Мишель Монтень - Les Essais - Livre II

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125D'après Xiliphin, abrégé de : Dion Cassius, Vie de Caracalla .

126Le passage entre crochets figure dans l'édition de 1580 et 1588. Mais il a été rayé d'un trait de plume dans l'« exemplaire de Bordeaux », et il ne figure pas dans l'édition de 1595. L'édition de P. Villey le donne en note (II, p. 405), mais A. Lanly dit seulement (II, note 18, p. 77) que « Les éditions savantes donnent ici une phrase qui figurait dans les éditions publiées du vivant de Montaigne » — sans la citer. Cette anecdote donne un éclairage de plus sur « l'homme-Montaigne » et confirme qu'il ne manquait pas d'humour... C'est pourquoi j'ai jugé bon de la reproduire ici.

127Le texte de 1588 comportait ici une phrase dont voici la traduction : « J'ai une mémoire qui n'est pas capable de conserver trois jours durant ce que je lui ai confié. »

128L'édition de 1588 comportait ici un développement qui a été barré dans l'« exemplaire de Bordeaux ». En voici la traduction : « et à la confiance que je leur accorde. Ce que je prends aux autres, ce n'est pas pour me l'attribuer, je ne prétends à rien ici, sauf à raisonner et juger : le reste n'est pas mon affaire. Je ne demande rien, si ce n'est qu'on examine si j'ai bien su choisir ce qui convenait à mon propos. Et si je cache parfois volontairement le nom de l'auteur des passages que j'emprunte, c'est pour réfréner la liberté de ceux qui prétendent juger de tout, et n'ayant pas le flair nécessaire pour goûter les choses par elles-mêmes, se fondent sur le nom de celui qui a écrit et sur sa renommée. Je veux qu'ils soient bien attrapés en condamnant Cicéron ou Aristote parce qu'ils croient que c'est de moi. »

129Cette phrase figure bien dans les éditions de 1580, 1588 et 1595 ; mais elle a été omise dans sa traduction par A. Lanly.

130L'officier chargé de veiller à la bonne disposition des troupes avant le combat.

131À propos de « resveries », A. Lanly déclare « on traduit souvent par idées folles ; c'est exagéré. » — mais il propose « idées fantasques »... qui ne me semble guère meilleur !

132Il s'agit bien entendu de Cicéron. On pourra remarquer que Montaigne évoque ici ce qu'il critique par ailleurs : le fait que la réputation de Térence doive beaucoup à une autorité reconnue.

133Horace, notamment dans : Épîtres, II, 2, v. 150.

134Montaigne sait de quoi il parle, lui qui aimait être à cheval parce qu'il se trouvait trop petit !

135Jacques Amyot a publié en 1572 sa traduction éd. Amyot des Œuvres morales de Plutarque, dont il avait déjà publié, dès 1559, la Vie des hommes illustres . Montaigne connaissait bien ces ouvrages.

136Plutarque entre 45 et 50, Sénèque vers 4 av. J.-C.

137Sénèque fut le précepteur de Néron, qui l'obligea à se suicider en 65. Selon certaines traditions peu sûres, Plutarque aurait été celui de Trajan et peut-être d’Adrien.

138« Sursum corda » : ce sont les mots que le prêtre prononce pendant la messe, au commencement de la « préface », et qui sont un appel à l'attention.

139Cet ouvrage est de Cicéron. Montaigne l'évoquera de nouveau dans le chapitre II, 13, §9 de la présente édition. Mais il avait pourtant fustigé sévèrement cette « philosophie ostentatoire et bavarde ». Cf. ma traduction Livre I, 38, §38.

140L'édition de 1588 avait ici un passage qui a été barré d'un trait de plume dans l'« exemplaire de Bordeaux », et que ne reproduit pas l'édition de 1595. Le voici : « Si est-ce qu'il n'a pas en cela franchi si net son advantage, comme Vergile à faict en la poësie, car bientost apres luy, il s'en est trouvé plusieurs qui l'ont pensé égaler et surmonter, quoy que ce fust à bien fauces enseignes : mais à Vergile nul encore dépuis luy n'a osé se comparer ; & à ce propos j'en veux icy adjouter une histoire. »

141« Il semble que ».

142Cette phrase entre crochets a été barrée sur l'« exemplaire de Bordeaux », et ne figure pas dans l'édition de 1595. On peut se demander pourquoi, car elle ne manque pas d'intérêt.

143Cette phrase elle aussi a été barrée dans l'« exemplaire de Bordeaux ».

144Guichardin avait en effet occupé des postes importants : ambassadeur de la république de Florence auprès du roi de Castille Ferdinand V ; au service des papes ; gouverneur de Modène et de Reggio (1518), puis de Parme (1521), de Bologne (1531-1534)...

145P. Villey, et A. Lanly à sa suite, donnent ici au mot « religion » le sens de « scrupule ». Je ne vois pas pour ma part de raison impérative et suffisante pour ne pas conserver le mot ?

146L'auteur principal est Martin Du Bellay, mais son frère Guillaume a rédigé les livres V à VIII.

147Montaigne parle de « secte » ; mais le mot a de nos jours une telle connotation péjorative que j'ai préféré l'éviter.

148Comme on peut le voir si l'on confronte cette traduction et le texte original, ce dernier est si emmêlé à cet endroit, si truffé d'incises qui n'en finissent pas, qu'il m'a été absolument impossible de parvenir à le rendre intelligible sans en bouleverser grandement l'organisation. Il est clair que Montaigne en ajoutant sans cesse des anecdotes, des citations, ou des réflexions d'après coup à son texte, ne prend pas toujours la peine de reconsidérer l'ensemble du passage ou même de la phrase... et que l'on se trouve en fin de compte devant un fouillis inextricable ! Au lecteur de juger si j'ai eu raison de prendre de telles libertés.

149Montaigne ne vient-il pourtant pas de dire, quelques lignes plus haut, que Socrate « se mettait à l'épreuve en supportant la méchanceté de sa femme »... ?

150Assiégé dans Utique par César, Caton se transperça de son épée.

151César... !

152Cette phrase, qui a été ajoutée sur l'« exemplaire de Bordeaux », n'est pas très claire ; il faut probablement comprendre : « semble insister sur le fait qu'il faut détester le vice. »

153La guerre de Troie, on le sait, fut soi-disant provoquée par ce choix.

154Le mot de Montaigne ici est « délicats ». A. Lanly reprend le mot proposé par P. Villey (, II, p. 428) : « efféminés »... Mais dans ce contexte (les principes philosophiques) le mot me semble mal venu.

155Diogène Laërce Vies... Épicure X, p. 1245 : « Envoie-moi un pot de fromage afin que je puisse, quand je le voudrai, faire grande chère. »

156L'édition de 1595 est la seule à mettre ici « Je les accuse... ». Sur l'« exemplaire de Bordeaux », le texte était : « ains au rebours, il juge plus exactement & plus rigoureusement », corrigé en : « Au rebours il les accuse plus rigoureusement».

157Sur l'« exemplaire de Bordeaux », on peut voir que la phrase imprimée « C'est icy un fagotage de pieces descousues : je me suis detourné de ma voye pour dire ce mot de la chasse. Mais » a été barrée d'un trait de plume.

158C'est Suétone Vies..., César LXXIV. C'est encore de lui qu'il s'agit dans la phrase suivante.

159Cette exécution s'est déroulée le 14 janvier 1581. Elle est racontée par Montaigne dans son « Journal de Voyage » ( p. 1210). Catena avait commis 54 meurtres, paraît-il ; et 10 000 personnes assistèrent à son exécution. « Il fit une mort commune, sans mouvemans et sans parole ; estoit home noir, de trante ans ou environ. Après qu'il fut estranglé on le detrancha en quatre cartiers. Ils ne font guiere mourir les homes que d'une mort simple et exercent leur rudesse après la mort. [...] le peuple qui n'avoit pas santi de le voir estrangler, à chaque coup qu'on donnoit pour le hacher, s'écrioit d'une voix piteuse. »

160Au § 28 pourtant, Montaigne semblait faire l'éloge de l'excitation qui saisit le chasseur ?

161Les oies du Capitole avaient éveillé les défenseurs par leurs cris, empêchant la ville d'être envahie par surprise.

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