Robert Heinlein - Vendredi

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Vendredi: краткое содержание, описание и аннотация

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Un cerveau d'ordinateur, un corps surentraîné à tous les risques, et la beauté en plus : telle est Vendredi. L'agent idéal en ce monde futur, en ce monde de demain.
Et, en effet la voici qui rentre de la planète Ell-Cinq, mission accomplie une fois de plus, et quelle mission ! Félicitations du Grand Patron et droit aux vacances.
Heureuse, Vendredi ? Non, tourmentée comme jamais encore, hantée d'images : le viol atroce qu'elle a subi, les meurtres qu'elle a commis. Vendredi la non-humaine aurait-elle une conscience ?

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— Oh ! presque rien. Que vous aviez quitté la famille sans prévenir. Que vous n’aviez laissé aucune adresse ni aucun code d’appel. Qu’elle refusait d’en prendre un pour vous, quel qu’il soit. Qu’elle était trop occupée. Que Marjorie avait semé la pagaille en partant. Elle m’a à peine dit au revoir.

— Patron, elle avait votre adresse de l’Imperium. Et également celles de Luna City, de Cérès and South Africa à cause de mes versements mensuels.

— J’avais compris. Mon représentant en Nouvelle-Zélande (ça, c’était bien la première fois que j’en entendais parler !) m’a déniché l’adresse du bureau de Brian Davidson, le mari senior de votre groupe. Il s’est montré un peu plus poli que la femme, et plus coopératif. C’est lui qui nous a appris quelle navette vous aviez empruntée au départ de Christchurch, ce qui nous a conduits au vol SB d’Auckland à Winnipeg. Là, nous vous avons perdue pendant quelque temps, jusqu’à ce que mon agent découvre que vous aviez quitté le port en compagnie du commandant de la navette SB. Nous avons alors contacté ce capitaine Tormey. Il s’est montré parfaitement courtois mais vous n’étiez plus là. J’ai le plaisir de vous dire, d’ailleurs, que nous avons rendu service au capitaine Tormey en lui faisant savoir que la police locale s’apprêtait à les arrêter, lui et son épouse.

— Mais pourquoi, grands dieux ?

— Ils sont accusés d’avoir hébergé un étranger ainsi qu’une ressortissante de l’Imperium durant l’état d’urgence. En vérité, le bureau de Winnipeg se désintéresse absolument de vous ou du Dr Perreault. Ce sont les Tormey qu’ils veulent. Les charges retenues contre eux sont plus graves. Un certain lieutenant Melvin Dickey serait porté disparu. La dernière trace qu’ils aient de lui est une simple déclaration faite au quartier général de la police. Selon lui, il était sur le point de se rendre au domicile des Tormey pour arrêter Perreault. On soupçonne un meurtre.

— Mais ils n’ont aucune preuve contre Janet et Ian !

— Non, certainement pas. C’est bien pour ça que la police veut les coffrer pour n’importe quel motif. Autre chose : le VEA du lieutenant Dickey s’est écrasé près de Fargo, dans l’Imperium. Il était vide. La police cherche des empreintes. Ils s’en occupent sans doute en ce moment même puisque la frontière entre le Canada et l’Imperium aurait été rouverte il y a une heure.

— Oh, mon Dieu !

— Du calme, Vendredi. Il y avait des empreintes dans les débris de l’engin, c’est vrai. Et ce n’étaient pas celles du lieutenant Dickey. Elles correspondaient aux empreintes déposées par le capitaine Tormey dans le dossier personnel de l’ANZAC. J’ai dit : elles correspondaient. A présent, elles n’existent plus. Vendredi, il se peut que j’aie jugé plus prudent de déplacer notre quartier général hors de l’Imperium, mais je n’ai pas perdu tout contact dans la région. Il me reste des agents. Et quelques retours de service à espérer. Non, il ne reste pas la moindre trace d’empreintes du capitaine Tormey dans la carcasse de ce VEA. Elles ont été remplacées par toutes sortes d’autres empreintes. Des gens vivants ou morts…

— Patron, je crois que je vais vous baiser les pieds.

— Du calme. Je n’ai pas fait cela dans l’intention de couper l’herbe sous les pieds de la police canadienne. Notre agent à Winnipeg est un psychologue. Selon lui, le capitaine Tormey et son épouse sont parfaitement capables de tuer si leur existence est menacée mais, dans le cas d’un policier, cela supposerait des conditions paroxysmiques. Et le Dr Perreault, toujours selon notre agent, semble encore moins susceptible d’user de violence létale.

— C’est moi qui ai tué Dickey.

— C’est bien ce que j’ai pensé. Il n’y avait aucune autre explication possible. Est-ce que vous souhaitez en discuter maintenant ? Et, avant tout, cela me concerne-t-il ?

— Eh bien… peut-être pas. Mais vous vous êtes mêlé de cette affaire en effaçant ces empreintes, Patron. Je l’ai tué parce qu’il menaçait Janet Tormey avec son arme. Je sais que j’aurais pu le neutraliser. Mais je l’ai tué. Parce que je le voulais.

— Je serais infiniment déçu, Vendredi, s’il vous advenait de blesser simplement un policier, car un policier blessé est plus dangereux qu’un tigre. Mais j’avais reconstitué les faits à peu près tels que vous me les exposez. Je supposais que vous cherchiez à protéger le Dr Perreault, puisqu’il semble faire pour vous un époux acceptable.

— Oui, c’est vrai. Mais c’est parce que ce crétin braquait son arme sur Janet que j’ai réagi. Ça m’a mise hors de moi. Patron, jusqu’à cet instant, je n’avais pas conscience que j’aimais Janet. Je ne pensais pas que je pouvais aimer une femme aussi intensément. Vous savez mieux que moi comment j’ai été conçue, ou du moins vous l’avez deviné. Est-ce qu’il y a quelque chose au niveau glandulaire ? hormonal ?

— Je connais très exactement la façon dont vous avez été conçue mais je ne veux pas en discuter avec vous. Il est inutile que vous sachiez. Vos glandes ne sont pas différentes de celles de n’importe quel humain normal. Et, pour être plus précis, j’ajouterai que vous n’avez aucune redondance au niveau du chromosome Y. Tous les humains acquièrent des perturbations glandulaires durant leur conception. En vérité, l’humanité est divisée en deux camps : ceux qui le savent et ceux qui l’ignorent. Mais arrêtons ce bavardage inepte. Ça ne convient pas à un génie.

— Alors, je suis un génie, à présent. Bravo, Patron !

— Pas d’impertinence. Vous êtes un supergénie mais vous n’êtes pas encore près de prendre conscience de votre potentiel. Les génies créent leurs propres règles, à propos du sexe comme d’autre chose. Il en est toujours ainsi parce qu’ils ne peuvent se plier aux usages stupides des inférieurs. Mais revenons à nos moutons. Est-il possible que ce corps soit retrouvé ?

— Je ne crois pas qu’il y ait beaucoup de risques.

— Pas d’autre point dont vous auriez aimé discuter avec moi ?

— Euh… non, je ne crois pas.

— Donc, je n’ai pas besoin d’en savoir plus et je suppose que les Tormey regagneront leur domicile dès que la police aura conclu au non-lieu en l’absence de corpus delicti. Certes, le corpus delicti ne requiert pas absolument l’existence d’un cadavre, mais il est extrêmement difficile d’établir une inculpation de meurtre sans cadavre. Si l’on arrêtait les Tormey, un bon avocat les ferait libérer en cinq minutes. Et croyez-moi, ils auraient un excellent avocat. Mais il vous sera peut-être agréable d’apprendre que vous les avez aidés à quitter le pays.

— Moi ? Mais comment ?

— Vous et le Dr Perreault. Lorsque vous avez quitté le Canada britannique en empruntant leurs identités et en utilisant leurs cartes de crédit. Vous avez laissé une trace de leur passage qui prouve à l’évidence que les Tormey ont fui le pays immédiatement après la disparition du lieutenant Dickey. A tel point que la police a passé plusieurs jours à essayer de les faire suivre dans la Confédération californienne. Mais je dois avouer que je suis plutôt surpris que les Tormey n’aient pas été arrêtés à leur domicile. Car, apparemment, mon agent n’a pas eu la moindre peine à les rencontrer et à les interroger.

(Moi, ça ne m’étonnait pas. Si un flic se montrait, hop ! il finissait dans le trou. Mais pour n’importe qui d’autre, et si Ian disait que tout était O.K…)

— Patron, est-ce que votre agent de Winnipeg a cité mon nom ? Je parle de « Marjorie Baldwin », bien entendu.

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