Мишель Монтень - Les Essais - Livre II
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388Les autres éditions ont ici : « comme dict Salomon ».
389Dommage que Montaigne n'ait pas fait cette réflexion... à propos de Plutarque ou de Pline par exemple !
390Aristote.
391Ceux qui ont l'esprit rempli de choses apprises sans en chercher les fondements. (Cf. Platon, La République V).
392A. Lanly ( II, p. 204,) traduit par « selon notre connaissance. » Mon interprétation est différente, et je suis plutôt du côté de D. M. Frame ( p. 404) : « within our knowledge ».
393Montaigne écrit : « la condition de notre naissance ». Peut-être faut-il comprendre cela comme la configuration astrale de la naissance ?
394« Fantasie » est une correction manuscrite de l'« exemplaire de Bordeaux », surchargeant « creance ».
395Il faut certainement comprendre : celles qui ont été données au début du paragraphe précédent.
396Tous les éditeurs et commentateurs depuis P. Villey indiquent que cette revue des différentes opinions concernant la nature de l'âme viennent de Sextus Empiricus dans ses Hypotyposes et de Cicéron ( Académiques , et Tusculanes ).
397A. Lanly et D. M. Frame ne traduisent pas et conservent : « nombre mobile », « a mobile number ». J'ai essayé de donner quelque sens à cette formule obscure.
398« État de perfection, de parfait accomplissement de l'être, par opposition à l'être en puissance, inachevé et incomplet. » (Dict. Petit Robert ).
399A. Lanly conserve « froide » ; D. M. Frame écrit « frigid ». Pour ma part, je pense que « stérile » rend correctement l'idée.
400Dans l'anatomie traditionnelle, on distinguait quatre ventricules (zones) dans le cerveau. Mais Montaigne écrit « au ventricule ».
401Ce serait le petit fils d’Aristote, médecin.
402L'édition 2007 de la Pléiade indique (notes, p. 1605) que cet « argument » provient de G. Bruès, Dialogues contre les nouveaux académiciens p. 78.
403Consul romain, évoqué dans certains traités de Cicéron.
404Dans les éditions jusqu'à celle de 1588, on lisait ici : « comme il s'en voit infinis chez Plutarque contre les Epicuriens et Stoïciens ; et en Sénèque contre les Péripatéticiens. »
405Le texte de 1595 est ici quelque peu différent de la correction manuscrite portée sur l'« exemplaire de Bordeaux » où on lit : « quelque biais non moins utille a considerer que les opinions saines et moderees. » C'est cette rédaction que je traduis ici.
406« Vergue longue et mince des voiles latines » (Dict. Le Robert ).
407A. Lanly conserve ici le mot « aviron ». Mais il s'agit certainement ici de cet aviron particulier servant en fait de gouvernail. Et de même, j'ai préféré un peu plus haut « cordage » à « corde » : chacun sait qu'il n'y a pas de « corde » à bord d'un navire — sauf celle de la cloche...
408Claudien, Le sixième consulat d'Honorius V, 411.
409Montaigne donne la traduction latine d'un vers d'Homère, Odyssée II, 71.
410Montaigne prend donc ici nettement parti contre la théorie dite « de la réminiscence », exposée dans Phédon (XVIII) et Ménon (XIV, et sq.) « ce que nous appelons apprendre, c'est se ressouvenir » (voir aussi au §295). Cette pseudo-théorie (idéaliste) de la connaissance demeure pourtant encore très prisée de nos jours, notamment chez les adeptes des prétendues « sciences de l'éducation », qui font si souvent référence à Montaigne... Mais parler beaucoup d'un auteur ne signifie pas forcément qu'on l'ait lu.
411Cette phrase n'est pas des plus claires ! Le texte, d'ailleurs, en a varié : le texte de 1588 était : « jouait son role simple » et la correction manuscrite « faisoit purement son office » a été reprise par l'édition de 1595 ainsi que par tous les éditeurs depuis P. Villey.
412J'interprète de mon mieux, mais ce passage demeure néanmoins assez obscur, à mon avis. Ni A. Lanly , ni D. M. Frame n'en ont donné non plus de traduction vraiment satisfaisante, me semble-t-il. A. Lanly écrit : « divinité et éternité passées » — ce qui me paraît quelque peu contradictoire.
413Montaigne a très souvent recours à deux mots quasi synonymes là où nous nous contenterions aujourd'hui d'un seul. Quand ce tic d'écriture alourdit par trop une phrase déjà controuvée, je me permets de simplifier quelque peu. C'est particulièrement le cas ici : « vain et inutile », « moyens et puissances », captivité et prison », « forcée et contrainte », « infinie et perpétuelle »...
414Sur l'hydrophobie dans l'Antiquité, on pourra consulter le passage qui lui est consacré dans l'étude de J. Pigeaud La maladie de l'âme (Les Belles-Lettres, Études anciennes, série latine, 1989, pp. 113-117). Les vers de Lucrèce qui suivent sont tirés d'un passage que l'on considère généralement plutôt comme une évocation de l'épilepsie.
415Le texte de 1588 était ici : « en se desrobant tout à fait de la vie », et « du sentiment » est une correction manuscrite sur l'« exemplaire de Bordeaux ». C'est donc bien du suicide qu'il s'agit.
416Mon interprétation en ce point est la même que celle de D. M. Frame: « to take advantage of it ».
417La tour de Babel.
418Saint Paul, Épître aux CorinthiensI , 1, 19. Mais A. Lanly indique que la phrase a pu être reprise aussi de saint Augustin, Cité de Dieu X, 28.
419J'aurais pu écrire « vox populi ». Curieusement, si Montaigne écrit l'expression en français, il est aujourd'hui assez courant d'employer l'expression latine !
420C'est la doctrine de la métempsycose, dont il a déjà été question plus haut. Sur l'« exemplaire de Bordeaux », figurait ici une phrase qui a été barrée : « Socrates, Platon et quasi tous ceux qui ont voulu croire l'immortalité des ames, se sont laissez emporter à cette invention, et plusieurs nations, comme entre autres la nostre. » (Par « la nostre », il faut entendre « les Gaulois »).
421D'après saint Augustin, Cité de Dieu XXI, 16.17. Même chose pour Varron.
422Le mot du texte de 1595 est « estui » ; sur l'« exemplaire de Bordeaux », il a remplacé « corps ».
423Le texte de l'« exemplaire de Bordeaux » et celui de 1595 diffèrent quelque peu. Dans le texte imprimé de 1588, on lisait « il y en a aussi qui ont estimé... », et une insertion manuscrite après « aussi » précise : « et aucuns des nostres l'ont ainsi pensé jugé » [le mot « pensé » a été barré à la main]. L'édition de 1595 intègre cet ajout. Par ailleurs, je ne vois pas de raison pour garder « les nôtres », comme le fait A. Lanly : il s'agit bien des « penseurs de notre religion », donc chrétiens.
424En réalité : De la face qui apparoit dedans le rond de la lune in Plutarque éd. Amyot t. II, LXXII, p. 614. La référence suivante est ibid, II, LXXIII, p. 636.
425On pense généralement que ce chapitre nettement plus long que tous les autres « essais » aurait pu être destiné à Marguerite de Valois, fille de Henri II et Catherine de Médicis, et femme d'Henri de Navarre futur Henri IV.
426Ce personnage apparaît dans le texte de Plutarque éd. Amyot Comment on pourra discerner le flatteur IV.
427La rédaction de cette phrase est un peu plus claire dans l'édition de 1595 (traduite ici) que dans la version de l'« exemplaire de Bordeaux », où elle constitue un ajout manuscrit en marge, et d'ailleurs encore raturé en plusieurs endroits. On peut donc voir ici un exemple du travail éditorial de Mlle de Gournay — pas si mauvais... Voici la phrase originale : « Des armes et conditions de combat si desesperées qu'il est hors de creance que l'un ny l'autre se puisse sauver, je les ay veu condamner aiant este offertes. »
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