Мишель Монтень - Les Essais - Livre II

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428Sur l'« exemplaire de Bordeaux » on peut lire « 14 Turcs ». La rédaction de 1595 est d'ailleurs un peu différente aussi pour cette seconde phrase.

429Récit fait d'après Goulart Histoire du Portugal XII, 23.

430On pourrait interpréter ainsi : « Qui veut jouer au plus fin court à sa perte ».

431Dans l'« exemplaire de Bordeaux » on lit cette phrase manuscrite en marge du folio 233 v°: « Et Platon a deus doits pres que sans lois nous vivrions comme bestes brutes et s'essaie a le verifier. » Ma traduction suit le texte de 1595 : « Et Platon verifie que sans loix, nous vivrions comme bestes. »

432P. Villey propose « creux, vide » pour ce mot, ( t. II, p. 559, note 7). J'ai préféré « évanescent » pour sa proximité avec « vain », et ce qui est dit sitôt avant.

433Pour P. Villey ( t. II, « Sources et annotations » p. 059) ces « nouveaux docteurs » sont « non des protestants, mais des novateurs plus audacieux, contempteurs de toutes les religions ».

434Que faut-il entendre exactement par là ? L'Apologie elle-même, ou simplement les quelques préceptes que Montaigne vient d'indiquer ? Ni P. Villey, ni A. Lanly, ni D. M. Frame ne semblent s'être interrogés sur ce point. A. Lanly traduit par « ce moyen de préservation » (t. II, p. 221), et D. M. Frame par « this preservative » (p. 420).

435A. Lanly traduit ici « medecine » par « médicament ». Il semble bien qu'à l'époque de Montaigne le mot s'employait déjà dans le sens actuel — et l'opposition faite ici avec la « geometrie » semble le confirmer.

436La chiromancie (ou art de « lire les lignes de la main » pour en déduire le caractère et l'avenir d'une personne) était très en vogue, et de nombreux ouvrages traitaient de la question, avec un vocabulaire spécifique que reprend ici Montaigne et qui n'est plus en usage aujourd'hui : « mensale », « enseigneur », « naturelle », « mitoyen »...

437C'est là une des croyances populaires de l'époque. L'expression « ours mal léché » qu'on emploie encore aujourd'hui pour désigner quelqu'un qui a mauvais caractère, en est la trace.

438« aucunes » a généralement un sens positif ; mais ici « de tout... d'aucunes » suggère un emploi négatif. A. Lanly se contente d'écrire « comme d'aucunes », mais signale cette éventualité. D. M. Frame , lui, ne fait que transcrire : « ...as he is of any ». Mais le sens laisse à désirer.

439Cf. le passage qui débute au § 361.

440École fondée par Platon.

441Dans le texte de 1595, « vray-semblable » est écrit en deux mots, ce qui me semble autoriser ma périphrase, car « vraisemblable » a pris de nos jours un sens un peu différent, presque comme « bien possible ». D'ailleurs le texte de 1588 comportait ici : « & quant & quant beaucoup plus veritable, & plus ferme.

442Tribunal d'Athènes, qui siégeait au pied de la colline d'Arès — d'où son nom.

443Montaigne a déjà cité ces vers, traduits par Cicéron, et reproduits par saint Augustin ( Cité de Dieu V, 28) au chap. 1 § 9.

444A. Lanly , qui suit ici P. Porteau, traduit « morfondement » par « la grippe », ce qui me semble trop moderne. P. Villey proposait « rhume ». D. M. Frame : « a bad cold ».

445Le texte imprimé de 1595, comme celui de 1588, porte nettement « apres le repas ». Coquille d'A. Lanly t. II, p. 226, qui écrit : « après le repos ».

446Cicéron, Tusculanes IV, 19. Mais ici, Montaigne ne marque pas la citation.

447Le texte de 1588 avait ici : « Nous ne le savons que trop [par expérience] : les passions produisent en nous d'infinis et perpétuels changements dans notre âme, et la tyrannisent énormément. Le jugement d'un hommecourroucé ou craintif est-il le même que celui qu'il aura ensuite, ayant retrouvé son calme ? » Sur l'« exemplaire de Bordeaux », les mots « par expérience » ont été d'abord rajoutés à la main, puis toute la phrase a été barrée.

448Le texte imprimé de 1588 portait « mettre ma vie a la mercy de sa nouvelle experience », et une correction manuscrite de l' « exemplaire de Bordeaux » a remplacé « mercy » par « preuve », ce qui amoindrit quelque peu la restriction semble-t-il. L'édition de 1595 a repris cette correction. Mais « nouvelle expérience » (pour « jeune, récente ») surprend un peu : Montaigne a écrit cela au plus tôt vers 1575-76 (semble-t-il, d'après P. Villey). Or Paracelse est mort en... 1541 ! Peut-être Montaigne l'ignorait-il. Et peut-être sa remarque se fonde-t-elle sur la publication des Œuvres de Paracelse puisque cette publication a eu lieu entre 1575 et 1589 ?

449Jacques Pelletier du Mans (1517-1582), grand savant à son époque, a dirigé le Collège de Guyenne à Bordeaux entre 1572 et 1579, et il semble bien en effet que Montaigne l'ait accueilli chez lui durant cette période.

450Il s'agit certainement de l'hyperbole.

451Origène.

452 L'Académie de Platon.

453Apulée, De deo Socratis citation reprise de saint Augustin, Cité de Dieu XII, x.

454A. Lanly considère ici que « comprenant » se rapporte à « ancienneté », et traduit donc par « elle incluait... ». Il a peut-être raison ? Mais je partage plutôt ici l'interprétation de D. M. Frame , qui écrit : « testifying to the antiquity of this timeless nation and including a true account of... »

455Toutes ces « merveilles » et celles qui vont suivre encore sont tirées du livre de Gomara Histoire Générale des Indes.

456Cette phrase manque dans la traduction d'A. Lanly ( t. II, p. 234).

457La citation est prise dans Juste Lipse Politiques Livre VI, V, 4.

458Dans les éditions antérieures à celle de 1595, on lisait ici : « C'est pourquoi le Chrestien plus humble et plus sage et mieux recognoissant ce que c'est que de luy, se raporte à son createur de choisir et ordonner ce qu'il luy faut. »

459Montaigne ne manque pas d'humour... Sur l'Ordre de Saint Michel et son prestige passé, voir chap. 7, §3 et la note 4.

460Le repos absolu de l'âme, l'inertie.

461Philologue français bien connu de Montaigne.

462Apollon, ce que le contexte montre bien, puisqu'il est question un peu plus loin du « trépied » de la Pythie, censée parler pour Apollon dans ses oracles.

463Pascal a repris cette idée dans sa célèbre formule « Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au-delà ».

464On remarquera que ce thème est cher à Montaigne, qui l'a déjà longuement traité en I, 23.

465Ces anecdotes proviennent de Diogène Laërce Vies ..., Aristippe II, 67-68.

466Aujourd'hui on évoque couramment les « deux faces d'une même monnaie », ou la fameuse bouteille, toujours à moitié vide ou à moitié pleine.

467Deux célèbres jurisconsultes de l'époque.

468La dernière partie de cette phrase est en contradiction avec ce qui précède... On notera qu'elle marque le début d'une longue correction manuscrite faite sur l'« exemplaire de Bordeaux », et reprise par l'édition de 1595 (jusqu'au §431).

469Le mot « poix/poids » fait problème. Sur l' « exemplaire de Bordeaux » il est assez difficile de savoir si Montaigne a écrit « poix » ou « pois ». L'édition Strowski/Villey (t. II, p. 342) donne : « pois » ; celle de Villey « poix ». Par ailleurs, dans l'édition de 1588 on lit « espece de poix » et dans celle de 1595 : « chose de poix » A. Lanly traduit « une espèce de poids ». D.M. Frame : « a sort of weight ». Mais le sens de « poix », quelque chose qui « colle à la peau » (cf. la « poisse » ) me semble mieux convenir, et la « correction » de 1595 pourrait être l'indice d'une mauvaise interprétation : « espèce de poids » n'ayant pas grand sens, P. Brach et M. de Gournay auraient cru nécessaire de corriger en « chose de poids » ?

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