Мишель Монтень - Les Essais - Livre II

Здесь есть возможность читать онлайн «Мишель Монтень - Les Essais - Livre II» весь текст электронной книги совершенно бесплатно (целиком полную версию без сокращений). В некоторых случаях можно слушать аудио, скачать через торрент в формате fb2 и присутствует краткое содержание. Жанр: Старинная литература, на французском языке. Описание произведения, (предисловие) а так же отзывы посетителей доступны на портале библиотеки ЛибКат.

Les Essais - Livre II: краткое содержание, описание и аннотация

Предлагаем к чтению аннотацию, описание, краткое содержание или предисловие (зависит от того, что написал сам автор книги «Les Essais - Livre II»). Если вы не нашли необходимую информацию о книге — напишите в комментариях, мы постараемся отыскать её.

Les Essais - Livre II — читать онлайн бесплатно полную книгу (весь текст) целиком

Ниже представлен текст книги, разбитый по страницам. Система сохранения места последней прочитанной страницы, позволяет с удобством читать онлайн бесплатно книгу «Les Essais - Livre II», без необходимости каждый раз заново искать на чём Вы остановились. Поставьте закладку, и сможете в любой момент перейти на страницу, на которой закончили чтение.

Тёмная тема
Сбросить

Интервал:

Закладка:

Сделать

45La bataille eut lieu le 15 Avril 1544. Selon l'édition Strowski t. IV, p. 182 b, « Montaigne a peut-être pris ceci dans les Commentaires de Montluc qu'il a pu connaître en manuscrit et qui ont paru l'année même de sa mort, en 1592 ». Voici le texte de Montluc : « Monsieur de Pignan, de Montpellier, qu'estoict a luy, me dit par deux fois il se donna [sic] de la pointe de l'espée dans le gorgerin, se volant thuer soy-mesmes et me dict au retour qu'il s'estoict veu en tel estat lors qu'il eust voulu qu'on luy eust donné de l'espée dans la gorge. »

46Ce paragraphe ne figure que dans l'édition de 1595.

47Montaigne, on le sait, a souffert une grande partie de sa vie de « coliques néphrétiques » — comme on appelle aujourd'hui ce qu'il appelait la « maladie de la pierre ».

48Goze, Gozzo est une petite île à l'ouest de Malte. La source de cette histoire se trouve dans Guillaume Paradin, Histoire de son temps 1575, f° 99 v°. (Le passage où il est question de cette île est une addition manuscrite sur l'« exemplaire de Bordeaux », donc postérieure à 1588).

49Dans l'édition de 1588, la phrase concernant « Pélagie et Sophronie » se trouvait placée avant celle qui commence par « L'histoire ecclésiastique... ».

50Il s'agit d'Henri Estienne, dans son Apologie pour Hérodote XV, XXII.

51Cette histoire est racontée dans le livre de Simon Goulard : Histoire du Portugal , IX, XXVII, f° 278 r°.

52Voir Plutarque, éd. Amyot IX, Du trop parler .

53A. Lanly ( II, 34, note 94) fait très justement remarquer que traduire « litteras » du texte de Tite-Live par « lettres » est un latinisme (pour ne pas dire une erreur), car « on sait que litteras (plur.) signifie “une lettre” ». Selon Tite-Live en effet, Fulvius avait bien reçu une lettre — mais à laquelle était jointe le senatusconsulte qui condamnait ses actes. C'est pourquoi j'ai préféré traduire par « des nouvelles ».

54Abydéens : habitants de la ville d'Abydos, sur l'Hellespont. Source de l'épisode : Tite-Live Annales XXI, 17-18.

55Dans l'Épître aux Philippiens (I, 23).

56 Aux Romains VII, 24.

57Montaigne écrit « plus tost ». En choisissant la mort, l'évêque arriva probablement « plus tôt » au Paradis, en effet... mais il me semble qu'il faut plutôt voir ici une opposition entre « rentrer en France » et « aller au Paradis ». D'où ma traduction par « préféra ».

58Il ne s'agit pas seulement de l'Amérique, mais aussi, comme ici, des Indes.

59Tacite : Annales VI, XXIX, 1-2.

60Le plus jeune des fils de Pompée ; après avoir fait la guerre aux triumvirs, il fut vaincu par Agrippa, et s'enfuit à Milet où il fut assassiné par un officier d'Antoine.

61Le mot « insupportable » a été rajouté à la main sur « l'exemplaire de Bordeaux ». Curieusement, ce mot ne figure pas dans l'édition de 1595. Preuve que Mlle de Gournay et P. de Brach disposaient d'une copie quelque peu différente, ou simple oubli ?

62Le livre d'Amyot a paru en 1572, et on estime que ce chapitre a été composé l'année suivante. Dans une période aussi troublée en France, la lecture des œuvres morales de Plutarque pouvait en effet être considérée comme bien « à propos ».

63Amyot était né en 1513, il avait donc à peu près soixante ans à l'époque où Montaigne écrivait cela. Il ne mourut qu'en 1593, mais ne traduisit pourtant jamais Xénophon...

64Plutarque, éd. Amyot, De la curiosité X, v.

65Montaigne écrit « un pacquet ». Mais comme le fait remarquer A. Lanly (II, 39, note 5) « le mot paquet est usuel au XVIe siècle pour « lettre ».

66Dans le texte de Montaigne, on a « lettres » ; mais Plutarque employait le mot grec signifiant « une lettre », et il s'agit probablement ici d'un latinisme.

67Là encore, « lettres » ; mais s'agissant de quelque chose que l'on surprend par hasard, il est difficile de conserver ce pluriel — que l'on vient de rencontrer à plusieurs reprises, et qui est probablement un latinisme.

68En principe, le mot « sieur » désignait une personne de rang inférieur à celui qu'on nommait « seigneur ». Michel Eyquem, fils aîné, était « seigneur de Montaigne », et il nomme ses frères : « le sieur de La Brousse », le « sieur d'Arsac » ; les domaines qu'ils avaient reçus n'étaient pas des « seigneuries ».

69Ceci est plutôt surprenant car... Hésiode est bien antérieur à Platon !

70Les cantharides, ou « mouches d'Espagne » passaient pour avoir des propriétés aphrodisiaques et vésicantes.

71On peut penser au célèbre « L'oeil était dans la tombe et regardait Caïn. » de Victor Hugo !...

72D'après Aulu-Gelle, Nuits Attiques IV, 18. Mais P. Villey (ed. Strowski, IV, P. 192), cite le passage et indique « ...je n'ai trouvé aucun texte qui explique ces mots de Montaigne : “ et son accusateur mesme ”, qui sont en contradiction avec le récit d'Aulu-Gelle ».

73Montaigne écrit « cauterizee ». D'après Littré, c'est un terme de morale chrétienne (XVIe s. fig. conscience cauterisée « conscience endurcie, corrompue » (Calvin) — TLF). Mais c'est aussi un terme médical depuis Henri de Mondeville (1314) : « brûler un tissu organique pour le désinfecter ». J'ai préféré « endurcie », qui est plus dans l'usage d'aujourd'hui, me semble-t-il, dans ce contexte.

74Les éditions antérieures à 1588 portaient ici : « le mieux »...

75On sait que les Grecs nommaient « barbares » les peuples qui n'étaient pas... grecs. Ce n'est que bien plus tard que le mot prit le sens péjoratif que nous lui connaissons, mais on voit que tel était le cas au XVIe siècle déjà.

76La source est dans Froissart, IV, 78. Le général dont il s'agit est Bajazet 1er, selon l'édition Strowski.

77Le mot « exercitation » employé par Montaigne dans le titre de ce chapitre peut signifier aussi bien « exercice », « expérience », « pratique », « entraînement »... C'est en fait un peu de tout cela à la fois qu'il s'agit.

78Montaigne pense probablement à Démocrite, dont la légende raconte qu'il s'était crevé les yeux.

79Voilà une notation dont la finesse tranche sur les idées convenues !...

80Le château de Montaigne est en effet situé entre le Poitou et la Guyenne, région où ont eu lieu de nombreux combats durant les guerres de religion.

81Cheval puissant, généralement utilisé pour les labours ou pour transporter des charges. Cheval moins « noble » que les « destriers » dont il a été question au livre I, 48, et que l'on montait pour la chasse ou la guerre.

82Donc difficile à manier, comme les chevaux trop malmenés (c'est par la bouche, en quelque sorte, que le cavalier communique ses ordres au cheval).

83Montaigne précise « lieue française », car les lieues n'avaient pas la même valeur dans toutes les provinces. La « lieue française » valait environ 4,45 km.

84A. Lanly traduit ici par « un plein seau de caillots de sang pur », ce qui me semble un peu contradictoire dans les termes ? Par ailleurs, je ne suis pas sûr que l'on puisse rendre « bouillons » par « caillots » ? C'est pourquoi j'ai préféré « à gros bouillons ».

85Montaigne écrit « âme », mais il semble bien que dans ce contexte, il s'agisse plutôt de ce que nous nommons « esprit ».

86Ce « tribut » est un cheveu. C'est Iris qui parle.

87L'édition de 1588 comportait ici : « si plaisante ». Sur l'« exemplaire de Bordeaux », ces mots sont raturés et remplacés à la main par « moins poisante ». A. Lanly indique ici, à tort : « Dans les éditions antérieures on lisait : “si agréable” ».

88Les éditions de 1580 et 1582 portaient ici : « me sens encore quatre ans après de ».

Читать дальше
Тёмная тема
Сбросить

Интервал:

Закладка:

Сделать

Похожие книги на «Les Essais - Livre II»

Представляем Вашему вниманию похожие книги на «Les Essais - Livre II» списком для выбора. Мы отобрали схожую по названию и смыслу литературу в надежде предоставить читателям больше вариантов отыскать новые, интересные, ещё непрочитанные произведения.


Отзывы о книге «Les Essais - Livre II»

Обсуждение, отзывы о книге «Les Essais - Livre II» и просто собственные мнения читателей. Оставьте ваши комментарии, напишите, что Вы думаете о произведении, его смысле или главных героях. Укажите что конкретно понравилось, а что нет, и почему Вы так считаете.

x