Cherie Priest - Boneshaker

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Nous sommes en 1880. La Guerre Civile américaine fait rage depuis plus de deux décennies, poussant les avancées technologiques dans d’étranges et terribles directions. Des dirigeables de combat sillonnent le ciel, et des véhicules blindés rampent dans les tranchées. Les scientifiques de l’armée détournent les lois de la nature et échangent leur âme contre des armes surnaturelles alimentées par le feu, la vapeur et le sang. Bienvenue dans le Siècle Mécanique, un siècle sombre et différent. C’est dans ce monde que vit Briar Wilkes et son fils. Elle est la veuve de l’infâme Dr. Blue, créateur du Boneshaker, la machine qui détruisit Seattle, perçant par-là même une poche de gaz qui transforma les vivants en non-morts. Mais un beau jour, son fils décide de pénétrer dans Seattle dans l’espoir de réécrire l’histoire. Sa quête le conduira dans une ville en ruine grouillant de morts-vivants affamés, de pirates de l’air, de seigneurs criminels et de réfugiés armés jusqu’aux dents. Seule Briar peut le ramener vivant.

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Les Pourris six à huit chutèrent avec elle, mais se relevèrent et furent rejoints par un grand nombre de congénères.

Ils grouillaient et grognaient, trois étages plus bas d’après le calcul de Briar.

Elle s’éloigna de la fenêtre et essaya de reprendre son souffle, ce qui était à présent un effort permanent, puis elle se contorsionna pour ôter le verre qui s’était logé dans sa jambe.

Elle fit la grimace lorsqu’elle toucha l’arrière de son pantalon. Elle détestait l’idée d’exposer la moindre parcelle de peau au Fléau, mais elle ne pouvait pas évaluer les dégâts sans retirer ses gants. Elle enleva donc celui qui recouvrait sa main droite et fit de son mieux pour ignorer l’air visqueux.

Cela aurait pu être pire.

L’éclat le plus gros avait la taille d’une graine de tournesol. Il n’y avait pas beaucoup de sang, mais le tissu déchiré laissait le Fléau irriter les plaies, et elles piquaient plus qu’elles ne l’auraient dû. Si elle avait eu des compresses ou des bandages, ou n’importe quel autre morceau de tissu propre, elle aurait pansé la blessure. Mais elle n’avait rien, et il n’y avait rien à faire, à part s’assurer qu’il n’y avait plus de verre.

Cela étant fait, elle prit un moment pour examiner les environs.

Elle n’avait pas atterri au dernier étage de l’immeuble, comme en attestait l’escalier qui se trouvait contre le mur opposé. Avant, l’endroit avait presque certainement été un hôtel. Sur le sol, devant la fenêtre, s’accumulait une importante quantité de verre brisé, dont une partie était tombée sur un vieux lit délabré, orné d’une tête de lit en laiton qui avait pris une vilaine teinte marron. Une table de nuit à moitié cassée était collée contre un mur, deux tiroirs avaient été jetés au sol, tandis qu’une cuvette et un pichet ébréchés avaient été renversés dans l’angle.

Le plancher craqua lorsqu’elle avança, mais le bruit n’était pas pire que le vacarme étourdissant à l’extérieur, là où s’amassaient de plus en plus de Pourris, attirés par les cris des autres. Ils allaient finir par trouver un moyen d’arriver jusque-là, et les filtres du masque de Briar finiraient par se boucher et elle allait suffoquer.

Mais elle pourrait s’inquiéter de tout cela plus tard. Pour le moment elle était en sécurité, ou du moins l’était-elle plus qu’elle ne l’avait été quelques instants auparavant. Sa définition du mot « sécurité » était de plus en plus souple.

En regardant par la fenêtre, elle vit un carrefour. Commercial Avenue croisait une autre route qui descendait de la colline. Les Pourris accouraient en masse à l’endroit où était certainement indiqué le nom de la rue. Peu importait son nom, peu importait qu’elle arrive à lire l’inscription qui l’aurait renseignée plus précisément. Il n’était plus envisageable de passer par là, maintenant. Peutêtre que cela n’était plus possible depuis seize ans. Mais elle avait essayé et avait tout donné. Elle avait été silencieuse et prudente, et cela n’avait pas suffi. Alors elle en était là. Il en allait des rues comme du mur.

Il fallait passer par-dessus ou par-dessous. Les emprunter directement était trop risqué.

Briar se dirigea vers l’escalier et écarta la porte qui était sortie de ses gonds. Il ne restait certainement plus qu’un ou deux étages à monter. Elle allait d’abord grimper, puis voir à quoi cela ressemblait de là-haut.

La cage d’escalier était plongée dans le noir absolu. Le bruit des Pourris à l’extérieur était étouffé au point d’être presque inaudible, et elle aurait pu occulter leur présence, alors qu’ils l’attendaient bruyamment et trépignaient à l’idée de lui croquer les os.

Mais elle ne pouvait pas les oublier complètement. Leurs cris résonnaient encore dans ses oreilles et retenaient son attention, même si elle s’efforçait de les ignorer. Derrière ses paupières, elle revoyait trop clairement les doigts gris et décharnés qui étaient restés accrochés à l’échelle, même détachés du corps, insistant jusqu’au bout.

Elle reprit ses esprits et, dans le même temps, sa respiration ralentit alors qu’elle arrivait à se calmer. Elle gravit les marches à une vitesse modérée qui permettait à son corps de se remettre et de retrouver un rythme normal.

Une fois au sommet de l’escalier, elle tomba sur une porte qui donnait sur le toit. Celui-ci montrait quelques signes d’un récent passage. Une paire de lunettes cassée avait été expédiée dans un coin. Un sac avait été déchiré et abandonné dans une mare de goudron et d’eau. Des empreintes charbonneuses se croisaient ici et là.

Elle les suivit jusqu’au bord du toit. Elles disparaissaient sur la corniche et Briar se demanda si leurs propriétaires avaient sauté ou étaient tombés. Puis elle vit le bâtiment voisin, tout proche. C’était une structure plus haute d’un étage, et il y avait une fenêtre parfaitement parallèle à l’endroit où elle se tenait. Celle-ci avait été barricadée à l’aide de deux portes rassemblées pour ne plus former qu’une seule longue planche, laquelle était fixée contre l’autre bâtiment, disposée là tel un pont-levis que l’on pouvait baisser ou relever en fonction de la nécessité ou du danger.

Au-dessous, l’un des Pourris l’avait suivie jusqu’au côté opposé. Il leva les yeux avec un ignoble grognement et fut rapidement rejoint par d’autres morts vivants mus par les mêmes intentions hostiles. Dans quelques minutes, ils encercleraient entièrement le bâtiment.

L’autre immeuble semblait inoccupé. Certaines fenêtres étaient barricadées, d’autres n’avaient que de fins rideaux tirés à la va-vite et rien ne bougeait derrière eux.

Peut-être qu’elle aurait plus de chance en bas. Elle était arrivée dans les rues par un souterrain, alors, la meilleure façon de se déplacer était peut-être de rester sous terre.

Pas très loin, directement sous elle, quelque chose tomba et se brisa. Les grognements avaient redoublé d’intensité du fait du nombre grandissant de Pourris et de l’agitation qui les gagnait.

Elle chercha dans sa sacoche de quoi recharger rapidement son arme. Si les Pourris avaient réussi à entrer dans le bâtiment, il se pourrait qu’elle ait à se frayer un chemin parmi eux à coups de fusil pour atteindre le sous-sol.

Ses mains s’arrêtèrent très brièvement sur la boîte de cartouches.

Si elle descendait et qu’ils la suivaient, elle serait coincée.

Elle rechargea le fusil. Piégée en bas, piégée en haut. La différence était minime et elle était condamnée quoiqu’il arrive. Il valait mieux garder son arme à portée de main et maximiser ses chances.

La cacophonie s’amplifiait, et Briar se demanda si elle n’avait pas déjà perdu la possibilité de chercher une sortie par le bas. Elle s’assura que les cartouches étaient bien en place et jeta un autre coup d’œil par-dessus le rebord.

Dans la rue, les monstres s’étaient massés. Le nombre de Pourris avait au moins triplé, remplaçant sans peine la petite poignée dont elle s’était débarrassée en grimpant à l’extérieur de l’hôtel.

Ils ne semblaient pas avoir trouvé une entrée pour l’instant. Ils ne disparaissaient pas les uns après les autres, ni même en groupes, pour continuer leur poursuite ; au lieu de cela, ils se jetaient sur les briques et les planches, sans grand succès.

Un bruit d’effondrement se fit à nouveau entendre, ainsi que le craquement du bois humide fracassé.

Où était-ce ? Et qu’est-ce qui le provoquait ?

Les Pourris rugissaient et avançaient en chancelant. Eux aussi avaient entendu le bruit et en cherchaient la source, mais ils n’avaient aucune envie de laisser partir Briar, qui se sentait comme un ours obligé de se réfugier dans un arbre.

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