Rene Menard - La Vie Privée Des Anciens
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- Название:La Vie Privée Des Anciens
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- Издательство:Paris, Morel
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Dans les hautes classes, le tablier était retenu par une ceinture qu'un nœud fixe par devant, et il s'avance en avant de manière à décrire dans sa partie inférieure un angle aigu quelquefois très-accentué (fig. 286). Chez les pharaons, cette projection en avant
semble maintenue par une sorte de panier comme on en portait au xvui^ siècle de notre ère, ou par des lames de métal analogues à
Fig, 285. — Vêtement dos ouvriers
Fig. -286. — Tablier égyptien.
LE COSTUME EN' ORIENT.
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celles de nos crinolines. Nous avons déjà montré plusieurs exemples de ce curieux vêtement, notamment dans notre figure qui représento un pharaon dans son grand costume sacerdotal.
La tunique, c'est-à-dire le vêtement qui adhère immédiatement à la poitrine, fait également partie du costume égyptien; elle a été d'ailleurs portée par tous les peuples de l'antiquité. IlabilucUemcnt, la tunique se composait de deux pièces présentant à peu près la forme d'un carré long, et réunissant les deux angles supérieurs sur les épaules : une ouverture était laissée au milieu pour qu'on put passer la tête, et les deux pièces composant ce vêtement se rapprochaient sous les aisselles, mais allaient en s'élargissant plus bas. 11 y a différentes espèces de tuniques; les unes ont des manches courtes, les autres en sont totalement dépourvues.
Hérodote nous a laissé quelques détails sur les vêtements à franges.«LesÉgyptiens, dit-il, sont vêtus de tuniques de lin avec des franges autour des jambes; ils donnent à ces franges le nom de calasiris, et pardessus la tunique, ils portent des manteaux de laine blanche. Toutefois on n'entre ' point dans les temples avec de la laine; on n'en laisse pas à ceux qu'on ensevelit, ce serait une impiété. A cet ''"™"" ^"^'p"™' ^°"^^'^' ""' p''"'"™ "' '"°"'°-' égard, ils sont d'accord avec les traditions orphiques qu'on appelle
LE VÊTEMENT.
aussi bachiques, et qui sont observées par les Égyptiens et par les Pythagoriciens, car, chez ces derniers, c'est une impiété d'enscvcUr dans des tissus de laine celui qui est initié aux mystères. On donne à cet usage un motif religieux. » (Hérodote.)
Le costume des femmes égyptiennes consiste en une longue chemise ou robe flottante qui descend jusqu'à la cheville. Par-dessus celte robe, les femmes ont un jupon qu'une ceinture retient à la tuille, ou bien qui se rattache aux épaules au moyen de bretelles.
Dans les classes élevées, la robe qu'on passait par-dessus le jupon était du plus beau linge; les manches s'attachaient devant sur la poitrine (fig. 287), mais, pendant les cérémonies religieuses ou les processions funéraires, le bras droit sortait de la manche et restait dehors (fig. 288).
Le jupon était ordinairement d'une couleur très-vive et enrichi quelquefois d'une étonnante variété de dessins comme nos toiles perses. 11 était interdit aux esclaves et aux femmes de condition servile de porter un vêtement analogue à celui des dames, et il y avait aussi une notable différence dans la disposition de la coiffure. La robe s'ajustait au cou avec des manches courtes et ouvertes qui dépassaient rarement le coude; les jours de fête, elles mettaient par-dessus un long vêtement flottant. On voit aussi quelquefois des femmes dont les bras sont absolument nus ou simplement ornés de bracelets.
Fig. 288. Femme égyptieDce.
Le costume hébreu. — Malgré les recherches qui ont été faites et les livres qui ont été écrits sur le vêtement des Hébreux, l'absence complète de monuments nous laisse à cet égard dans une très-grande incertitude. Les artistes de la Renaissance et du xvu" siècle, lorsqu'ils ont traité des sujets bibliques, ont adopté pour leurs figures un costume de convention, qui participe du grec ou du romain sans être positivement l'un ou l'autre, et qui avait à leurs yeux l'avantage de présenter une draperie avec de beaux plis. Une réaction s'est faite de nos jours dans un sens archéologique, et, s'appuyant sur ce principe que le
costume n'a pas dû beaucoup varier en Palestine, parce qu'il est fondé sur une nécessité du climat, plusieurs peintres donnent aux personnages bibliques une allure qui les fait ressembler passablement à des Bédouins. Les Hébreux n'ayant laissé aucun monument qui puisse être consulté comme document, les artistes ne peuvent les représenter qu'à l'aide d'hypothèses plus ou moins ingénieuses.
Les textes sacrés renferment un assez grand nombre do mots qui désignent différentes sortes de vêtements; mais, comme iis ne disent rien sur leur forme et leur coupe, on ne peut y puiser que des renseignements très vagues. Les matières dont on se servait pour les tissus étaient la laine, le lin et ce mystérieux byssus, dans lequel quelques auteurs ont cru reconnaître le coton. Les gens riches avaient des vêtements teints en pourpre rouge ou violette, souvent enrichis de broderies. La tunique était pourvue de manches, probablement très-longue, et serrée par une ceinture. Elle était en lin et se plaçait ordinairement sur la peau comme notre chemise. Le manteau ou vêtement de dessus était le plus souvent carré : c'est du moins ce qui paraît résulter d'une loi de Moïse, ordonnant d'attacher aux quatre coins des houppes avec un fil violet, pour se distinguer des idolâtres. Mais les gens riches portaient des vêtements bigarrés dont la forme était probablement assez variée.
Le costume des femmes devait nécessairement différer de celui des hommes, puisqu'une loi interdit aux hommes de porter un manteau de femme. La pièce caractéristique était le voile, qui de tout temps a été l'attribut des femmes en Orient; mais il n'est pas démontré que les femmes juives se soient caché le visage avec autant de rigueur que les musulmanes modernes. Rebecca reste le visage découvert quand elle parle à Éliézer et n'abaisse son voile que lorsqu'elle voit arriver Isaac, son flancé. Il est néanmoins probable que dans les rues et les endroits publics les femmes étaient habituellement voilées.
Les hommes et les femmes avaient le plus grand soin de leur chevelure, qu'ils portaient longue et touffue. Une loi défendait de raser la chevelure à la façon des Arabes, qui, par suite d'une pratique religieuse, ne laissaient qu'une grosse mèche au milieu de la tête, et il était surtout obligatoire de laisser croître les coins de la chevelure, c'est-à-dire la partie qui couvre les tempes. C'était pour se distinguer des peuples voisins qui se rasaient le tour de la tête, ce qui les fait appeler par Jérémie les hommes au coin coupé : le prophète fait allusion aux cheveux frisés et aux tresses des femmes. Un bandeau ceignant le front,
et qui, chez les femmes riches, était recouvert d'une plaque d'or, servait à maintenir la chevelure.
Les hommes tenaient beaucoup à leur barbe qu'ils portaient fort longue, ce qui était considéré comme une grande beauté : la plus grande injure qu'on pût faire à un Hébreu était de porter atteinte à sa barbe. On se servait d'huiles odoriférantes et de parfums divers pour oindre la barbe et les cheveux.
Les liommes portaient toujours avec eux un anneau à cacheter et un bâton orné. Hérodote signale le même usage parmi les Babyloniens; mais il est certainement fort ancien parmi les Hébreux, puisque Thamar demande à Juda, comme gage, le bâton qu'il tient à la main. L'anneau se^portait à un doii,'t de la main droite.
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