Vladimir Mikhanovski - Tobor Premier
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- Название:Tobor Premier
- Автор:
- Издательство:Radouga
- Жанр:
- Год:1990
- Город:Moscou
- ISBN:5-05-003201-6
- Рейтинг книги:5 / 5. Голосов: 1
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— C’est bien ça, je me suis surmené. Vous avez visé juste, cher Aksen !…
A présent Pétrachevski regardait Sourovtsev avec une franche circonspection. Sa léthargie disparut brusquement.
— Combien de lois de Newton connaissez-vous, Akim Ksénofontovitch ? demanda Sourovtsev.
— Trois…, mâchonna Pétrachevski.
— Dans la taiga j’en ai découvert une quatrième ! lança triomphalement Sourovtsev.
Pétrachevski le prit par le poignet :
— Oh ! oh ! Le pouls est intermittent.
— Vous dites des sottises, lâcha Sourovtsev en songeant : « J’ai l’impression qu’Aksen est définitivement réveillé. »
— Pourquoi avez-vous du sang sur la joue ? interrogea Akim Ksénofontovitch.
— Je me suis chamaillé avec un extraterrestre.
— Et vos chaussures, où les avez-vous laissées ? continua Pétrachevski exaspéré à l’extrême de ne pas réussir à comprendre ce dont il s’agissait.
En guise de réponse Sourovtsev saisit soudain Akim Ksénofontovitch par la taille et le fit tourner malgré ses regimbements.
— Qu’est-ce que c’est encore…, fit Pétrachevski qui avait remarqué le carreau brisé et les éclats de verre jonchant le sol.
Sourovtsev haussa les épaules.
— J’ai dû m’y résigner, dit-il négligemment, car la porte étgit fermée. J’avais frappé, mais en vain.
— Il est devenu fou !… Essoufflé, Akim Ksénofontovitch repoussa les débris de verre du bout du pied. — Vous allez vous couper !
— Qu’est-ce que cela peut faire puisque le mystère concernant Tobor est désormais levé ! prononça solennellement Sourovtsev.
Pétrachevski s’arrêta.
— Allons, dites-moi un peu ce que vous avez encore inventé ! ordonna-t-il. Et en vitesse !
— Il sera huit heures dans quelques minutes, dit Sourovtsev. C’est amplement suffisant pour exposer le fond de l’affaire…
Il ouvrit le bloc-notes et relata succinctement sa découverte, en énonçant après chaque phrase, à titre de preuve, les formules tracées tant bien que mal à la lueur incertaine de la lampe.
Akim Ksénofontovitch écouta d’abord avec scepticisme, en prononçant ses invariables « hum-hum », en se pénétrant rapidement tant de l’élégance souple des preuves que de la logique rigoureuse, et lorsque Ivan se tut, il s’exclama :
— Quand avez-vous réussi ?
— Cette nuit.
— Il y a là au moins une semaine de travail intense !
— Voyez-vous, j’ai été aidé aussi par une autre circonstance, dont je vous ai d’ailleurs parlé, dit Sourovtsev en souriant.
— Une autre circonstance ?
— Oui, la quatrième loi de sir Isaac Newton, qu’il a fallu découvrir chemin faisant…
— Oh, cessez de faire tourner un vieillard en bourrique, menaça du doigt Pétrachevski.
Alors, avalant les mots d’impatience, Sourovtsev narra brièvement à Akim Ksénofontovitch ses aventures nocturnes. Il décida de ne rien cacher à son chef, même pas l’affront au sujet de la « série ». L’académicien l’écouta, presque sans l’interrompre, totalement d’accord avec la formulation de la quatrième loi de Newton, et s’amusa longuement lorsqu’-Ivan raconta sa rencontre avec l’extraterrestre.
Quand Sourovtsev acheva son récit, la trotteuse de sa montre entamait le dernier tour de cadran avant huit heures.
Sans tramer, Pétrachevski brancha l’écran d’un magnétoscope, appuya sur la touche de la liaison totale et, d’une voix lente comportant une pointe de théâtralisme, prononça :
— Appel général, appel général !… Les essais de Tobor reprennent. Les collaborateurs de l’Institut concernés par l’examen ainsi que les hôtes sont invités à se rendre d’urgence dans la salle semi-sphérique.
— Eh bien, maintenant attendez la tempête !… lança Akim Ksénofontovitch à Sourovtsev.
Il ne se trompait pas.
Quelques instants plus tard le visage renfrogné du représentant du Conseil spatial apparut sur l’écran.
— Vous violez notre accord, académicien, dit-il. Je vous demande d’annuler votre décision.
— Non.
— Alors c’est moi qui vais le faire. Et informer sans tarder Moscou de votre arbitraire qui peut coûter cher.
Pétrachevski haussa les épaules :
— C’est votre droit… Mais j’espère qu’auparavant vous daignerez m’écouter.
— C’est ce que j’ai fait presque toute la nuit, Akim Ksénofontovitch. Et nous sommes parvenus, difficilement certes, à un point de vue commun. Permettez-moi de le rappeler. Je vais parler plus fort étant donné que tout le monde m’écoute : il est indispensable d’interrompre les essais de Tobor. A la fin de la seconde journée des tests il s’est comporté de manière étrange et inexplicable, ce qui risque de provoquer une catastrophe.
— Voyez-vous, collègue, nous sommes en possession de données nouvelles concernant Tobor…, commença avec douceur Akim Ksénofontovitch.
— Elles sont tombées des nues, vos données nouvelles ? le coupa brusquement son contradicteur.
— Pourquoi des nues ? Elles sont entrées par la fenêtre…
— Je n’ai pas l’esprit à la plaisanterie.
— Je n’ai jamais été aussi sérieux, dit Akim Ksénofontovitch en hochant la tête. Et je vous conseille de vous hâter avec tous les autres. Si vous voulez avoir les meilleures places dans la salle.
En entendant cette altercation entre les deux coryphées de la biocybernétique, Sourovtsev imagina les gens excités et perplexes groupés devant les écrans informateurs disposés dans les rues, sur les polygones d’instruction, dans les laboratoires, les bibliothèques et les amphithéâtres, partout sur l’immense territoire qui a pour nom Cité Verte.
Et il y avait de quoi ! Car ils avaient entre les mains les destinées de Tobor, créature de l’Institut, pour lequel la cité vivait et s’enorgueillissait depuis plusieurs années.
Chacun savait que toute décision de principe concernant les tests finaux de Tobor réclamait un avis concerté, c’est-à-dire identique de ces deux hommes.
Dans le même temps, le « non » de l’un d’eux avait force de « veto ».
Quand Pétrachevski recommanda à son impertinent contradicteur de rejoindre rapidement la salle pour y occuper une bonne place, celui-ci se pencha sur la membrane et emplit ses poumons pour crier un ordre dont on devinait aisément la teneur.
— Je ne vous le conseille pas, mon cher, dit tranquillement Akim Ksénofontovitch. Vous risqueriez de vous couvrir de ridicule.
Le représentant du Conseil spatial se troubla.
— Je sais, l’Institut possède des gens capables, dit-il. Seulement on ne saurait rectifier le système protéique en cours d’essais. Par conséquent, vous avez beau faire, les choses ne feront qu’empirer… Une pointe de compassion sembla percer dans sa voix.
« C’est quand même un brave gars. A quoi bon cette querelle avec Aksen ? » se dit Sourovtsev.
— Je connais le règlement des essais aussi bien que vous, martela Pétrachevski. Il semblait prendre du plaisir à faire rager son « collègue ». Au cours de la nuit aucun ingénieur ou technicien n’a touché à Tobor. La zone de protection établie autour du robot vous le confirmera. Personne ne l’a franchie.
— Dans ce cas, je renonce à vous comprendre, fit le représentant du Conseil spatial en haussant les épaules.
— C’est pourtant bien simple à deviner, dit Pétrachevski. Tobor doit lui-même revenir à la normale, parce qu’il est resté débranché toute la nuit. En d’autres termes, il s’est reposé.
— Et alors ?
— Il a tout autant besoin de repos qu’un homme, termina Pétrachevski.
— J’adore les contes, vous savez, prononça froidement l’interlocuteur de Pétrachevski.
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