut m’indiquer le moyen de transporter une femme et cinq enfants à cent cinquante kilomètres pour le même prix et sans plus de fatigue qu’à soixante, je serais disposé à donner la préférence à Cromer.

— C’est bien vrai, interrompit M. Knightley fort opportunément, toute la question est là. Mais pour revenir, Jean, à ce que je vous disais : mon idée est de modifier le tracé du sentier qui conduit à Langham afin d’éviter qu’il ne traverse la prairie ; je ne pense pas que ce changement puisse gêner d’aucune façon les habitants d’Highbury ; du reste, demain matin, nous consulterons les cartes quand vous viendrez à l’abbaye et vous me donnerez votre avis.

M. Woodhouse manifestait quelque nervosité à la suite des réflexions peu obligeantes dirigées contre son ami Perry, auquel, sans s’en rendre compte, il n’avait cessé de prêter ses propres sentiments et sa manière de voir, mais les soins attentifs dont ses filles l’entouraient eurent vite fait de l’apaiser ; de sorte que, grâce à l’esprit d’à propos de l’aîné des deux frères et aux sentiments de contribution du cadet, l’incident n’eut pas d’autre suite.

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