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Ira Levin: Les femmes de Stepford

Здесь есть возможность читать онлайн «Ira Levin: Les femmes de Stepford» весь текст электронной книги совершенно бесплатно (целиком полную версию). В некоторых случаях присутствует краткое содержание. Город: Paris, год выпуска: 1974, ISBN: 2-226-00106-9, издательство: Albin Michel, категория: Фантастика и фэнтези / на французском языке. Описание произведения, (предисловие) а так же отзывы посетителей доступны на портале. Библиотека «Либ Кат» — LibCat.ru создана для любителей полистать хорошую книжку и предлагает широкий выбор жанров:

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Ira Levin Les femmes de Stepford

Les femmes de Stepford: краткое содержание, описание и аннотация

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Qu’arrive-t-il donc aux femmes de Stepford ? Ont-elles toujours été, ainsi que Joanna les découvre en s’installant dans cette ville, de véri­tables poupées ménagères, unique­ment préoccupées de l’entretien de leur intérieur et du bien-être de leur famille ? Ou alors sont-elles victimes de leurs maris, tous adhé­rents du « Club des Hommes », qui se réunissent chaque soir dans une vieille bâtisse mystérieuse interdite aux femmes ? Joanna, jeune femme libérée, tente de créer une association féminine avec l’aide de deux amies nouvel­lement arrivées. Quelle n’est pas sa stupeur de les voir, à leur tour, se transformer brusquement, à l’image des autres femmes de la ville. L’inquiétude devient rapidement de l’angoisse… Joanna réussira-t-elle à échapper à ce cauchemar aseptisé, clima­tisé, lot quotidien des femmes de Stepford ?

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Parvenue devant sa commode, elle ouvrit grand un tiroir dont elle sortit un gros chandail blanc. D’une secousse, elle le déplia et introduisit ses bras dans les manches. À la porte, quelqu’un essayait d’ouvrir puis se décida à frapper.

— Joanna ?

— Écrase ! répliqua-t-elle en ajustant le chandail sur ses seins. J’ai suivi ton conseil : je me repose.

— Laisse-moi entrer une minute.

Les yeux fixés sur la porte, elle resta muette.

— Joanna, ouvre-moi !

— Pas maintenant. J’ai besoin d’être seule.

Elle continua d’observer la porte, sans un geste.

— Bon. À tout à l’heure !

Elle demeura quelques instants immobile à écouter le silence, puis revint à la commode dont elle ouvrit sans bruit un autre tiroir. Elle y fouilla pour en exhumer d’abord une paire de gants blancs qu’elle enfila, puis une longue écharpe rayée qu’elle s’enroula autour du cou.

Elle alla écouter à la porte, puis éteignit les lumières.

Elle se dirigea vers la fenêtre et leva le store. Les réverbères de la rue brillaient. Le salon des Claybrook était éclairé mais vide ; à l’étage, leurs fenêtres étaient obscures.

Silencieusement, elle releva le châssis de la fenêtre à guillotine, mais rencontra l’écran protecteur de la sur-vitre.

Merde ! celle-là, elle l’avait oubliée.

Elle tenta alors de pousser sur l’élément inférieur sans réussir à l’ébranler. Elle y assena des coups de ses poings gantés, toujours sans succès, elle se remit alors à pousser des deux mains. La sur-vitre céda, bascula de quelques centimètres, mais refusa de s’ouvrir davantage. Les deux petits bras métalliques qui la maintenaient étaient tendus au maximum. Il lui faudrait les démonter, si elle voulait parvenir à un résultat.

En bas, un cône lumineux se dessina sur la neige.

Walter était dans le bureau.

Elle se redressa pour écouter : derrière elle, un menu pépiement fait d’une série de longues, de brèves et de longues, sortit du téléphone posé sur la table de nuit.

Walter formait un numéro sur le cadran du téléphone du bureau.

Il appelait Dale Coba pour lui dire que Joanna était rentrée. Exécution du plan ! Branle-bas de combat !

À pas lents, précautionneux, elle gagna la porte, écouta, tourna la clé et ouvrit en silence le battant tout en le retenant d’une main. La carabine spatiale de Pete gisait devant la porte de sa chambre. La voix de Walter chuchotait tout bas.

Elle gagna l’escalier sur la pointe des pieds et amorça sa descente prudente et feutrée, le dos plaqué au mur, épiant anxieusement à travers les barreaux de la rampe du côté de la porte du bureau.

— …Je crains de ne pouvoir m’en sortir tout seul… (Ça, maître, c’est vachement certain !)

Mais la chaise près de la porte d’entrée était vide, son manteau, son sac (ses clés de voiture, son portefeuille) avaient disparu.

Pourtant, elle préférait encore emprunter la porte que de passer par la fenêtre.

Elle s’engagea dans le vestibule. Walter parlait toujours, puis se tut. C’était peut-être le moment de chercher son sac ?

En entendant Walter marcher dans le bureau, elle se réfugia dans la salle de séjour où elle demeura coite, le dos collé au mur.

Les pas de Walter résonnèrent dans le vestibule, s’approchèrent du seuil de la porte et s’arrêtèrent.

Elle retint son souffle.

Walter émit une série de sifflements brefs, comme c’était son habitude avant de s’attaquer à un problème essentiel, tel que d’installer les sur-vitres, de remonter un tricycle en pièces détachées (ou de tuer sa femme ?… à moins que ce ne fût la spécialité exclusive de Coba, le Nemrod ?). Elle ferma les yeux, essayant de ne pas penser, de peur que ses pensées ne signalent sa présence.

Lentement, les pas montèrent l’escalier.

Elle ouvrit les yeux et expira par petits coups pendant qu’il poursuivait son ascension.

Alors, sans bruit, elle traversa en hâte la pièce, contournant les fauteuils et la table qui supportait la lampe, déverrouilla la porte du patio et l’ouvrit, déverrouilla la contre-porte, la poussa, mais rencontra l’obstacle d’un amoncellement de neige.

Toutefois, elle réussit à se glisser à l’extérieur et, le cœur battant à tout rompre, se lança dans une course éperdue sur le tapis blanc marqué des empreintes du traîneau et des bottes des enfants ; son but, c’était la ligne noire des arbres. Elle courut, courut, s’agrippa fugitivement à un tronc avant de reprendre sa course précipitée, trébuchante, haletante entre les troncs. Et sans s’écarter du long rideau de conifères qui séparait les maisons de Fairview Lane de celles de Harvest Lane.

* * *

À tout prix, il lui fallait arriver jusqu’à Ruth-Anne. Là, elle trouverait de l’argent, un manteau et un téléphone pour appeler la station de taxi d’Eastbridge ou quelque relation de New York – Shep, Doris, Andréas – disposée à venir la chercher en voiture.

Pete et Kim étaient bien là où ils se trouvaient. Joanna ne pouvait se permettre aucune inquiétude à leur sujet tant qu’elle ne serait pas arrivée à New York. Là elle discuterait de leur problème avec des gens, consulterait un avocat et reprendrait les gosses à Walter. Sans doute étaient-ils merveilleusement chouchoutés par Bobbie, Carol ou Mary-Ann Stavros – ou plutôt par les bidules ainsi prénommés.

En outre, de toute urgence, il fallait avertir Ruth-Anne. Peut-être même pourraient-elles s’enfuir ensemble – bien que celle-ci disposât encore d’un répit.

Parvenue à l’extrémité de la futaie, elle guetta à droite et à gauche pour s’assurer qu’aucune voiture n’était en vue et traversa au pas de course Winter Hill Drive que bordait une autre rangée de sapins recouverts de neige moelleuse. Sous leur protection, elle prit son élan, les bras croisés sur la poitrine et ses mains mal défendues par des gants trop minces, blotties au creux de ses aisselles.

Gwendolyn Lane, où habitait Ruth-Anne, était situé à proximité de Short Ridge Hill, juste derrière chez Bobbie. Il lui faudrait près d’une heure pour y arriver. Plus, sans doute, avec cette neige qui tapissait le sol, et dans l’obscurité. Et elle n’osait pas faire du stop, de peur de tomber inopinément sur Walter.

Et pas seulement sur Walter, songea-t-elle brusquement. Tous, autant qu’ils étaient, allaient se mettre à sa recherche et sillonneraient les routes armés de torches et de projecteurs. Comment la laisseraient-ils jamais s’échapper et tout révéler ? Chaque homme représentait une menace, chaque voiture un danger. Avant de sonner à la porte de Ruth-Anne, il lui faudrait jeter un coup d’œil par les fenêtres pour s’assurer de l’absence du mari.

Seigneur ! parviendrait-elle à s’échapper ? Nulle avant elle n’y avait réussi.

Mais nulle peut-être n’avait essayé. Ni Bobbie ni Charmaine. Sans doute était-elle la première à avoir pigé à temps, en admettant qu’il ne soit pas déjà trop tard.

Elle abandonna Winter Hill Drive pour s’engouffrer dans Talcott Lane. Des phares trouèrent la nuit et, en face d’elle, de l’autre côté de la rue, une voiture surgit d’une allée. Elle s’accroupit à l’abri d’une auto en stationnement : les faisceaux lumineux la balayèrent puis disparurent. Elle se redressa pour regarder : la voiture roulait lentement et, ainsi que prévu, était nantie d’un projecteur qui lançait des taches brillantes sur les façades et les pelouses enneigées.

Sans ralentir son allure, elle longea les maisons silencieuses de Talcott Lane ; partout les fenêtres étaient illuminées et les portes ornées d’ampoules multicolores en l’honneur de Noël. Elle avait les pieds et les jambes glacés, mais se sentait euphorique. Au bout de la rue, elle allait tomber sur Old Norwood Road et opterait de là pour Chimney Road ou Hunnicutt.

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