Cherie Priest - Boneshaker

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Nous sommes en 1880. La Guerre Civile américaine fait rage depuis plus de deux décennies, poussant les avancées technologiques dans d’étranges et terribles directions. Des dirigeables de combat sillonnent le ciel, et des véhicules blindés rampent dans les tranchées. Les scientifiques de l’armée détournent les lois de la nature et échangent leur âme contre des armes surnaturelles alimentées par le feu, la vapeur et le sang. Bienvenue dans le Siècle Mécanique, un siècle sombre et différent. C’est dans ce monde que vit Briar Wilkes et son fils. Elle est la veuve de l’infâme Dr. Blue, créateur du Boneshaker, la machine qui détruisit Seattle, perçant par-là même une poche de gaz qui transforma les vivants en non-morts. Mais un beau jour, son fils décide de pénétrer dans Seattle dans l’espoir de réécrire l’histoire. Sa quête le conduira dans une ville en ruine grouillant de morts-vivants affamés, de pirates de l’air, de seigneurs criminels et de réfugiés armés jusqu’aux dents. Seule Briar peut le ramener vivant.

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— Mon épaule me fait mal, c’est tout. Ma hanche est douloureuse aussi, mais il n’y a rien à y faire pour le moment. Par ici, répéta-t-il. Viens.

— Si vous êtes blessé, est-ce que vous pouvez vraiment me conduire à Denny…

— J’ai dit, viens .

Ils contournèrent discrètement les salles principales, empruntant des couloirs qui longeaient ou passaient sous les sons assourdissants des hommes qui travaillaient.

— Ce n’est plus très loin, indiqua Rudy à Zeke. Une fois qu’on sera de l’autre côté, on sera libres.

— D’aller à la colline ?

— C’est ce que je t’ai dit, non ?

— Oui, monsieur, murmura Zeke, même s’il n’avait pas l’impression qu’ils se dirigeaient dans la bonne direction.

Ils étaient descendus, plus profondément qu’il pensait devoir aller. Ils avaient cheminé le long du mur côté rivage au lieu de s’enfoncer dans le cœur de la ville.

Mais à présent, il se sentait perdu et piégé, et ne savait pas quel autre chemin prendre. Alors il se dit qu’il allait suivre Rudy jusqu’à ce qu’il se sente trop menacé pour continuer. C’était son plan.

Rudy leva un doigt sur le bord de son masque et tendit la main qui tenait la canne comme s’il voulait que Zeke s’arrête et fasse silence. Il y avait dans le geste une urgence qui réussit à figer le garçon pendant qu’il attendait de savoir quel danger les guettait à l’angle suivant.

Lorsqu’il tendit le cou pour regarder, il fut immédiatement soulagé. Un jeune Chinois se tenait debout, penché sur une table encombrée de lentilles, de leviers et de tubes. Il était dos à l’entrée du couloir où se tenaient Zeke et Rudy. Son visage était penché vers le bas, il scrutait intensément quelque chose que les deux intrus ne pouvaient pas voir.

Rudy fit un geste vif de la main pour indiquer à Zeke qu’il devait rester à sa place et ne la quitter sous aucun prétexte. C’était surprenant de voir à quel point il arrivait à se faire comprendre avec seulement quelques mouvements des doigts.

L’adolescent regarda l’homme fouiller dans sa poche et en sortir le couteau que la princesse lui avait lancé dans le bras. La lame n’était plus humide, mais brilla malgré le sang séché dans la main de Rudy.

L’homme qui était penché sur la table portait un long tablier en cuir. Il avait des lunettes et était aussi chauve qu’un œuf à l’exception d’une longue queue-de-cheval. Il était suffisamment vieux pour être le père de quelqu’un, quelque part. En observant l’homme, Zeke se dit que ce dernier ne ferait certainement de mal à personne.

Mais cette réflexion lui vint trop tard pour qu’il puisse réagir. Par la suite, il se demanderait ce qui se serait passé s’il avait appelé… Est-ce qu’il se serait produit la même chose ?

Il n’y pensa pas sur le moment.

Rudy se glissa derrière l’homme, qui était plus petit que lui, le saisit et passa le bord effilé de la lame le long de sa gorge tout en couvrant sa bouche de l’autre main. Le Chinois se débattit, mais l’assaut fut bref.

Dans leur lutte, les deux hommes effectuèrent des tours et des pirouettes, comme s’ils dansaient la valse. Zeke fut surpris de voir autant de sang. C’était comme s’il y en avait des litres, coulant en une cascade écarlate d’une entaille qui allait d’une oreille à l’autre. Dans leur mouvement, les hommes arrosèrent les lentilles, leviers et tubes du liquide qui giclait.

Zeke se laissa glisser le long du mur, le dos appuyé contre le montant de la porte et les mains plaquées sur sa bouche pour ne pas hurler. La pression lui rappela le coup de coude de Rudy et une zone fragilisée de sa gencive se mit à saigner de nouveau.

Pendant un moment, il eut l’impression qu’il pouvait goûter le flot cuivré qui tachait le tablier en cuir de l’homme et le sol, laissant des empreintes barbouillées et étalées sur toutes les planches ; puis il se souvint que ce n’était en fait que sa propre douleur, dans sa propre bouche.

Cela ne changea pas pour autant l’impression macabre que produisait la scène, et il eut envie de vomir.

Mais il portait un masque, et l’enlever aurait été synonyme de mort. Il ravala donc sa bile et maîtrisa le besoin de faire sortir la terrible souillure de son corps.

Puis, alors que le cadavre tombait inerte dans les bras de Rudy, celui-ci l’expédia sous la table où le Chinois travaillait quelques instants auparavant. Zeke remarqua que l’homme ne portait pas de masque.

— Il… balbutia Zeke, luttant contre la remontée de la bile.

— Ce n’est pas le moment de mollir, fiston. Il se serait occupé de nous en un rien de temps. Reprends-toi. On doit sortir d’ici avant que quelqu’un ne s’aperçoive de ce que l’on a fait.

— Il… réessaya le garçon. Ne… n’avait… ne portait pas…

— De masque ? compléta Rudy. Non, en effet. Et on va bientôt retirer les nôtres. Mais pas encore. Il se peut qu’on nous oblige à remonter avant la fin de notre voyage. (Il sortit rapidement en boitant par la porte suivante). Il vaut mieux les avoir et ne pas en avoir besoin, qu’en avoir besoin et ne pas les avoir, dit-il dans un murmure.

— D’accord, répondit Zeke. (Puis il répéta, afin d’avoir autre chose dans la bouche que le goût du vomi.) D’accord, je vous… Je vous suis.

— Bravo ! lâcha Rudy. Maintenant, reste tout près.

XI

En bas des marches Briar déboula dans une salle pratiquement vide qui avait - фото 12

En bas des marches, Briar déboula dans une salle pratiquement vide qui avait été creusée sous les fondations d’origine. Du charbon s’empilait dans de grands chariots de mines au fond de la pièce, provenant directement d’un tunnel découpé dans la brique.

Celui-ci était étonnamment bien éclairé, et puisque aucune autre direction ne se présentait à elle, Briar passa de l’autre côté des chariots.

Le tunnel ne comportait pas de rails, mais le sol avait été tassé et recouvert de pierres, ce qui permettait de faire rouler les chariots, probablement avec l’aide de machines, conclut Briar à la vue des chaînes et des manivelles qui étaient disséminées le long des murs et au sol.

D’une poutre à l’autre, de longs segments de cordes pendaient du plafond, et des lanternes y étaient suspendues dans des cages en acier.

Briar les suivit aussi vite qu’elle le put, comme si elles étaient une piste de miettes de pain. Elle gardait toujours le fusil de Maynard à portée de main, prête à épauler ou à tirer, et celui-ci pendait sous son bras tandis qu’elle courait. Elle ne vit personne dans un sens ou dans l’autre et, si les Chinois la suivaient, ils étaient très silencieux. Elle n’entendait aucun écho de pas derrière elle, et ne détectait aucune voix, toux ou rire provenant de sa destination.

Environ cinquante mètres plus loin, sous les salles des activités qui occupaient la zone, le tunnel se sépara en quatre, chaque passage fermé par les mêmes longs rideaux en cuir ou recouverts de caoutchouc qui protégeaient la voie qui sortait de la salle des soufflets.

Elle les écarta légèrement, juste assez pour jeter un coup d’œil de l’autre côté.

Deux des chemins étaient éclairés ; les deux autres étaient plongés dans le noir. Dans l’un des couloirs éclairés, Briar pouvait entendre une dispute au loin. L’autre était silencieux. Elle se dépêcha de l’emprunter en priant pour que tout aille bien. Mais au bout de quelques mètres, le passage était bloqué par une grille qui aurait pu retenir une horde d’éléphants.

Elle émergeait du sol, dans lequel sa base avait été enterrée très profondément, plus loin qu’il n’y paraissait à première vue. Elle était inclinée selon un certain angle, dans le but de repousser une force extraordinaire avec les bouts pointus de ses piques les plus hautes. De l’autre côté de la grille, Briar aperçut un mur en bois entouré de fils barbelés. Les planches semblaient avoir autrefois été utilisées à même le sol, faisant office de traverses de voie ferrée, mais il y avait un immense loquet en bois qui pouvait être soulevé. Lorsqu’elle se rapprocha pour regarder de plus près, Briar discerna des fentes à un endroit où une porte avait été découpée, enfoncée ou bloquée.

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