• Пожаловаться

Jose dos Santos: La Formule de Dieu

Здесь есть возможность читать онлайн «Jose dos Santos: La Formule de Dieu» весь текст электронной книги совершенно бесплатно (целиком полную версию). В некоторых случаях присутствует краткое содержание. Город: Paris, год выпуска: 2012, ISBN: 9782357201323, издательство: HC Éditions, категория: Современная проза / Триллер / Прочая научная литература / на французском языке. Описание произведения, (предисловие) а так же отзывы посетителей доступны на портале. Библиотека «Либ Кат» — LibCat.ru создана для любителей полистать хорошую книжку и предлагает широкий выбор жанров:

любовные романы фантастика и фэнтези приключения детективы и триллеры эротика документальные научные юмористические анекдоты о бизнесе проза детские сказки о религиии новинки православные старинные про компьютеры программирование на английском домоводство поэзия

Выбрав категорию по душе Вы сможете найти действительно стоящие книги и насладиться погружением в мир воображения, прочувствовать переживания героев или узнать для себя что-то новое, совершить внутреннее открытие. Подробная информация для ознакомления по текущему запросу представлена ниже:

Jose dos Santos La Formule de Dieu

La Formule de Dieu: краткое содержание, описание и аннотация

Предлагаем к чтению аннотацию, описание, краткое содержание или предисловие (зависит от того, что написал сам автор книги «La Formule de Dieu»). Если вы не нашли необходимую информацию о книге — напишите в комментариях, мы постараемся отыскать её.

Présentation de l'éditeur Quatrième de couverture : Printemps 1951, deux espions de la CIA épient une rencontre de la plus haute importance entre David Ben Gourion, « premier » Premier Ministre de l'État d'Israël, et Albert Einstein. L'objet de leur discussion : l'obtention de l'arme nucléaire par le jeune état juif et l'existence de Dieu. Cinquante ans plus tard, Tomas Noronha, expert en cryptologie, est appelé au Caire par une mystérieuse jeune femme. Sa mission : déchiffrer un cryptogramme caché dans un document détenu par le gouvernement de Téhéran. Un manuscrit écrit de la main d'Albert Einstein dont le contenu pourrait bousculer l'ordre mondial. Tomas Noronha devient alors un agent double censé collaborer avec les Iraniens pour informer l'Occident. Mais au cours de son enquête, il découvre que le fameux manuscrit contient beaucoup plus de choses que ne l'espéraient ses différents commanditaires. Il serait tout simplement la preuve scientifique de l'existence de Dieu. « Le Caire, de nos jours. Le cryptologue portugais Tomás Noronha se voit confier le décryptage d’un manuscrit original. Son nom ? . Son auteur ? Albert Einstein lui-même. L’enjeu ? Le mode d’emploi d’une bombe nucléaire surpuissante. Précipité malgré lui au cœur d’une affaire d’espionnage international, Noronha plonge dans les secrets de l’atome… et dans un mystère bien plus grand encore.. » « Dan Brown avait rabiboché l’art et la religion dans le , José Rodrigues dos Santos réussit le pari de marier la science au divin dans » Le Point « Pas la peine de tergiverser, c’est le roman qu’on va tous s'offrir. » 20 minutes « Attention, chef-d’œuvre ! » Le Dauphiné libéré

Jose dos Santos: другие книги автора


Кто написал La Formule de Dieu? Узнайте фамилию, как зовут автора книги и список всех его произведений по сериям.

La Formule de Dieu — читать онлайн бесплатно полную книгу (весь текст) целиком

Ниже представлен текст книги, разбитый по страницам. Система сохранения места последней прочитанной страницы, позволяет с удобством читать онлайн бесплатно книгу «La Formule de Dieu», без необходимости каждый раз заново искать на чём Вы остановились. Поставьте закладку, и сможете в любой момент перейти на страницу, на которой закончили чтение.

Тёмная тема

Шрифт:

Сбросить

Интервал:

Закладка:

Сделать

La fenêtre du bureau ouvrait sur le jardin : les feuillages et la pelouse ondulaient au rythme du vent, et les gouttes d’eau giclant des tourniquets étincelaient sous le soleil matinal. Il téléphona à un assistant et régla les détails des cours, en promettant de laisser au secrétariat de la faculté les plans qu’il venait de terminer. Après quoi, il chercha dans le répertoire de son portable le numéro de l’attaché culturel de l’ambassade américaine, et l’appela.

— Sullivan, j’écoute.

— Bonjour, Greg. C’est Tomás Noronha, de la Gulbenkian.

— Tomás ! Comment allez-vous ?

L’attaché culturel parlait portugais avec un fort accent américain, très nasal.

— Très bien. Et vous ?

— Bien aussi. Alors, c’était comment le Caire ?

— Normal. Je pense que nous allons conclure l’affaire pour acquérir la stèle. La décision appartient maintenant à l’administration, bien entendu. Mais mon impression est positive et les conditions me semblent acceptables.

— Je ne vois pas ce que vous trouvez de particulier à ces vieilleries égyptiennes, dit l’Américain en riant. Je pense qu’il y a des choses plus intéressantes qui mériteraient que l’on dépense de l’argent.

— Vous dites ça parce que vous n’êtes pas historien.

— Peut-être. Il changea de ton. Tomás, j’ai cherché à vous joindre parce qu’il faudrait que vous passiez à l’ambassade.

— Ah oui ? Que se passe-t-il ?

— C’est une affaire qui… enfin… ne peut être discutée par téléphone.

— Ne me dites pas que vous avez des nouvelles concernant la proposition que nous avons faite au Getty Center. Ils ont donc fini par accepter à Los Angeles…

— Non, ce n’est pas ça, coupa Sullivan. C’est… autre chose.

— Hum, murmura Tomás, cherchant à deviner de quelle affaire il s’agissait. Peut-être quelque nouvelle du Musée hébraïque, pensa-t-il. Depuis qu’il s’était mis à l’hébreu et à l’araméen, l’attaché américain lui proposait souvent d’aller à New York pour voir le musée.

— Très bien. Quand voulez-vous que je vienne ?

— Cet après-midi.

— Cet après-midi ? Je ne sais pas si je pourrai. Mes parents seront ici dans un moment et je dois encore passer à la faculté.

— Tomás, il faut que ce soit cet après-midi.

— Mais pourquoi ?

— Quelqu’un est arrivé d’Amérique. Il a pris l’avion exprès pour venir vous parler.

— Pour me parler à moi ? Qui est-ce ?

— Je ne peux pas vous le dire au téléphone.

— Allons, dites-le.

— Je ne peux pas.

— C’est Angelina Jolie ?

Sullivan rit.

— Décidément, vous faites une fixation sur Angelina Jolie. C’est la deuxième fois que vous m’en parlez.

— C’est une fille dotée d’attributs… disons… appréciables, commenta Tomás avec un sourire. Mais si ce n’est pas Angelina Jolie, qui est-ce ?

— Vous verrez.

— Écoutez Greg, j’ai autre chose à faire qu’à supporter des casse-pieds, vous comprenez ? Dites-moi qui c’est ou je ne viendrai pas.

L’attaché culturel hésita à l’autre bout de la ligne.

— OK, je vais vous donner une piste. Mais vous devez me promettre d’être là à 15 heures.

— À 16 heures.

— Très bien, 16 heures ici à l’ambassade. Je compte sur vous, d’accord ?

— Soyez tranquille, Greg.

— Parfait. À tout à l’heure, alors.

— Attendez, cria presque Tomás. Vous ne m’avez toujours pas donné de piste, bon sang.

— J’espérais que vous aviez oublié.

— Vous êtes un malin. Alors ? Cette piste ?

— C’est confidentiel, vous entendez ?

— Oui, oui, j’entends bien. Mais accouchez.

— OK, acquiesça l’Américain. Il respira profondément. Tomás, avez-vous déjà entendu parler de la CIA ?

L’historien crut mal entendre.

— Quoi ?

— On en parlera cet après-midi. À tout à l’heure.

L’horloge sur le mur indiquait 12h50 lorsque l’on frappa à la porte du bureau. La poignée tourna et Tomás vit se pencher un visage familier, une femme aux cheveux blonds bouclés, avec de grosses lunettes barrant des yeux vert clair, les mêmes yeux dont il avait hérités.

— Je peux ?

— Maman ! s’exclama l’historien, en se levant. Tout va bien ?

— Mon fils chéri, dit-elle, en le serrant et l’embrassant avec effusion. Comment vas-tu ?

Une toux sèche, derrière elle, annonça un second visage.

— Bonjour, papa, salua Tomás, tendant sa main avec prévenance.

— Alors, mon garçon ? Comment ça va ?

Ils se serrèrent la main, un peu embarrassés, comme toujours quand ils se rencontraient.

— Tout va bien, dit Tomás.

— Quand trouveras-tu une femme pour s’occuper de toi ? demanda sa mère. Tu as 42 ans, il faut que tu refasses ta vie, mon fils.

— Ah, mais j’y compte bien.

— Il faut que tu nous donnes des petits-enfants.

— Bien sûr, bien sûr.

— N’y a-t-il pas moyen que toi et Constança… enfin… vous…

— Non, il n’y en a pas, coupa Tomás. Il regarda vers l’horloge, cherchant à changer de sujet. Si on allait manger ?

La mère hésita.

— D’accord, mais… mais il vaudrait mieux, d’abord, qu’on parle un peu.

— On parlera au restaurant. Il fit signe de la tête. Allons-y. J’ai réservé une table et…

— Il faut que nous parlions ici, interrompit-elle.

— Ici ? s’étonna le fils. Mais pourquoi ?

— Parce que nous devons parler seuls. Sans personne autour.

Tomás prit une mine intriguée et referma doucement la porte de la pièce. Il avança deux chaises, où ses parents s’assirent, et rejoignit sa place, derrière le bureau.

— Alors ? demanda-t-il, en les regardant d’un air interrogatif. Que se passe-t-il ?

Ses parents semblaient gênés. La mère regarda son mari, indécise, comme si elle attendait qu’il commence à parler. Comme il restait muet, elle le devança.

— Ton père a quelque chose à te dire. Elle regarda de nouveau son mari. N’est-ce pas, Manuel ?

Le père se redressa sur sa chaise et toussa.

— Je suis inquiet parce qu’un de mes collègues a disparu, dit-il, visiblement mal à l’aise. Augusto…

— Manuel, interrompit la femme. Ne commence pas à divaguer.

— Je ne divague pas. La disparition d’Augusto me préoccupe, que veux-tu ?

— Nous ne sommes pas venus ici pour parler d’Augusto.

Le regard de Tomás alla de l’un à l’autre.

— Qui est Augusto ?

La mère roula des yeux, contrariée.

— C’est le professeur Augusto Siza, un collègue de ton père à l’université. Il enseigne la physique et il a disparu voilà deux semaines.

— Ah, oui ?

— Mon fils, cette histoire ne nous concerne pas. Nous sommes ici pour une autre raison. Elle regarda son mari. N’est-ce pas, Manuel ?

Manuel Noronha baissa la tête et inspecta ses ongles, jaunis par tant d’années de cigarettes. Assis derrière son bureau, Tomás examina son père. Il était presque chauve, seuls résistaient à la calvitie un cercle de cheveux blancs tombant sur les oreilles et la nuque ; ses sourcils, épais et rebelles, grisonnaient et son visage était creusé, ses pommettes trop saillantes cachaient presque ses petits yeux marron clair ; et de grandes rides entaillaient sa face comme des cicatrices. À y regarder de près, son père se faisait vieux ; vieux et maigre, avec un corps chétif et sec, il ne lui restait pratiquement plus que la peau et les os. Il avait 70 ans et l’âge commençait à lui peser, c’était incroyable qu’il donne encore des cours de mathématiques à l’université de Coimbra. Seuls sa lucidité et son talent le permettaient, mais il avait tout de même dû obtenir une autorisation spéciale du recteur ; dans le cas contraire, il aurait dépéri chez lui depuis longtemps.

Читать дальше
Тёмная тема

Шрифт:

Сбросить

Интервал:

Закладка:

Сделать

Похожие книги на «La Formule de Dieu»

Представляем Вашему вниманию похожие книги на «La Formule de Dieu» списком для выбора. Мы отобрали схожую по названию и смыслу литературу в надежде предоставить читателям больше вариантов отыскать новые, интересные, ещё не прочитанные произведения.


Amélie Nothomb: Métaphysique des tubes
Métaphysique des tubes
Amélie Nothomb
José Santos: El séptimo sello
El séptimo sello
José Santos
Sibylle Lewitscharoff: Blumenberg
Blumenberg
Sibylle Lewitscharoff
Fédor Dostoïevski: Roman En Neuf Lettres
Roman En Neuf Lettres
Fédor Dostoïevski
Отзывы о книге «La Formule de Dieu»

Обсуждение, отзывы о книге «La Formule de Dieu» и просто собственные мнения читателей. Оставьте ваши комментарии, напишите, что Вы думаете о произведении, его смысле или главных героях. Укажите что конкретно понравилось, а что нет, и почему Вы так считаете.