Rene Menard - La Vie Privée Des Anciens
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- Название:La Vie Privée Des Anciens
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- Издательство:Paris, Morel
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Fig. 280.
Fig. 281.
Prisonniers barbarys.
nombre de femmes, regardent en même temps comme l'homme vertueux, comme le juste par excellence, celui qui se voue au célibat. S'il était vrai d'ailleurs qu'aux yeux des Gètes, les plus fervents adorateurs de la divinité fussent précisément les hommes qui fuient le commerce des femmes, il y aurait là quelque chose de tout à fait contraire aux idées reçues partout, car c'est aux femmes généralement qu'on attribue l'initiative des pratiques religieuses, et ce sont bien elles en effet qui entraînent les hommes dans tous ces excès de zèle à l'égard des dieux, dans ces fêtes, dans ces prières et adorations perpétuelles, tandis qu'il est rare de voir un homme vivant seul se livrer à de semblables pratiques. )) (Strabon.)
Les figures 280 et 281 représentent des prisonniers barbares dont
LES BARBARES.
225
il est assez difficile de préciser la nationalité, leur costume n'ayantrien qui se rattache directement à un peuple déterminé ; mais comme elles sont tirées d'un monument élevé sous Théodose, on peut croire que ces personnages devaient habiter dans le voisinage du Danube ou sur les bords du Pont-Euxin.
Les Scythes. — Les monuments nous fournissent quelques renseignements sur les costumes des Scythes ; les Grecs avaient des colonies en Tauride (Crimée), et dans les fouilles exécutées dans cettecon-

Flg. •282. Fig. 283.
Custumes scythes (d'après les ciselures d'un vase trouvé dans un tombeau en Tauride).
trée, on a retrouvé des vases avec des ciselures qui représentent les habitants du pays avec lesquels ils avaient établi des rapports. La figure 282 nous montre un Scythe en train d'arranger la corde de son arc. Son bonnet, qui retombe par derrière de manière à couvrir le cou, est pointu par le haut; mais cette pointe ne se rabat pas en avant comme dans le bonnet phrygien. Il porte une tunique à manches collantes, serrée à la taille par une ceinture et un pantalon à larges bandes entrant dans des bottes qui montent jusqu'à mi-jambes. Le môme costume se retrouve sur la figure 283, sauf qu'un des deux personnages a une coiffure différente: l'autre est pourvu d'un bouclier rectangulaire arrondi dans les angles.
On peut affirmer que, par-dessus les vêtements que nous voyons représentés sur les monuments, les Scythes portaient souvent une peau de bête en guise de manteau; la rigueur du climat l'exigeait.
Voici d'ailleurs un passage d'Hérodote qui est significatif : « Il paraît que ces peuples sont des enchanteurs. En effet, s'il faut en croire les II. 29
Scythes et les Grecs établis en Scythie, chaque homme se change une fois par an en loup pour quelques jours et reprend ensuite sa première forme. Mais les Scythes ont beau dire, ils ne me feront pascroire de pareils contes; ce n'est pas qu'ils ne les soutiennent et même avec serment. » On peut conclure de là que, dans le canton des Neures, dont Hérodote parle ici, on portait des peaux de loups pendant les grands froids et qu'on les quittait ensuite. Les peuplades voisines ont sans doute cru qu'ils devenaient de véritables loups et ont raconté cela aux Grecs de la Tauride.
La plupart des Scythes étaient nomades.
Hérodote nous donno les renseignements suivants sur leurs habitations et leur façon do vivre : « Les Scythes sont, de tous les peuples que nous connaissions, ceux qui ont trouvé les moyens les plus sûrs pour conserver les avantages les plus précieux; mais je ne vois chez eux rien autre chose à admirer. Ces avantages consistent à ne point laisser échapper ceux qui viennent les attaquer et à ne pouvoir pas être joints quand ils ne veulent pas letre, car ils n'ont ni villes ni forteresses. Ils traînent avec eux leurs maisons; ils sont habiles à tirer de l'arc étant à cheval. Ils ne vivent point des fruits du labourage, mais du bétail, et n'ont point d'autres maisons que leurs chariots. Comment de pareils peuples ne seraient-ils pas invincibles, et comment serait-il aisé de les joindre pour les combattre? Ils ont imaginé ce genre de vie, tant parce que la Scythie y est très-propre, que parce que leurs rivières la favorisent et leur servent de rempart. Leur pays est un pays de plaines, abondant en pâturages et bien arrosé; il n'est, en effet, guère moins coupé de rivières que l'Egypte ne l'est de canaux. » Telles étaient, suivant l'historien grec, les mœurs des Scythes, qui sont les ancêtres des Cosaques et desTartares modernes.
LE VETEMENT
LE COSTUME EN ORIENT
Le costume égyptien. — Le costume hébreu.
Le costcme phénicien. — Le costume assydien. — Le costume des Mèdes
ET DES Perses. — Le costume phrygien. — Le costume lïdien.
Le costume égyptien. — Les rares statues de l'ancien empire qui sont parvenues jusqu'à nous montrent un costume très-simple. On se rappelle la statue en bois qui figurait à l'Exposition universelle de 1867, et dont M. Mariette donne la description suivante : « Un personnage est debout, tenant en main le bâton du commandement. Sa chevelure estcourte, ses hanches sont couvertes d'une sorte de jupe assez longue qui est ramenée par devant en plis bouffants: tout le reste du corps est nu. liien de plus frappant que cette image en quelque sorte vivante d'un personnage mort il y a six mille ans. La tête surtout est saisissante de vérité. De son côté, le corps tout entier a été traité avec un sentiment profond de la nature. Nous ne possédons certes pas de portrait plus authentique et plus parlant. Dans son état primitif, la statue était recouverte d"un stuc léger, peint en rouge et en blanc. Les yeux sont rapportés. Une enveloppe de bronze, qui tient lieu des paupières, enchâsse Toeil proprement dit formé d'un morceau de quartz blanc statue éuypuunne
empire.
opaque, au centre duquel un autre morceau
de cristal de roche sert do prunelle. Au centre et au fond du cristal, un clou brillant est fixé et donne à l'œil ainsi fabriqué quelque chose du regard de la vie. » (Fig. 284)

LE VETEMENT.

Les étoffes communes sont unies ou bien rayées alternativement de blanc et d'un rouge très-léger. Souvent aussi les hommes ont pour vêtement de travail un simple linge roulé qui passe entre les jambes et est noué par devant, comme on en voit encore aujourd'hui aux Égyptiens quand ils tirent de l'eau.
Les ouvriers de la campagne ne présentent pas, quant au vêtement, des différences bien notables avec ceux des villes, et, bien que les
peintures découvertes dans les tombeaux de l'ancienne Egypte remontent à des époques souvent éloignées les unes des autres, on ne voit pas qu'il ait subi en aucun temps des modifications bien sensibles. Le vêtement des hommes consiste la plupart du temps en une seule pièce de toile blanche faisant le tour du corps et descendant au-dessus du genou. Cette espèce de tablier ou caleçon se nouait autour des reins et une partie pendait en avant. On voit aussi quelquefois, mais plus rarement, des pantalons courts qui ne tombent pas plus bas que le genou. Les bras, les jambes et la poitrtne sont nus(Gg. 285); la chevelure est noire et frisée sans être crépue comme celle des nègres.
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