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William Gibson: Mona Lisa s'éclate

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William Gibson Mona Lisa s'éclate
  • Название:
    Mona Lisa s'éclate
  • Автор:
  • Издательство:
    J'ai Lu
  • Жанр:
  • Год:
    1990
  • Город:
    Paris
  • Язык:
    Французский
  • ISBN:
    2-277-22735-8
  • Рейтинг книги:
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Mona Lisa s'éclate: краткое содержание, описание и аннотация

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Une nouvelle macroforme est apparue dans le Conurb : . Un gigantesque empilement de biopuces capables de reconstituer tous les savoirs, toutes les données de l’univers. Un fantastique instrument de pouvoir ! Tous les pirates de cyberspace sont à sa recherche. Mais qui le détient réellement ? Bobby, un génie du logiciel ? Dame 3Jane, l’héritière clonée de l’empire Tessier-Ashpool ? Ou Angie, vedette de cinéma, fille du savant Mitchell, le célèbre créateur des biopuces ? L’enjeu est de taille ! Ils l’ignorent encore mais celui qui, au risque de sa vie, saura se rendre maître de l’aleph possèdera les clés d’un monde nouveau, un monde au-delà de l’humanité…

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La Ruse se pencha pour regarder la conductrice. Casque blond, fard à paupières.

— Cherry, je te présente un ami personnel, M. Henry la Ruse. Quand il était jeune et méchant, il frayait avec les Diacres bleus. Maintenant qu’il est devenu vieux et resté méchant, il s’est terré ici pour se consacrer à son art , n’est-ce pas. C’est un artiste , vois-tu.

— C’est lui qui construit les robots, dit la fille en mâchonnant son chewing-gum, c’est ça ?

— Lui-même, confirma Kid en ouvrant sa porte. Tu nous attends ici, Cherry chérie ?

Drapé dans un manteau de vison qui effleurait les pointes immaculées de ses bottes jaunes en autruche, Kid sortit et la Ruse crut entrevoir quelque chose à l’arrière du glisseur, l’image, fugitive comme un gyrophare d’ambulance, de pansements et de cathéters chirurgicaux…

— Eh, Kid, qu’est-ce que t’as là, derrière ? La main couverte de bagues du Kid se leva, pour faire reculer la Ruse tandis que la portière se refermait et que Cherry pressait le bouton du lève-vitre.

— C’est de ça qu’on doit causer, la Ruse.

— Je ne crois pas que ce soit trop demander, dit Kid, en s’appuyant contre un établi métallique, toujours emmitouflé dans son vison. Cherry a sa carte d’auxiliaire médicale et elle sait qu’elle sera payée. Une chouette fille, la Ruse. (Il cligna de l’œil.)

— Kid…

Kid Afrika avait à l’arrière du glisseur ce type qui était comme mort, dans le coma ou Dieu sait quoi, raccordé à tout un tas de pompes, de sacs et de tuyaux, plus une espèce de récepteur de simstim, le tout boulonné sur une vieille civière d’ambulance en alliage léger, avec les batteries et tout le tremblement.

— C’est quoi, ce truc ? demanda Cherry.

Elle les avait suivis à l’intérieur après que Kid eut fait ressortir la Ruse pour lui montrer son passager, et elle était en train d’observer, avec une moue dubitative, la masse imposante du Juge – l’essentiel de celui-ci, tout du moins : le bras avec la scie circulaire était resté où ils l’avaient laissé, par terre, sur la bâche graisseuse. Si elle a une carte d’auxiliaire médicale , jugea la Ruse, alors, c’est que son propriétaire n’a pas encore dû noter sa disparition. Elle portait au moins quatre blousons de cuir superposés, tous trop grands de plusieurs tailles.

— La Ruse fait dans l’art, comme je t’ai dit.

— Ce type est en train de crever. Il sent la pisse.

— Le cathéter s’est défait, dit Cherry. Et c’est censé servir à quoi, au juste, ce truc ?

— On peut pas le garder ici, Kid. Il va caner. Si tu veux le tuer, va le fourrer dans un trou sur la Solitude.

— Cet homme n’est pas en train de mourir, protesta Kid. Il n’est ni blessé ni malade…

— Ben merde alors, qu’est-ce qui cloche chez lui ?

— Il est en plongée , mon chou. Parti en long voyage. Ce qu’il lui faut, c’est du calme et de la tranquillité.

Le regard de la Ruse passa du Kid au Juge puis revint au Kid. Il avait envie de bosser sur ce bras. Kid, lui, voulait que la Ruse garde le type quinze jours, trois semaines peut-être ; il lui laisserait Cherry pour s’en occuper.

— J’arrive pas à comprendre. Ce mec, c’est un pote à toi ?

Kid Afrika haussa les épaules sous son vison.

— Alors, pourquoi tu le gardes pas chez toi ?

— C’est pas aussi calme, pas aussi tranquille.

— Kid, insista la Ruse, j’ai une dette envers toi, d’accord, mais pas pour un truc aussi glauque. En plus, j’ai du boulot, et puis c’est un coup trop tordu. Y a Gentry, aussi. Il est à Boston, pour l’instant ; y revient demain soir et ça ne va pas lui plaire. Tu sais comment il est avec les gens… Et c’est quand même d’abord chez lui, ici, comme tu le sais…

— Ils t’avaient fait passer par-dessus la balustrade, mec, observa tristement Kid. Tu t’souviens ?

— Eh, j’me souviens, je…

— Pas trop bien, jugea Kid. Okay, Cherry, on y va. J’ai pas envie de retraverser la Chienne de Solitude en pleine nuit. (Il s’écarta de l’établi.)

— Kid, écoute…

— Laisse tomber. Je connaissais pas ton putain de nom, à l’époque, à Atlantic City, j’m’étais simplement dit que j’avais pas envie de voir le p’tit Blanc répandu sur le trottoir, tu piges ? Alors, si j’connaissais pas ton nom à ce moment-là, j’suppose que je le connais pas plus aujourd’hui.

— Kid…

— Ouais ?

— D’accord. Il reste. Quinze jours, maxi. Tu me donnes ta parole que tu reviendras le récupérer ? Et que tu m’aideras à convaincre Gentry ?

— Qu’est-ce qu’il lui faut, à celui-là ?

— De la came.

Petit Oiseau réapparut alors que le Dodge de Kid s’éloignait en ballottant sur la Solitude. Il sortit prudemment de derrière un amas de voitures compressées, matelas rouillé d’acier compact qui laissait encore voir quelques taches d’émail laqué.

La Ruse l’observait depuis une fenêtre à l’étage de la Fabrique. Les carrés délimités par l’encadrement d’acier avaient été obturés de fragments de plastique de récupération, tous d’épaisseurs et de teintes différentes, si bien qu’il lui suffisait d’incliner la tête pour voir Petit Oiseau à travers un panneau de plexiglas rose vif.

— Qui habite ici ? demanda Cherry depuis la pièce derrière lui.

— Moi, répondit la Ruse, Petit Oiseau, Gentry…

— Dans cette chambre, je veux dire.

Il se retourna et la vit près de la civière avec ses machines.

— Vous, répondit-il.

— C’est la vôtre ?

Elle contemplait les dessins scotchés aux murs, ses esquisses originales pour Le Juge et ses Enquêteurs, Le Hache-corps et la Sorcière.

Vous en faites pas pour ça.

— Vaudrait mieux pas que vous vous fassiez des idées…

Il la regarda. Elle avait une large plaie rouge au coin de la bouche. Ses cheveux décolorés étaient hérissés comme par de l’électricité statique.

— J’vous l’ai dit, faut pas vous en faire pour ça.

— Kid a dit que vous aviez l’électricité.

— Ouais.

— Vaudrait mieux la brancher, dit-elle en se retournant vers la civière. Il ne pompe pas beaucoup mais les accus vont faiblir.

Il traversa la pièce pour aller contempler le visage ravagé.

— Vous feriez mieux de m’expliquer un truc, commença-t-il. (Il n’aimait pas ces tuyaux. L’un d’eux rentrait par une narine et cela lui donnait des haut-le-cœur rien que d’y penser.) Qui est-ce, et qu’est-ce que Kid Afrika est en train de lui faire, à ce pauvre type ?

— Rien du tout, dit-elle, en faisant apparaître, d’une pichenette, une courbe sur le biomoniteur fixé par du ruban argenté au pied de la civière. Il a toujours des mouvements rapides des yeux, comme s’il rêvait en permanence…

L’homme étendu était emmailloté dans un sac de couchage bleu tout neuf.

— En fait, c’est lui – ou quelqu’un – qui paie le Kid à faire ça.

Le type avait un faisceau de trodes collé au front ; un unique câble noir, branché dans un connecteur derrière l’oreille gauche, était fixé sur le bord de la civière. La Ruse le suivit des yeux jusqu’au gros boîtier gris qui semblait dominer tout l’appareillage monté sur la superstructure. Une simstim [1] Voir Neuromancien et Comte Zéro . (N.d.T.) ? Ça n’y ressemblait pas. Une espèce de platine de cyberspace ? Gentry en connaissait un rayon en la matière – en tout cas, il en parlait beaucoup – mais la Ruse n’avait jamais entendu dire qu’on pouvait ainsi perdre conscience et rester branché comme ça… Les gens s’interfaçaient pour pouvoir pirater. On se mettait les trodes et on était parti, toutes les données stockées dans le monde vous apparaissaient, empilées comme dans une immense cité de verre si bien que l’on pouvait les parcourir, avoir prise sur elles, visuellement du moins ; autrement, c’était trop compliqué d’essayer de retrouver telle ou telle donnée précise. De l’iconique, Gentry appelait ça.

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