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Frédéric Dard: Tire-m'en deux, c'est pour offrir

Здесь есть возможность читать онлайн «Frédéric Dard: Tire-m'en deux, c'est pour offrir» весь текст электронной книги совершенно бесплатно (целиком полную версию). В некоторых случаях присутствует краткое содержание. Город: Paris, год выпуска: 1979, ISBN: 2-265-01045-6, издательство: Éditions Fleuve Noir, категория: Иронический детектив / Шпионский детектив / Полицейский детектив / на французском языке. Описание произведения, (предисловие) а так же отзывы посетителей доступны на портале. Библиотека «Либ Кат» — LibCat.ru создана для любителей полистать хорошую книжку и предлагает широкий выбор жанров:

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Frédéric Dard Tire-m'en deux, c'est pour offrir

Tire-m'en deux, c'est pour offrir: краткое содержание, описание и аннотация

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Nous autres, les grands romanciers du siècle, avons une préférence marquée pour certains de nos enfants, parce que nous les jugeons plus beaux que les autres, voire même plus proches de nous. C'est le cas du présent chef-d'œuvre. En l'écrivant, je me suis mis à l'aimer, à bien l'aimer. J'aurais voulu y passer mes vacances ; peut-être même le restant de mes jours. Un pareil engouement doit bien cacher quelque chose, non ? Ou si je deviens gâtoche ? A toi de juger !

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— Puant !

— Sanie !

— Dégueuli !

— Chiée !

— Castrat !

— Trou !

— Surcon !

— Sous-merde !

— Enculé !

— Enculée !

— Peau de vache !

— Fosse d’aisance !

— Tacot !

— Gueule de raie !

— Minus !

— Ignarde !

— Torchon !

— Serviette périodique !

— Peau de zob !

— Pute !

— Répète !

— Pute !

— Puceau !

— Cul intorché !

— Lavement !

— Eau de bidet !

— Colique !

— Morue !

— Répète !

— Morue !

— Voyou !

— Bouffe-bites !

— Enfoiré !

— Salope !

— Cadavre !

— Chiraquienne !

— Pet !

— Ménopause !

— Sans-couilles !

— Diarrhée verte !

— Mal poli !

— Gourgandine !

— Foireux !

— Catastrophe !

— Pédé !

— Répète !

— Pédé !

— Faisandée !

— Chiottes bouchées !

— Lèche-pine !

— Escroc !

— Crevure !

— Feignant !

— Follingue !

— Châtré !

— Poubelle !

— Emmanchée !

— Burnes creuses !

— Écrivaillonne !

— Répète !

— Écrivaillonne !

— Débile profond !

— Écrivaillonne !

— Ne le répète jamais !

— Écrivaillonne sans syntaxe !

— Quoi ?

— Sans vocabulaire.

— Quoi ?

— Sans idées !

— Quoi ?

— Sans style !

— Quoi ?

— Sans tirages !

— Quoi ?

— Sans lecteurs !

— Quoi ?

— Sans éditeur !

— Menteur !

— Six manuscrits refusés !

— Je te hais !

— Je te chie !

— Tu me tues !

— Tu m’effrites !

— Je meurs !

— Crève !

— Je te maudis !

— Merci !

— Adieu !

— Adieu !

— Tout est fini !

— Enfin !

— Je cesse !

— Ouiiii !

— Tu m’excites !

— Toi aussi !

— C’est pas vrai !

— Je bande !

— Menteur !

— Regarde !

— Merde !

— C’est pas de la queue, ça ?

— Je la veux !

— Trousse-toi !

— Voilà !

— Debout !

— Accoudée au piano !

— Attention que le couvercle ne se rabatte pas sur mes couilles !

— Vas-y !

— Oh, salope !

— Ah que c’est boni !

— Tiens, ma vache !

— Tu es monté comme un âne, Adolphe !

— Toi, t’as une chatte comme un porche d’église !

— Adolphe !

— Sidonie !

— Chéri !

— Je t’aime !

— Moi aussi !

— Oh ! que tu es belle !

— Pas si fort, tu me défonces !

— Tiens, charognerie dégoulinante !

— Qu’est-ce tu dis ?

— Charognerie dégoulinante !

— Ah ! bon, j’avais compris autre chose ! Parle-moi encore d’amour !

— Fumière !

— Encore !

— Pétasse !

— Oui !

— Empétardée !

— Continue !

— Pompeuse de bougnoules !

— Ouiiii, oh, oui ! oh ! oui, raciste, Adolphe !

— Tu aimerais te faire sabrer par des déménageurs de pianos !

— Certes !

— Tu voudrais vider les roustons d’un régiment de Khmers rouges !

— Aohouhaaa, comme tu me connais bien, Adolphe !

— Il te faudrait un Cosaque et son cheval !

— Bien sûr !

— Un gorille !

— Cela va de soi, Adolphe !

— La tour de Pise !

— C’est trop, Adolphe ! Tu as des mots qui vous transportent !

Et alors ils se taisent.

Nous sommes installés dans la vaste entrée coquettement meublée de choses louis-philippardes.

Un couple de domestiques se tient collé contre les portes vitrées donnant accès au salon.

Je te dois à ce point de l’action de préciser (du moment que tu as payé ce livre ou que c’est quelqu’un aimant la bonne lecture qui te l’a prêté) qu’au début de la scène, les deux protagonistes cassaient beaucoup. Toutes les quatre ou cinq répliques environ, un objet éclatait, composant un fond sonore à l’algarade si aimablement conclue.

Le larbin mâle est armé d’un bloc-notes, et la larbine lui énumère les dégâts. Elle exprime gravement, mais d’un ton routinier, comme si elle procédait à un inventaire, et son compagnon répète en annotant :

— La statuette de Sèvres, représentant Diane et l’Amour. Oui, il m’en reste en réserve…

Bloinnnngggg !

Elle annonce :

— Le bras de lumière Napoléon III !

Il redit :

— Le bras de lumière Napoléon III, stock épuisé, le remplacer par une lanterne de procession modèle 6 bis.

Et tout à l’avenant. Et puis, lorsque Monsieur et Madame se réconcilient, contre le piano (auquel je souhaite d’être à queue, vue l’occurrence), ils s’arrêtent de faire le point pour se tourner vers nous autres deux, très décontenancés que nous sommes.

— Messieurs ?

— Nous souhaiterions parler à Mme de Mouillechagatte, dis-je assez péremptoirement pour être pris au sérieux.

Le larbin, faut que je te raconte, il est tout michu, tout grelu, badru, glapu. Il ressemble à Sim, même tête de casse-noix en bois sculpté, mêmes z’yeux prompts et fuligineux, tu sais ? A propos de l’expression « tu sais », faut que je te dise l’à quel point ils me les brisent avec leurs pubs, à la radio. Qu’un gonzman trouve une astuce et voilà tous ces moudus qui lui emboîtent la trouvaille. Doré de l’avant, comme dit le Gros, on ne peut plus te célébrer un produit, sans que le baratineur ou la baratineuse ajoute, d’un ton entendu : « Vous savez, avec le petit truc, ou le petit chose », selon. Un mec a trouvé le premier, et poum ! les autres engouffrent. « Vous savez ? avec le bitougnet doré ». « Vous savez ? avec la petite rose bleue ». Moi, l’Antonio c’est :

« Vous savez ? avec le beau chibre surchoix ! » ou encore :

« Vous savez, le mec qui vous sodomise de tout son cœur ! », voire : « Vous savez, ce type qui en a ras le bol de vos manigances de merde, à tous, tas de cancrelats, tas d’abîmés, tas de moindres ! Faisandés, mal huppés gredins de tout poil, égrotants, faux bizarres, traîneurs de relents, cadavérables, décorés, présidents, putrescibles, endémiques, fallacieux, maugréeurs impensifs, bavards, raclures, sous-merdes, tuyaux, pines torves, fuyeurs, invertébrés, délateurs, pontifiants, navrances, manufacturés, contribuables, connards, bouffeurs, chieurs, photographieurs, mesquins, reliquats, viandasse, membres gangrenés, fesses plates, trous, trous, trous, trous.

Ad libitum.

Donc, je viens d’annoncer à Sim, le valet, que nous souhaitions nous entretenir avec Madame, pardon : avec Médème.

Il prend un air chagrin.

— Madame est en conférence.

— Il y a de cela, dis-je, puisqu’elle est en train d’en prendre un vieux coup dans les baguettes, mais nous savons vivre et n’aurons garde d’interrompre son coït, sachant trop, d’expérience, combien il est éprouvant pour le système glandulaire d’être interrompu en cours d’orgasme.

Il a une mimique approbateuse, montrer qu’il apprécie notre compréhension.

— La copulation de ces messieurs-dames dure longtemps, si ce n’est pas indiscret ?

Le valet hoche la tête.

— D’une façon générale, Madame prend son pied assez rapidement, comme la plupart des nymphomanes ; mais Monsieur par contre n’a pas l’éjaculation prompte. Madame qui est très coopérative le subit toutefois jusqu’à la conclusion de leur étreinte. Les femmes ont l’esprit de sacrifice. Dans mon ménage, c’est exactement le contraire : je jouis vite et Martine, mon épouse, se dessaisit de mon membre sans jamais connaître l’extase, ce qui me crée de vifs remords. Mais qu’y faire ? Certes, je tente de lui revaloir ça en lui faisant préalablement minette, hélas, cher monsieur, pour être sincère, le plaisir doit naître dans l’euphorie de l’accouplement. Quand j’étais plus jeune, les choses allaient mieux car je parvenais à tirer deux coups dans la foulée, sans déjanter ; hélas, les ans neutralisent de telles prouesses. Si je vous disais qu’à pas cinquante ans je commence à bander mou ? Enfin, mou, j’exagère, disons que mon sexe n’a plus la même impétuosité, il exige des sollicitations préalables, une certaine mise en condition. Et une fois qu’il est à disposition, il ne s’agit plus de le faire poireauter, oh que non ! Les coups de téléphone, par exemple, ne pardonnent plus. C’est du « tout de suite ou jamais ». Et pourtant, monsieur, pourtant, dans mon âge tendre, il m’arrivait d’enfiler la cuisinière — qui n’était pas Martine, à l’époque — d’être interrompu par un coup de sonnette des singes, d’aller m’enquérir, puis de préparer du thé et de le servir, tout cela sans débander d’un iota. Je revenais fourrer la mère Marthe, cette grosse salope, sans coup férir. Si je vous disais, monsieur : il me revient d’une troussée qui fut interrompue trois fois consécutives. Je commençais de fourrer Camille, sonnette ! Madame était capricieuse : une Russe blanche, vous voyez le genre ?

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