Joseph Conrad - Le Frère-De-La-Côte

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Le Frère-De-La-Côte: краткое содержание, описание и аннотация

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Ce roman d'aventures est la dernière oeuvre que Joseph Conrad conduisit à son terme. Peyrol, ancien forban, se retire sur le rivage méditerranéen, non loin de la rade de Toulon, dans une période troublée – l'action se déroule sous la Convention et le Consulat – où la paix à laquelle il aspire va lui être ravie par la force des circonstances. Sur la toile de fond mi-terrestre mi-maritime, se meuvent des personnages fortement individualisés, marqués par les événements de l'époque – rivalités politiques nationales, massacres de la Terreur, etc.

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[2] À G. Jean-Aubry, en toute amitié ce récit des derniers jours d’un Frère-de-la-Côte français [2] . G. Jean-Aubry était l’ami intime et fut le principal traducteur de Conrad. Cette dédicace est l’un des éléments qui ont déterminé le choix du titre français.

[3]Le câble d’ancre, évidemment. Au début du XVIIIe siècle, le câble était normalement en chanvre; les câbles-chaines en métal furent progressivement substitués aux cordages pour cet usage. Dans la première version imprimée de ce passage, le texte anglais contenait le mot chain au lieu de cable . G. Jean-Aubry (voir son édition des Lettres françaises de Conrad , Gallimard, 1929, p. 198-199) a retrouvé un brouillon de lettre au lieutenant de vaisseau Blanchenay sur ce sujet. Conrad lui écrivait: «Merci bien de votre bonne lettre à propos du Rover . Elle prouve surtout l’humanité de votre caractère, car le premier paragraphe de ce livre contient un anachronisme atroce pour lequel vous auriez pu me faire passer au conseil. Je veux dire le bruit de chaîne quand Peyrol jette l’ancre dans l’avant port. Une chaîne en 1796! C’est inouï! Je n’avais pas pu lire les épreuves moi-même. Quinze jours après l’arrivée du premier exemplaire, je l’ouvris d’une main distraite. Vous pouvez imaginer la secousse que ce bruit de chaîne m’a donné [sic]. J’ai commencé par le geste de m’arracher les cheveux; puis je me suis dit qu’à mon âge ça ne se faisait pas; qu’il fallait me résigner à porter cette chaîne à mon cou jusqu’à la fin de ma vie.»

[4]Peyrol est l’un des rares héros ou protagonistes de Conrad qui ne soient pas jeunes; et surtout il approche de l’âge qu’avait l’auteur au moment d’écrire ce roman.

[5]Relever (une voile carrée) pli par pli et la fixer le long d’une vergue.

[6]Le texte contient ici le mot rover qui constitue le titre anglais du roman. Il est indispensable de lui donner dans le présent contexte son sens habituel.

[7]Dans la ville du Cap, fondée en 1652 par les Hollandais à la pointe sud de l’Afrique, non loin du cap de Bonne-Espérance.

[8]Les îles du Cap-Vert sont un archipel portugais situé dans l’Atlantique, à l’ouest du Sénégal, et le cap Spartel se trouve sur la côte du Maroc à l’entrée de la Méditerranée, près de Tanger.

[9]Située au sud de la presqu’île de Giens.

[10]L’Almanarre est une petite localité côtière située en bordure des Salins des Pesquiers, à l’ouest de la presqu’île de Giens.

[11]Petit bâtiment ayant un grand mât, un mât de tapecul et un beaupré.

[12]Bras de mer de l’océan Indien, entre l’Afrique et Madagascar.

[13]Le cap de Bonne-Espérance avait été nommé «cap des Tempêtes» par son découvreur portugais, Bartolomeu Dias, en 1487. C’est le roi Jean II qui préféra le rebaptiser.

[14]La presqu’île se compose d’une étroite bande de terre orientée du nord au sud sur 4 km, et à son extrémité d’une bande plus large et très découpée, orientée d’ouest en est sur 6 km.

[15]Le cap de l’Esterel est la pointe est de la presqu’île de Giens.

[16]Cette expression, d’allure un peu solennelle en anglais, est peut-être une allusion biblique (voir Ex., 11, 22).

[17]Le mohur était une monnaie d’or de l’Inde britannique, valant 15 roupies. La «pièce» ou «pièce de huit» espagnole valait huit réals; quant à la guinée anglaise, créée en 1684, elle a valu entre 30 et 21 shillings, et a cessé depuis 1817 d’être représentée par une pièce de monnaie.

[18]Les salines qui longent l’ouest de la presqu’île de Giens (Salins des Pesquiers) sont parmi les plus étendues de la région.

[19]La lagune des Pesquiers comprend, au sud des Salins, un grand étang.

[20]G. Jean-Aubry, dans son introduction au Frère-de-la-Côte , pensait que Conrad avait adapté le nom de la pointe Escampobarine, à l’extrémité sud-ouest de la presqu’île. Mais Claudine Lesage-Holuigue (voir « Topographie d’un roman: Le Frère-de-la-Côte », L’Univers conradien, Limoges, 1988, p. 117-127) a démontré qu’il existe un domaine situé au sud de l’ancien château et portant le nom de L’Escampobar.

[21]Ce nom, donné pendant la Révolution aux personnes rattachées par leur naissance ou leur fortune à l’Ancien Régime, est invariable en français. En anglais, Conrad le met au pluriel sous la forme ci-devants .

[22]En faisant dire à Peyrol « You other sans-culottes », Conrad lui attribue un gallicisme; mais c’est de façon délibérée, comme ce sera souvent le cas dans la suite du roman. La traduction littérale d’expressions françaises contribue à créer la couleur locale.

[23]Ce prénom du personnage, par allusion à Mucius Scaevola, l’héroïque jeune Romain, est plus approprié à un républicain fanatique que n’importe quel saint du calendrier. Cependant Scevola Bron a reçu son prénom de ses parents, longtemps avant la Révolution; le texte ne dit pas qu’il ait changé de prénom récemment.

[24]La forme anglaise postured on the very doorstep est insolite quoique intelligible.

[25]Le cap Cépet forme la pointe sud-est de la presqu’île de Saint-Mandrier, qui ferme la rade de Toulon. L’église Notre-Dame-du-Mai, qui s’appelait naguère Notre-Dame-de-la-Garde, se trouve sur le cap Cicié et non sur le cap Cépet plus à l’ouest.

[26]Au cours d’une longue carrière sur des mers lointaines, Peyrol a vu bien des bateaux divers, dont les catamarans (pirogues à flotteurs latéraux), les ballahous (connus aux Bermudes et aux Antilles), les praos (bateaux malais caractérisés par deux gouvernails latéraux) et les lorchas (bâtiments dont la coque est de forme européenne mais le gréement chinois).

[27]Le Cap Cicié se trouve au sud-est de Toulon, à peu près à la latitude de Giens.

[28]Au sud-est des Pesquiers, sur la côte nord de la presqu’île de Giens.

[29]Le texte donne un exemple pittoresque de gallicisme délibéré quand Peyrol parle de all my little affairs .

[30]Peut-être Pakhoi, ou Hoppo, ou Tchan Kiung.

[31]Il n’est pas étonnant qu’un marin français ait noué des relations dans ce comptoir français du sud-est de l’Inde.

[32]D’après les recherches menées par Gerald Morgan et dont les résultats nous ont été obligeamment communiqués par Pierre Lefranc, ce corsaire français correspondrait à l’Émilie , dont l’existence est attestée en 1797.

[33]Port-Louis est la plus grande ville de l’île Maurice, où Conrad avait séjourné en 1888 et où la population comprend une forte proportion d’Indiens.

[34]On voit mal comment Peyrol pouvait disposer de dollars avant l’époque de la Révolution française, cette devise ayant été répandue aux États-Unis en 1794, en Orient à partir de 1873.

[35]Faubourg de la ville de Narasapur (État de Madras en Inde); il a donné son nom (mais en français seulement) au tissu de coton qu’on y fabriquait dans les débuts de la Compagnie des Indes orientales.

[36]C’est encore le mot rover qu’on trouve ici; le contexte invitait cette fois à le traduire par «forban».

[37]Dans la France révolutionnaire, le jour de repos est le dixième et dernier jour de la décade.

[38]Dans le texte: a leaf does not pose itself lighter ; c’est un gallicisme flagrant, introduit probablement à dessein, puisque la conversation est censée se dérouler en français.

[39]Pièce tirant un projectile de douze livres.

[40]L’expression anglaise as if she had two voices nithin her semble évoquer l’un des plus célèbres poèmes d’Alfred Tennyson (1809-1892), « The Two Voices » («Les Deux Voix», 1833).

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