Мишель Монтень - Les Essais - Livre II
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340Bible, Saint Paul, Épître aux Corinthiens I, 1, 25.
341Certes, Montaigne écrit « matiere » ; mais pour nous aujourd'hui « la matière » désigne un concept scientifico-philosophique, et j'ai pensé que Montaigne, ici, évoquait plutôt quelque chose de concret ? Par ailleurs, j'introduis (à la suite de D. M. Frame) des guillemets, car il s'agit d'un « argument » auquel la suite cherche à répondre.
342« Des chrétiens, comme Origène », selon P. Villey I, p. 525, note 3.
343Cf. Diogène Laërce, Vies ... Démocrite IX, 44 — Épicure X, 85.
344Dans l' « exemplaire de Bordeaux » on lit (manuscrit) : « sans usage et connoissance du feu». L'édition de 1595 ne conserve que « sans usage du feu ».
345P. Villey II, p.526 indique en note 3 : « contre nature ». Mais je conserve « monstrueux », comme le fait d'ailleurs A. Lanly .
346Montaigne a d'abord donné la traduction de ces vers sans le dire, avant de les citer en grec (la graphie grecque donnée ici est celle de l'édition Villey ).
347Melissos de Samos, philosophe de l'école de Zénon d'Élée, et considéré comme le dernier de celle-ci.
348Dans le Théétète .
349Le texte de 1595 est « Mansiphane », certainement fautif. Nausiphane : « Le premier maître d'Épicure fut peut-être, à Samos même, le platonicien Pamphile ; mais bientôt Épicure quitta l'île pour Théos où se trouvait une école plus célèbre, dirigée par le disciple de Démocrite, Nausiphane » ( Encyclopedia Universalis ).
350Dans l'« exemplaire de Bordeaux », la phrase « Je ne scay si la doctrine Ecclésiastique en juge autrement, & me soubs mets en tout & par tout à son ordonnance, mais » a été barrée.
351J'adopte ici le mot d'A. Lanly II, p. 190. D. M. Frame, comme souvent, conserve tout simplement « indiscretion » p. 392.
352Le texte est: « Et l'apparence qui s'offre à nous, en ces propositions, il la faudroit representer plus reverement et plus religieusement. »; A. Lanly reprend ici la traduction de P. Porteau [montPor] en écrivant : « ce qu'il y a de séduisant dans ces assertions ». De son côté, D.M. Frame écrit : « The probability that appears to us ». Mon interprétation diffère quelque peu.
353Allusion à la querelle de la « Transsubstantiation », dont l'objet est l'interprétation de la parole du Christ : « Hoc est corpus meum. » (note de l'édition Villey II, p. 527).
354Il s'agit là du paradoxe bien connu, dit « du menteur ».
355Note de P. Villey p. 527 : « Montaigne fit en 1576 frapper un jeton où cette balance symnbolique figurait avec sa devise. » (« Que sais-je ? » était la devise de Pyrrhon lui-même).
356L'étamine est un « tissu peu serré de crin, de soie, de fil, qui sert à cribler ou à filtrer » (Dict. Petit Robert ). On pourrait aussi traduire par « tamis » comme l'a fait A. Lanly , mais le mot est joli et je préfère le conserver.
357Dans le texte original, cette phrase n'est pas très claire: « Nature veut qu'en choses pareilles il y ait relation pareille. » J'ai essayé de l'éclairer un peu, en fonction des exemples qui suivent.
358 Épître aux Romains I, 22-23.
359Habitants de Thasos, île de la mer Égée.
360Je conserve « raison ». Mais « intelligence » ne serait-il pas mieux ici ?
361Sous-entendu : « puisque Dieu n'est pas faible, il ne peut nous blesser » ?
362A. Lanly ( II, p. 194) traduit « par son effort », et D.M. Frame ( p. 396) par « by his cleverness ». Je préfère employer une tournure qui conserve le caractère concret du mot « industrie ».
363Tous les arguments de ce paragraphes sont tirés de Cicéron De natura deorum , notamment dans II, 16.
364Dans la satire d'Horace (qui se met ici en scène lui-même), le personnage de Damasippe évoque à l'encontre du poète l'histoire bien connue de la grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf et que La Fontaine reprendra avec le bonheur que l'on sait.
365Instrument qui servit jusqu'au XIXe siècle à mesurer la hauteur des astres au-dessus de l'horizon, notamment pour en déduire la position d'un navire.
366Il s'agissait en fait d'Anubis, selon la légende rapportée par Cornelius Agrippa (entre autres) in De vanitate scient. LVIV
367La ville de Troie, en Asie Mineure. Les « Portes Scées » sont celles qui commandaient l'entrée de la ville.
368Hérodote, L'Enquête éd. Folio, I, 172. Les Cauniens habitaient la ville de Caunos, en Carie (Asie-Mineure).
369Il s'agit ici de Carthage.
370Les Grecs le plaçaient à Delphes...
371« Fille de Thoas, roi de Lemnos, sauva son père quand les femmes de l'île tuèrent tous les hommes. » (Note de A. Lanly II, p. 197).
372Le Faune, ou Pan chez les Grecs.
373C'est ce que dit saint Augustin, Cité de Dieu IV, 8 : « Non tamen satis fuit hominibus deorum multitudinem amantibus... » (Tout le passage est ironique et fort plaisant à lire).
374« Grand Pontife » en 89 av. J.-C. Cicéron s'y réfère, de même que saint Augustin : « O Scaevola pontifex maxime » — in Cité de Dieu , IV, 27.
375Tous les éditeurs donnent comme référence à cette citation : saint Augustin, Cité de Dieu IV, 31. En réalité il s'agit de IV, 27.
376Je prends cette élégante traduction dans l'édition numérique de l'Abbaye de saint Benoît (http://www.abbaye-saint-benoit.ch/saints/augustin/citededieu/livre4.htm) au chapitre XXVII.
377Cette remarque est lourde de sens, et mériterait à elle seule un long commentaire philosophique... (Mais Montaigne affirmera nettement le contraire au §337 !) Elle rejoint la théorie de la réminiscence, telle que Platon l'expose dans le Ménon XIV-XXI : l'esclave n'est pas ignorant ; il ne sait pas qu'il sait. Ce qui est en quelque sorte le contraire du pyrrhonisme : « Je sais que je ne sais pas ».
378Phaëton était le fils d'Hélios (le Soleil). S'étant emparé du char de son père, il passa si près de la Terre qu'il faillit la brûler ; c'est pourquoi il fut précipité dans le Pô (Eridan) par Jupiter.
379« Avec Anaxagore » ne figure pas dans le texte de 1595. C'est pourtant un ajout manuscrit sur l'« exemplaire de Bordeaux ». Il est quelques autres exemples de ce genre, et cela peut conduire à se demander si Mlle de Gournay n'a pas eu en mains une copie légèrement antérieure à celle de l'« exemplaire de Bordeaux » ?
380 Mémorables IV, 7.
381Au sens grec, le « démon » (comme celui bien connu de Socrate) était une sorte d'« ange gardien », qui symbolisait la destinée d'un personnage.
382Platon République X, 616-c, p. 529-530 : « ...à ces extrémités ils virent tendu le fuseau de la Nécessité par l'intermédiaire duquel tous les mouvements circulaires sont entretenus ».
383Il s'agit en fait de vers de Varron, rapportés par V. Probius, dans ses Notes sur la 6e églogue de Virgile (Précisions données dans l'édition P. Villey ).
384Les éditions antérieures à 1595 comportaient ici une autre phrase : « ... Timon l'a appelé, de façon injurieuse “grand fabricant de miracles” ».
385Épicycles : « petits cercles décrits par un astre, tandis que le centre de ce cercle décrit lui-même un autre cercle » (Dict. Petit Robert ). C'est en recourant à ces épicycles que Ptolémée (IIe s.) parvenait à rendre compte de l'irrégularité des mouvements observés pour les différentes planètes. Cette théorie demeura en vigueur pendant quatorze siècles, et ne fut remplacée que peu à peu par celle de Copernic.
386Tous ces termes étaient employés en astrologie/astronomie pour décrire les mouvements apparents des astres.
387En employant « ressorts », Montaigne poursuit ici la métaphore mécanique déjà employée à propos des astres ; c'est pourquoi je conserve le mot.
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