Theodore Sturgeon - Vénus plus X

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On a volé Charlie Johns. Qui ? Le peuple de Ledom, un monde libre, sans contrainte, sans guerre, sans peur. Un monde sans reproches dont tous les habitants sont bisexués, à la fois mâle et femelle. Bref, le paradis pour Charlie, Homo Sapiens du XXeme siècle ! Jusqu'au jour où il découvre ou il est. Pourquoi il y est. Comment il y est arrivé et ce que sont exactement « ceux-celles » qu'il désigne du nom de vénus plus X.

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— Très chouette, dit Herb.

— Tu vois, on a des tas d’intérêts communs.

— Quelque chose d’utile, ce soir ?

— Bien sûr ! dit-elle en lui tendant son verre et en se perchant sur le rebord de l’évier. Tiens, ça fait sept semaines que tu travailles sur le nouveau budget de l’Aréol, leur chaîne de salons de beauté.

— Sans blague ?

— Nom de la chaîne : « En beauté ».

— Hé ! dis donc, pas mal du tout…

— N’est-ce pas ? C’est Tillie qui a dit ça par hasard dans la conversation, et c’est pour ça que j’ai dit que tu y travaillais depuis longtemps, pour qu’elle trouve pas ça louche…

— Tu es un petit génie. Ça va marcher. Smitty m’a envoyé sur les roses, ce soir.

— Tu lui as fichu ton poing dans la figure, j’espère ?

— Ben voyons ! Position presque clé chez un gros client. L’idéal !

— Qu’est-ce qui s’est passé ?

Il lui raconte l’épisode du spectacle télé, comment il a dit quelque chose qui pouvait passer pour un compliment alors que l’annonceur est un concurrent, et tout et tout.

— Quelle moule tu fais ! Quand même, lui, quel salbomme !

C’est, à la suite de Davy, le nom qu’ils réservent aux sales bonshommes…

— Oh, je crois que je m’en suis bien sorti.

— On ne sait jamais, prépare toujours une bombe, le cazèche… (encore leur langage personnel, « le cas échéant »).

Il jette un coup d’œil par la fenêtre jusqu’au rancher des Smith.

— Un peu près pour une bombe, on y laisserait des plumes nous aussi…

— Seulement s’ils savent d’où elle vient !

— Oh-h-h, insiste-t-il, on va quand même pas le bombarder…

— Bien sûr que non ! On a simplement besoin d’une bombe à tout hasard… Sans compter que j’ai mis la main sur quelque chose de mignon…

Elle lui raconte pour le vieux Trizer et combien ce dernier serait probablement content d’avoir une revanche sur Smitty.

— T’acharne pas sur lui, il a des ennuis avec sa prostate…

— Je me disais aussi qu’il avait l’air prostré, ces temps-ci… C’est lui qui t’a dit ?

— Non, j’ai découvert ça tout seul. Et il a des hémorroïdes, en plus.

— N’en jetez plus ! Attends que je dise ça à Tillie !

— Tu es la nana la plus vindicative que j’aie jamais rencontrée !

— Ils envoient mon petit mari-copain à moi sur les roses et tu crois que ça va se passer comme ça ?

— Et puis elle saura que c’est moi qui te l’ai dit.

— Tu parles ! Elle n’en reviendra pas et ne cessera pas de se demander comment diable ça a bien pu se savoir. Je m’en charge ! On fait une rude équipe, tous les deux, mari-copain !

Il fait tourner son verre entre ses doigts et regarde le liquide tourner à l’intérieur.

— Smitty a dit quelque chose, à ce propos.

Il lui dit, pour les godillots, et comment Smith pense que, très bientôt, les enfants ne sauront plus à quoi reconnaître leur père de leur mère.

— Ça t’ennuie ? demande-t-elle légèrement.

— Un peu.

— Laisse tomber. Tu t’accroches à la main de quelqu’un qui est mort depuis longtemps. Nous, nous sommes des gens nouveaux, mari-copain. Alors quoi ? Et si Karen et Davy allaient grandir sans cet épouvantail, autour duquel on a fait tant de littérature, l’image du père, l’image de la mère et tout ce cirque…

— « L ’Histoire de ma vie, par Karen Railes, Tand z’étais une peu-tite filleu, z’avais pas deu papa et deu moman tomme les aut’peu-tits gnarçons et les aut’peu-ti-teu fil-leu, z’avais un comité. »

— Comité ou pas comité, gros malin, ils ont à manger, à boire, des vêtements, un foyer et de l’amour — est-ce que ce n’est pas censé suffire ?

— Oui, bien sûr, mais cette fameuse image du père est censée avoir sa petite importance aussi, non ?

Elle lui caresse la joue.

— Seulement si tout au fond tout au fond de toi tu ressens le besoin d’être un vrai mec. Et tu sais bien que tu es un vrai mec, puisque tu fais partie du comité ! On se couche.

— Qu’est-ce que tu entends par là ?

— On se couche.

* * *

Charlie Johns trouva Philos à l’entrée du bureau de Mielwiss. Apparemment, il venait tout juste d’arriver.

— Comment ç’a été ?

— Incroyable, dit Charlie. C’est rudement impressionnant, non ?

Il examina soigneusement Philos et finit par ajouter :

— Pas pour toi, en définitive, hein ?

— Tu veux continuer ? Ou tu en as eu assez pour aujourd’hui ? Faut-il que tu dormes de nouveau ?

— Non, pas avant la nuit.

Le mot « nuit » existait et pouvait donc être utilisé, comme « mâle » et « femelle », mais il semblait doté seulement d’un sens atténué, moindre que ce qu’il voulait réellement exprimer en l’occurrence. Aussi se crut-il contraint d’ajouter :

— Quand il fera noir.

— Qui, fera noir ?

— Tu sais bien. Le soleil se couche, la lune, les étoiles, tout ça, quoi.

— Il ne fait jamais noir.

— Il ne fait jamais… Mais qu’est-ce que tu me chantes là ? La Terre n’a pas cessé de tourner, je suppose ?

— Oh, je vois ce que tu veux dire ! Bien sûr, je suppose qu’à l’extérieur ça se passe toujours de cette façon-là mais pas à l’intérieur de Ledom.

— Ledom serait donc… souterrain ?

Philos inclina la tête sur le côté :

— Ce n’est pas une question à laquelle on puisse répondre par oui ou par non.

Charlie regarda par l’immense fenêtre, à l’extrémité du corridor, le ciel éternellement couvert et argenté.

— Comment cela ?

— Tu ferais mieux d’interroger Osséon, à ce sujet. Il te donnera de meilleures explications que je ne saurais le faire.

Charlie ne put s’empêcher de rire. Philos lui lança un regard interrogateur et il s’expliqua :

— Quand je suis avec toi, c’est Mielwiss qui possède les réponses à mes questions. Quand je vais voir Mielwiss, il me dit que l’expert, c’est toi. Je reviens te voir et tu m’adresses à Osséon…

— En quoi Mielwiss a-t-il dit que j’étais expert ?

— Il ne l’a pas précisé. Il m’a laissé entendre que tu connaissais tout ce qu’il y a à savoir de l’histoire de Ledom. Il a dit autre chose, attends… Que tu savais t’arrêter à temps, ou quelque chose comme ça… Oui, c’est ça, que tu me donnerais les renseignements qu’il fallait mais que tu saurais t’arrêter à temps. Alors que lui, il n’était pas cachottier de nature.

Pour la seconde fois, Charlie vit une rougeur éphémère passer sur le sombre visage énigmatique de Philos.

— Alors que moi je le suis.

— Oh, attention ! reprit rapidement Charlie, je le cite peut-être de travers. Quelque chose m’aura échappé. Je ne veux pas devenir une source de querelles entre vous.

— Je t’en prie, voyons, déclara Philos d’une voix égale, je sais exactement ce qu’il entendait par là et tu n’as fait aucun mal. C’est précisément ce qui, à Ledom, n’a rien à voir avec toi.

— Détrompe-toi ! Mielwiss m’a dit que les débuts de Ledom pourraient fort bien avoir quelque chose à voir avec la fin d’Homo sap. et, comme tu le sais, je préfère ne pas me mêler de ça. Tu vois bien que tout cela me concerne d’une façon ou d’une autre.

Ils s’étaient mis à marcher mais Philos s’arrêta et posa les mains sur les épaules de Charlie.

— Charlie Johns, je te prie très sincèrement de me pardonner. Nous avons tous les deux, nous avons tous, tort et raison à la fois. Mais, en toute sincérité, tu n’es pas responsable de cet incident. Tu me ferais plaisir en en restant là, car j’ai eu tort de me conduire comme je l’ai fait. Oublions, s’il te plaît, mes sentiments et mes problèmes personnels.

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