To G. Thomson , 29 thoct. 1793 et The Contemporaries of Burns , p. 92.
To G. Thomson , July 1793.
Voir sa biographie et ses vers, dans The Contemporaries of Burns , p. 78-92, et la lettre de Burns to Mrs Dunlop , Sept. 6 th1789.
Cette chanson se trouve dans The Contemporaries of Burns , dans le Museum de Johnson, et dans le recueil de Whitelaw.
Notes in an interleaved copy of Johnson's Scots Musical Museum.
The Solitary Reaper.
Autobiographical Letter to D r Moore.
Autobiographical Letter to D r Moore.
Epistle to the Guidwife of Wauchope House.
To G. Thomson , 26 thOct. 1792.
To G. Thomson , Jan. 26 th1793.
To G. Thomson , 16 th, Oct. 1792.
Remarks on Scottish Songs.
Voir l' Introduction to Scottish Music , que M rColin Brown a placée en tête de la collection de chansons écossaises intitulée The Thistle . Notre attention a été attirée sur ce travail par un passage du Principal Shairp, dans son Essai: Scottish Song and Burns.
Logan. The Scottish Gaels , tom. II, p. 267.
To G. Thomson , April 1793.
Common place Book , 1784.
To Rev. J. Skinner , Oct. 28 th1787.
To G. Thomson , 16th Sept. 1792.
To G. Thomson , 16th Sept. 1792.
To G. Thomson , 19 thOct. 1794.
To G. Thomson , 26 thOct. 1792.
To G. Thomson , Jan. 26 th, 1793.
To G. Thomson , 19 thOct. 1794.
To G. Thomson , April 1793.
To G. Thomson , August 1793.
To G. Thomson , Sept. 1794.
To G. Thomson , 19 thOct. 1794.
To G. Thomson , Sept. 1794.
To G. Thomson , June 1793.
To G. Thomson , Sept. 1793.
F. – J. Fétis. La musique mise à la portée de tout le monde , p. 105.
Son vrai nom était John Wolcot (1738-1819).
G. Thomson, to Robert Burns , Jan. 20 th, 1793.
To G. Thomson , Nov. 8 th, 1792.
To G. Thomson , 19 thNov. 1794.
To G. Thomson , August 1793 (lettre 19).
To G. Thomson , August 1792 (lettre 20). Voir un autre exemple de ces essais, sur Laisse-moi entrer cette nuit , dans les lettres à Thomson, d'Août 1793 et Sept. 1794.
To G. Thomson , Sept. 1793.
To G. Thomson , Sept. 1794.
To G. Thomson , August 1793.
To G. Thomson , 25 thJune 1793.
To G. Thomson , 1 stSept. 1793.
To G. Thomson , Nov. 14 th1792.
Fairest Maid o' Devon Banks.
Carlyle. Essay on Burns.
Veitch. History and Poetry of the Scottish Borders , p. 312.
Irving. History of Scotish Poetry , p. 145.
Hill Burton. History of Scotland , tom. II, p. 384.
Voir à ce sujet le joli essai, dans le Sketch Book , de Washington Irving, intitulé a Royal Poet .
The King's Quair. Canto II.
Voir, sur le King's Quair , Irving, History of Scotish Poetry , p. 134-142.
Hill Burton. History of Scotland , tom II, p. 397.
Tytler. History of Scotland , tom II, p. 51.
Voir, sur les réformes de Jacques I, le chapitre abondant de Tytler, History of Scotland , tom II, chap. II, p. 52-56.
Voir le récit de cette scène dans Tytler, History of Scotland , tom II, chap. II, p. 90-93. – Hill Burton. History of Scotland , tom II, p. 408-09.
L'attribution de ces deux pièces à Jacques I a soulevé quelque discussion. L'opinion la plus générale est en sa faveur. Voir à ce sujet Irving, History of Scotish Poetry , p. 143 et suiv. – Dans un petit volume publié par Chambers, Miscellany of Popular Scottish Poems , se trouve la note suivante, sur le poème Peebles to the Play : «En ce qui concerne la présomption que le roi Jacques était l'auteur de ce poème, il n'est pas inutile de remarquer que, en 1444, quelques années après sa mort, une fondation fut faite qui avait pour objet (entre autres choses) de prier pour l'âme du monarque défunt, dans l'église paroissiale de Peebles.»
Peebles to the Play.
Peebles to the Play.
Peebles to the Play.
Peebles to the Play.
Il est probable que la première de ces deux pièces, qui ne fut publiée qu'en 1785, était inconnue à Burns, mais la seconde était couramment populaire. Allan Ramsay l'avait imitée, le Rev John Skinner, l'ami de Burns, en écrivit une traduction en vers latins. Il y avait longtemps d'ailleurs que Pope avait dit:
One likes no language but the Fairy Queen,
A Scot will fight for Christ's Kirk on the Green.
Voir Veitch. History and Poetry of the Scottish Borders , p. 313.
Heich Hucheon, with ane hissel ryse,
To red can through them rummill;
He muddlet them down, like any mice,
He was no batie-bummil:
Through he was wight, he was not wise,
With such jangleris to jummil;
For frae his thumb they dang a slice,
While he cried barla-fummill,
I'm slain,
At Christ's Kirk on the green, that day.
(
Christ's Kirk on the Green , Stanza XVI.)
Now frae th' east nook o' Fife the dawn
Speel'd westlines up the lift,
Carles wha heard the cock had crawn
Begoud to rax and rift;
An' greedy wives wi' girning thrawn,
Cry'd lasses up to thrift;
Dogs barked, an' the lads frae hand
Bang'd to their breeks like drift,
Be break o' day.
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