Connie Willis - Sans parler du chien

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Au XXIe siècle, le professeur Dunworthy dmge une équipe d'historiens qui utilisent des transmetteurs temporels pour aller assister aux événements qui ont modifié l'avenir de l'humanité. Ned Henry est l'un d'eux. Dans le cadre d'un projet de reconstruction de la cathédrale de Coventry, il doit effectuer d'incessantes navettes vers le passé pour récolter un maximum d'informations sur cet édifice détruit par un raid aérien nazi en 1940. Toutefois, quand Dunworthy lui propose d'aller se reposer dans l'Angleterre de la fin du XIXe siècle, ce havre de tranquillité où rien n'est plus épuisant que de canoter sur la Tamise et de jouer au croquet, c'est avec empressement qu'il accepte. Mais Henry n'a pas entendu le professeur préciser qu'il devra en profiter pour corriger un paradoxe temporel provoqué par une de ses collègues qui a sauvé un chat de la noyade en 1988... et l'a ramené par inadvertance avec elle dans le futur. Et quand ce matou voyageur rencontre un chien victorien, cette incongruité spatio-temporelle pourrait bien remettre en cause... la survie de l'humanité !
Un pur régal d'humour typically british par la plus récompensée et la plus brillante des écrivains américains de science-fiction (prix Locus et Hugo 1999 pour cet ouvrage). Plus de 6 500 ventes en grand format.

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M. Dunworthy se tourna vers moi.

— En avez-vous remarqué, à Coventry ?

— Non.

— Et lors des ventes de charité ?

— Non plus.

Et je le regrettais. J’aurais tant aimé voir la potiche de l’évêque sur un éventaire entre le jeu de massacre et la roue de la loterie.

— Quoi d’autre ? demanda M. Dunworthy à T.J.

— Un décalage accru dans les zones périphériques.

— Un secteur de quelle importance ?

— Inférieur à un demi-siècle. Mais c’est une simple hypothèse.

— Est-ce tout ?

— Si c’était vraiment grave, les portes refuseraient de s’ouvrir. Fujisaki estime que tout cela est statistiquement improbable, et que si le continuum n’était pas d’une stabilité à toute épreuve l’univers aurait déjà été détruit.

— S’il se produisait une incongruité sans accroissement radical du décalage, devrait-on en déduire que ses effets ont été compensés ?

— Certainement.

— Parfait. Excellent travail, enseigne Klepperman.

M. Dunworthy alla vers le séraphin qui martyrisait son clavier.

— Warder, dressez-moi la liste de tous les sauts à destination des années 1880 à 1890, avec leurs caractéristiques.

— Désolée, je procède à une récupération.

— L’historien peut attendre. Lewis, vous allez chercher les décalages inhabituels.

Ce fut en tout cas ce que je crus entendre, car la sirène annonçait la fin de l’alerte malgré les crépitements réguliers des tirs de la DCA.

— Et les sauts avortés.

— Bien monsieur.

T.J. nous laissa.

— Il ne lui manque qu’un canotier, déclara M. Dunworthy.

J’avais un pantalon de flanelle blanche et un gilet, mais aucun couvre-chef. Or, les victoriens ne sortaient-ils pas chapeautés ? Si, ils portaient des machins cylindriques ou tout rond. Comment les appelait-on déjà ? Ça commençait par un « M ».

Le séraphin se penchait vers moi, ce qui m’apprit que je m’étais rassis. Elle m’obligea à me lever pour essayer un blazer à rayures marron.

— Enfilez votre bras. Non, l’autre.

Je regardai mes poignets.

— Les manches sont trop courtes.

— Quel est votre nom ?

— C’est à moi que vous parlez ? m’enquis-je.

Car je me demandais en quoi mon nom pouvait modifier la longueur d’un vêtement.

— Oui, à vous !

Elle l’échangea contre un rouge et blanc.

— Ned Henry.

Cette fois, elles couvraient mes mains.

— Parfait. Je n’aurai pas à vous trouver un pseudonyme plus couleur locale.

Elle m’en proposa un bleu et blanc et tira sur les manches.

— Ça ira. Évitez de plonger dans la Tamise.

Elle cala un canotier sur ma tête puis retourna vers son clavier en grommelant :

— Je n’arrive pas à croire que Badri ne soit pas encore revenu. Je dois m’occuper de ce type, l’habiller, calculer les coordonnées… pendant qu’un historien attend depuis trois quarts d’heure que je le récupère. Sans oublier que les jeunes filles ne sortaient jamais sans un chaperon, généralement une vieille tante ou une cousine, et qu’elles n’étaient pas autorisées à rester seules avec un homme avant leur mariage… Ned, prêtez-moi attention !

— Je suis tout ouïe. Elles étaient toujours accompagnées d’un chaperon.

— Je maintiens que ce n’est pas une bonne idée, déclara Finch.

— Nous n’avons personne d’autre sous la main, insista M. Dunworthy. Ned, écoutez-moi bien. Voilà ce que vous allez faire. Vous arriverez le 7 juin 1888 à dix heures du matin. Le fleuve sera sur la gauche de la fourchette à dessert, utilisée pour les gâteaux et les poudings, alors que pour les salades…

Salades. Noyades. Naïades. C’était le nom que je cherchais. Hylas et les Naïades ! Cet Hylas allait bien tranquillement remplir son broc quand elles l’agrippaient et l’entraînaient dans les profondeurs, en l’entortillant dans leurs cheveux.

— Après l’avoir ramené, vous prendrez quinze jours de vacances. Vous pourrez canoter sur la Tamise ou vous reposer sur la droite de l’assiette à dessert, avec la lame orientée vers l’intérieur.

Il me tapota l’épaule.

— C’est bien compris ?

— Quoi ?

Mais un bourdonnement couvrit les tirs de la DCA et il reporta son attention sur le transmetteur.

— C’est quoi, ça ? demanda-t-il au séraphin.

— Mon rendez-vous. Je ne pouvais pas le laisser poireauter jusqu’à la fin des temps. Je m’occuperai de vous sitôt après.

— Parfait. Je compte sur vous, Ned.

Les voiles touchèrent le sol et se plissèrent. Le vrombissement grimpa dans les aigus et se changea en fin d’alerte. De la condensation fit miroiter l’air et Carruthers se matérialisa. Il s’avança, impatient de nous rejoindre.

— Restez tranquille, lui ordonna le séraphin en pianotant toujours. Vous devez attendre que le filet remonte.

Il s’immobilisa à mi-hauteur et Carruthers dut se pencher pour passer dessous.

— Quoi ? Attendre ? Ça fait deux heures que j’attends ! Qu’est-ce que vous fichiez ?

Il gagna en claudiquant la console. Son uniforme fantaisiste était boueux et déchiré, et il avait perdu une de ses chaussures.

— Pourquoi ne m’avez-vous pas ramené à la fin du relèvement ?

Warder foudroya M. Dunworthy du regard.

— On m’en a empêchée. Qu’avez-vous fait de votre brodequin ?

— Je l’ai laissé dans la gueule d’un dogue sanguinaire ! Si j’ai encore mon pied, c’est un miracle.

— C’était une authentique Wellington de l’AFS. Et vous avez vu votre tenue ?

— Si je l’ai vue ? J’ai dû courir deux heures, pour semer ces fauves. J’ai encore atterri dans ce maudit champ de seigle et d’orge. Un peu plus tard que la fois précédente, car la fermière m’attendait avec des chiens. Elle avait dû recruter toutes les meutes du Warwickshire.

Puis il me vit.

— Que diable faites-vous ici ? Vous devriez être à l’hôpital.

— Je pars pour 1888, déclarai-je.

— J’avais pourtant dit à cette infirmière de ne pas parler de vous à Lady Schrapnell. Pourquoi vous envoie-t-elle au XIX e ? C’est au sujet de son arrière arrière-grand-mère ?

— Arrière-arrière-arrière-grand-mère. Non. Le médecin m’a prescrit deux semaines de repos et je pars en convalescence.

— On a besoin de vous, à Coventry.

— J’y étais, quand vous avez décidé de me rapatrier.

— Je n’avais pas le choix. Vous divaguiez. Vous disiez que le chien est notre plus noble allié tant dans la guerre que la paix, un fidèle compagnon qu’il pleuve ou qu’il vente. Pouah ! Regardez ça !

Il me montra son pantalon déchiré.

— C’est votre meilleur ami qui m’a fait ça !

Puis il leva son pied uniquement gainé d’une chaussette.

— Il a failli m’amputer ! Quand serez-vous prêt à repartir ?

— Je suis interdit de saut pour deux semaines. Pourquoi vous êtes-vous débarrassé de moi, si vous vouliez que je revienne ?

— Je pensais qu’ils vous administreraient une pilule ou qu’ils vous feraient une piqûre. Pas qu’ils vous condamneraient à l’inaction. Comment allons-nous dénicher la potiche de l’évêque, à présent ?

— Vous ne l’avez donc pas trouvée ?

— Pour cela, il aurait fallu que je puisse retourner dans la cathédrale. J’ai essayé tout l’après-midi, et je n’ai pas pu arriver plus près que ce foutu champ de seigle et d’orge ! Ces maudits décalages…

— Décalages ? répéta M. Dunworthy, brusquement attentif.

Il vint vers nous.

— Je vous l’ai dit, lui rappelai-je. Le champ de seigle et d’orge.

— Quel champ de seigle et d’orge ?

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