Je franchis les mers et les montagnes, je traque le détail, dévore des kilos de documentation, j’écoute…
À vous tous qui m’avez nourrie de détails, de couleurs, de réflexions, de tendresse, de douceur, d’ouragans, de frais zéphyrs, merci !
Patricia… et le quai aux Fleurs !
Réjane, Michel, toujours là…
Huguette… chapeau bas !
Thierry, ange gardien…
Marie, styliste à Londres…
Andy, futur grand chambellan…
Dom… qui se reconnaîtra dans certains détails.
Lydie, Laurence, Marie, Fatiha, Dominique, Jean, Thierry, et leurs mails qui fourmillent d’enseignements…
Jacqueline qui ramasse les hérissons sur les routes et les soigne…
Aude, ses longues cigarettes turques dans une enveloppe…
Sophie qui m’envoie des livres rares, des cup-cakes de Londres…
François, inventeur génial…
Béatrice et ses cours de yoga…
Sarah qui me livre Diderot sur un plateau et des mails étourdissants.
Samantha…
Roberta…
Et tous vos messages sur le site qui me font voyager, rire, me donnent envie de vous étreindre et de faire des claquettes…
Merci à Hugues et Alvisé à Londres…
Maggy et Marianne, à New York ! « I’m a brain ! You’re a brain ! »
Merci Michel… et ses détails d’inspecteur sourcilleux !
Fabrice…
Bruno et les CD de Gould… toujours.
Jean-Christophe, homme cultivé, exact et appliqué…
Béatrice, qui m’a promenée dans les galeries d’art de Paris, Londres et New York…
Sharon, à Édimbourg…
Richard et Jean-Éric en Chine…
Michael Enneser, son refuge pour sans-abri à New York.
Louis et nos longues conversations sur la vie et la menuiserie.
Un baiser à Romain, Daddy doux, George, Laurent…
Merci à Cary Grant de m’avoir prêté un peu de sa vie et de sa substantifique moelle…
À Élisabeth, qui m’a tout appris sur les croisades…
À Lise, qui m’a enseigné les dédales du HDR et les intrigues du CNRS…
À Pierre le Magnifique et son œil pointé sur moi…
À Octavie, mon amie si douce, si affûtée…
Merci, Clément, ma beauté de fils… Merci, Chacha, ma beauté de fille.
Merci, Coco, fée de la maison… Vous êtes ma base fidèle et généreuse et je vous baise le nez, le front, le menton !
Trois petites notes de musique
Glenn Gould joue Bach… Le coffret, chez Columbia.
Russian Romantic Songs , Kaïa Urb, Harmonia Mundi.
Brazilian Sketches , Jim Tomlinson, Candid Productions.
Petite messe solennelle de Rossini, Harmonia Mundi.
Ballads , Enrico Pieranunzi, Marc Johnson, Joey Baron, Cam Jazz.
Mare nostrum , Paolo Fresu, Richard Galliano, Jan Lundgren, Blue Note.
In my Dreams et Samba tzigane , Dusko Goykovich, Enja.
Ces disques, je les ai écoutés en boucle pendant que j’écrivais…
Ainsi que TSF Jazz (89.9) et Radio Classique (101.1)…
Chaussette – Du Guesclin aussi !
Du même auteur
Aux Éditions Albin Michel
J’ÉTAIS LÀ AVANT, 1999.
ET MONTER LENTEMENT DANS UN IMMENSE AMOUR…, 2001.
UN HOMME À DISTANCE, 2002.
EMBRASSEZ-MOI, 2003.
LES YEUX JAUNES DES CROCODILES, 2006.
LA VALSE LENTE DES TORTUES, 2008.
Chez d’autres éditeurs
MOI D’ABORD, Le Seuil, 1979.
LA BARBARE, Le Seuil, 1981.
SCARLETT, SI POSSIBLE, Le Seuil, 1985.
LES HOMMES CRUELS NE COURENT PAS LES RUES, Le Seuil, 1990.
VU DE L’EXTÉRIEUR, Le Seuil, 1993.
UNE SI BELLE IMAGE, Le Seuil, 1994.
ENCORE UNE DANSE, Fayard, 1998.
Site Internet : www.katherine-pancol.com
[1] Film de Leo McCarey de 1957 sorti en France sous le titre Elle et Lui .
[2] Cf. Les Yeux jaunes des crocodiles .
[3] « Arrière les fictions de vos romans imbéciles, / ces trames de mensonges tissées par la folie ! / Donnez-moi le doux rayon du soupir d’un cœur / ou le transport au premier baiser de l’amour », Le Premier Baiser de l’amour (1806).
[4] « Pas de chiens, pas de bicyclettes, pas de radios, interdiction de se noyer. »
[5] Cf. Les Yeux jaunes des crocodiles , op. cit.
[6] Cf. Les Yeux jaunes des crocodiles , op. cit.
[7] Cf. Les Yeux jaunes des crocodiles , op. cit. , et La Valse lente des tortues .
[8] Cf. La Valse lente des tortues , op. cit.
[9] « Honte à toi ! »
[10] Cf. La Valse lente des tortues , op. cit.
[11] Cf. La Valse lente des tortues , op. cit.
[12] Cf. La Valse lente des tortues , op. cit.
[13] Cf. Les Yeux jaunes des crocodiles , op. cit.
[14] « À ceux qui comprennent, peu de mots suffisent. Que la lumière soit ! J’ai dit… »
[15] Cf. La Valse lente des tortues , op. cit.
[16] « Je veux d’un vers louer ma dame, / et y réunir la rose et le lys, / elle paraît briller plus que l’étoile du matin, / et ce qui est beau là-haut lui ressemble. »
[17] Cf. Les Yeux jaunes des crocodiles , op. cit.
[18] Cf. La Valse lente des tortues , op. cit .
[19] Cf. Les Yeux jaunes des crocodiles , op. cit.
[20] « Prenez votre temps. La vie sans amour ne vaut pas le coup et je sais parfaitement bien combien vous vous aimez… »
[21] « Reste, papa, reste. Je sais tout de la copulation des humains, alors ne vous faites pas de souci pour moi… »
[22] « Le voir, c’est l’aimer et l’aimer, c’est ne jamais le connaître. »
[23] Cf. La Valse lente des tortues , op. cit.
[24] Cf. La Valse lente des tortues , op. cit.
[25] Cf. La Valse lente des tortues , op. cit .
[26] « Je ne peux pas te regarder et respirer à la fois ! »
[27] L’Attrape-Cœur .
[28] « Bouffez les banquiers ! »
[29] Le Neveu de Rameau .
[30] Cf. Les Yeux jaunes des crocodiles , op. cit.
[31] Colette.
[32] HLM anglais.
[33] Conteneurs pour tri sélectif.
[34] « Ne fais plus jamais ça ! Jamais ! Je n’appartiens à personne ! Je n’appartiens à personne ! »
[35] « Je suis un cerveau ! » « Moi aussi. »
[36] Cf. La Valse lente des tortues , op. cit.
[37] Metropolitan Museum of Art, dit Met par les New-Yorkais.
[38] Cf. Les Yeux jaunes des crocodiles , op. cit .
[39] Citation du grand Albert Einstein.
[40] Orgueil et passion .