Мишель Монтень - Les Essais - Livre II

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232Aulu-Gelle a écrit : « servus viri consularis ». « Consul » : l'un des deux magistrats qui exerçaient l'autorité suprême, sous la République. J'emploie « rang consulaire » ; il s'agit probablement de ce qu'on appelait un « Proconsul », nom donné, après Sylla, aux anciens consuls qui recevaient le gouvernement d'une province et possédaient les pouvoirs militaire, civil et judiciaire (d'après le Petit Robert ).

233Poisson dont les dents sont soudées et forment une sorte de bec ; il vit en Méditerranée.

234Plutarque éd. Amyot Quels animaux... XXXI.

235Ile de la mer Égée, dans le golfe Maliaque (Dict. Gaffiot). A. Lanly ( II, p. 143, note 286) dit que « l'atlas moderne comporte une île Antikythira, au sud de Kythira (Cythère) » et se demande s'il ne s'agit pas de la même. Possible, en effet.

236Petit rat carnassier. Cf. note du paragraphe 59 de ce chapitre.

237A. Lanly conserve « magnanimité ». Mais le mot a pris aujourd'hui un sens assez différent, me semble-t-il.

238Source : Plutarque éd. Amyot Quels animaux... XIX.

239Source : Plutarque éd. Amyot Quels animaux... XXXV.

240Plutarque éd. Amyot Quels animaux... XXXV.

241Tiré de Gomara, Histoire Générale des Indes Occidentales... II, 20.

242Selon P. Villey il s'agirait de Balbi, in Viaggio dell'Indio orientali éd. de 1590, p. 76.

243Le passage entre crochets ne figure que dans les éditions antérieures à l'« exemplaire de Bordeaux ».

244Les éditions jusqu'à celle de 1588 comportaient ici : « Et puis que l'hommen'avoit pas dequoy se presenter tout nud a la veue du monde, il a eu raison de se cacher ».

245Le texte est ici : « défaut ». J'estime qu'étant donné le contexte, ce « défaut » est le manque de « vêtement naturel », d'où « nudité ».

246Dans les éditions antérieures à celles de 1595, on lit ici « la philosophie », mais « Socrate» est une correction manuscrite de l'« exemplaire de Bordeaux », que l'édition de 1595 prend en compte.

247Source : Cornelius Agrippa, De incertitudine scientiarum LIV. Selon M. Rat (Pléiade, note 3 p. 1553) « les Épicuriens accusaient Aristote\index{Aristote d'avoir eu une jeunesse dévergondée et d'avoir, du vivant de Platon, fondé une école rivale de celle de son maître. »

248La rédaction initiale était : « La doctrine est encores moins necessaire au service de la vie que n'est la gloire » etc. La correction manuscrite de l'« exemplaire de Bordeaux » a été reprise par l'édition de 1595.

249Rapporté par Plutarque éd. Amyot in Contre Colotès LXIX. Mais P. Villey ( t. II, p. 051) fait remarquer qu'en réalité Plutarque ne prête pas ce propos à Épicure, mais à Colotès, et dans un sens un peu différent.

250A. Lanly traduit « le cuider » par « l'outrecuidance », D. M. Frame par « presumption » et P. Villey par « orgueil ». Je suis ici cette dernière leçon. Mais « cuider » c'est en fait penser que..., dans le sens de se faire une opinion. On pourrait donc aussi traduire par « la pensée », car l'exemple qui suit dit nettement que le premier péché est bien celui de connaissance.

251 Genèse III, 5.

252Saint-Paul, Épitre aux Colossiens II, 8.

253Épicure, dont Lucrèce se fait l'apôtre, en quelque sorte. Montaigne fait ici allusion à une tradition selon laquelle Lucrèce aurait été rendu fou par un breuvage donné par sa femme, et qu'il aurait composé son poème pendant des périodes de lucidité, avant de finir par se tuer.

254Sur l'« exemplaire de Bordeaux », la formule de transition « et toutefois je reconoy qu'il n'y a » a disparu dans l'édition de 1595.

255Posidonios d'Apamie, philosophe stoïcien\index{Stoïcien ; il en a déjà été question au Livre I, chap. 40, §19.

256Les éditions antérieures à celle de 1595 ajoutaient ici : « Ce n'est que vent et paroles. »

257Archésilas de Pitane, fondateur de la seconde Académie.

258Philosophe du IIème siècle avant J.-C. que l'on avait surnommé « Le Transfuge », tellement il avait changé souvent d'école.

259Montaigne a déjà raconté cette histoire au Livre I, chap. 40, § 18.

260Il s'agit de Torquato Tasso, dit Le Tasse auteur du très célèbre poème Jérusalem délivrée , interné à la suite de crises de démence, depuis 1574.

261Le Journal de Voyage de Montaigne mentionne son passage à Ferrare le 16 novembre 1580 ; mais curieusement, il n'y est fait aucune mention de sa visite au poète...

262Vers latins tirés de Poemata de La Boétie.

263Montaigne écrit « secte ». Mais celui-ci a pris à notre époque une connotation franchement péjorative, et il me semble injustifié de le conserver dans un tel contexte.

264Philosophe de l'ancienne Académie (IIIème s. avant J.-C.). On ne possède que quelques fragments de ses écrits. Il a été imité par Cicéron, dans ses Tusculanes notamment.

265P. Villey ne donne pas la source de ce vers en italien ; D.M. Frame indique en note : « Adapted from Dante ».

266C'est la traduction d'un vers d'Euripide.

267Cicéron De finibus II, 3 (à propos d'Épicure).

268Dans l'édition de 1588, on lisait ici : « et plastrer ».

269On ne sait d'où Montaigne a tiré ce nom... Cet exemple et ceux qui suivent ont été pris dans les Adages d'Érasme.

270Le texte de 1588 comportait « toute » ; « en general » est une correction manuscrite de l'« exemplaire de Bordeaux ».

271Cela donnerait en effet « aut vivat ». A. Lanly cite ( II, p. 160) le dicton « Beati Vascones quibus vivere est bibere ! » (« Heureux Gascons!Gascons pour qui vivre c'est boire ! »). Dans l'édition de 1595, des mots ont été déplacés ; on lit : « ...qu'en celle de Cicéron, qui change volontiers en V. le B. ». Mlle de Gournay, ne connaissant pas le Gascon, a-t-elle cru que ce changement phonétique s'appliquait au latin de Cicéron ?

272Ces formules sont tirées de Plutarque éd. Amyot LXVIII, Des communes conceptions contre les Stoïques.

273De quelle « Loi » s'agit-il ? Celle du Dieu biblique, ou celle des Stoïciens ? Peut-être simplement « règle à suivre dans la vie ». Les éditeurs de Montaigne sont muets là-dessus.

274En fait, d'après Cornelius Agrippa, De vanitate scientiarum I .

275Cornelius Agrippa, que Montaigne utilise ici, a donné ce nom à l'empereur habituellement nommé « Valens », mort en 378, frère de Valentinien qui lui avait confié l'orient. Chrétien, il avait rallié l'arianisme ( Dict. Larousse ).

276Mot de Socrate, pris dans Stobée, Sermo XXII.

277D'après Platon Timée II.

278Sur l'« exemplaire de Bordeaux », Montaigne a écrit : « à terre couchez. » A. Lanly traduit par « à terre, étendus. » et D. M. Frame par « on the ground, prostrate ». Mais de mon point de vue, l'idée est plutôt de ne pouvoir se « détacher » de la terre.

279Aristote Ethique à Nicomaque VII, I. Notons encore une fois avec quelle facilité Montaigne « annexe » en quelque sorte Platon, Aristote, Socrate etc. à la religion chrétienne !

280Saint Paul Épître aux Corinthiens I, 1, 19.

281La formule est jolie ; fallait-il la traduire ? Si l'on y tient : « je révèle les choses plus que je ne les explique ».

282Platon Politiques XIX : « Car il semble que chacun de nous connaît tout ce qu'il sait comme en rêve et qu'il ne connaît plus rien à l'état de veille. » (Traduction E. Chambry). On notera l'habileté avec laquelle Montaigne condense le texte de Platon : ici, ma traduction ne fait que le suivre.

283Douteux : Montaigne prend cela chez Cornelius Agrippa. Mais d'autres, comme Valère Maxime, n'ont rien dit de tel.

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