Мишель Монтень - Les Essais - Livre II
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470Saint Augustin Cité de Dieu XIV, 20.
471Une phrase barrée ici dans l' « exemplaire de Bordeaux », qu'on pourrait traduire ainsi : « Et plusieurs adeptes de cette école s'en sont autorisés pour écrire et publier des livres d'une hardiesse exagérée. »
472C'est à l'époque de la Foire du Lendit que les élèves versaient aux professeurs leurs émoluements.
473J'adopte ici l'interprétation proposée par M. Guilbaud (édition Guilbaud de l'Imprimerie Nationale). Car à mon avis la traduction littérale : « lui est aussi familier qu'à n'importe qui de nos jours » n'a aucun sens. D. M. Frame traduit pourtant : « as any man of our century » (p. 443).
474Le sens de cette phrase n'est pas des plus clairs dans le texte original. J'ai dû l'arranger un peu.
475On peut faire le rapprochement avec la « Lettre sur les aveugles » quelque deux cents ans plus tard, dans laquelle Diderot relate la visite qu'il fit à un aveugle-né, et expose les réflexions philosophiques que ce cas lui inspire.
476« comme d'asseicher ou restreindre » dit le texte. A. Lanly , écrit (II, p. 248) traduit : « d'autres vertus, comme d'assécher ou d'être astringente ». Je donne plutôt à ces verbes un sens réfléchi, comme le fait D.M. Frame (p. 445) : « other properties, like drying up or shrinking ».
477La fin de cette phrase (« si elle est en nous ») n'est pas claire. A quoi se rattache « elle » ? Grammaticalement ce peut être ou « la privation », ou « la connaissance de la vérité » ou même à « la vérité ». Mais dans tous les cas « si elle est en nous » n'a guère de sens, ou est redondant... A. Lanly ( p. 248) traduit par : « si nous ne les avons pas » ; il s'agirait donc pour lui des sens ce qui contredit « elle ». D.M. Frame ( p. 446) opte pour « privation » : « if this privation is in us ». J'ai préféré, quant à moi, supprimer ce membre de phrase dans la traduction, purement et simplement.
478Mais chez Lucrèce, il s'agit de la Lune, et non du Soleil !
479Le texte est: « nous concluerons aux despens de ces deux grandes sectes dogmatistes... » A. Lanly ( II, 250) le reproduit simplement : « nous conclurons aux dépens de ces deux grandes écoles » et cela ne me semble pas satisfaisant, l'expression « aux dépens de » ayant pris de nos jours le sens de « en dépit de ». D. M. Frame ( p. 447), de son côté, écrit : « at the expense of » ce qui conserve le sens de « dépense », mais n'est guère plus clair... Ici, l'expression me semble avoir le sens d'une dépendance c'est-à-dire d'une conséquence.
480Montaigne, on le sait, parle en connaissance de cause, ayant été une grande partie de sa vie sujet à la « colique » (coliques néphrétiques). Et cette remarque narquoise sur la faiblesse des belles résolutions stoïciennes devant la réalité de la douleur ne manque pas de saveur !
481Aucun éditeur ou commentateur n'a donné l'identité de ce personnage. Peut-être Ronsard ? Ou Du Bellay ?
482D. M. Frame : « this rosy complexion » (p. 448). A. Lanly note que P. Porteau traduit par « ce teint de rose ». J'estime que c'est aller trop loin, d'autant que « rouge d'Espagne » signifiant « teinture d'écarlate » est attesté à l'époque, chez Ambroise Paré au moins (Dict. Littré ).
483Démocrite.
484Du pays des « Cimmériens », mer d'Azov actuelle. C'est-à-dire perpétuelles, selon la légende.
485Épanchement de sang sous la conjonctive de l'oeil. La forme véritable est « hyposphagma », indique A. Lanly ( II, p. 255, note 1238).
486Le texte de 1588 avait ici cette phrase:« Les malades prêtent de l'amertume aux choses douces ; ce qui montre que nous ne percevons pas les choses telles qu'elles sont. »
487Les commentateurs ont remarqué que tout ce qui suit est emprunté, presque mot pour mot, à Plutarque, dans Plutarque éd. Amyot Que signifoit... ,Tome I, chap. XLVIII. L'édition Strowski reproduit le passage aux pages 275-276 de son tome IV.
488Dans le Théétète.
489Le texte est « Opinion commune à tous les philosophes avant son temps comme il [Platon] dit: sauf le seul Parmenides, qui refusoit le mouvement aux choses: de la force duquel il fait grand cas. » Ce « duquel » renvoie-t-il au mouvement ou à Parménide ? Et qui« fait grand cas » : Parménide ou Platon ?
490Le texte de Montaigne n'est pas clair ici : Je m'inspire du commentaire de l'édition Villey des PUF T. II, p. 603, note 2.
491Rappelons que tout ce développement n'est en fait qu'un mot à mot de Plutarque !...
492Sénèque, dans ses Questions naturelles Préface du livre I.
493Texte : « ...ny saisir que de ses prises » : « prises » est ici pratiquement intraduisible en français contemporain. Comme souvent l'anglais, lui, a un équivalent : D. M. Frame écrit : « grasp ». Plutôt que de conserver le mot tel quel, comme le fait A. Lanly , j'ai préféré utiliser « doigts », puisqu'il est question des « yeux ». Mais c'est évidemment discutable.
494A. Lanly traduit : « Et il résulte de cela que... », ce qui me semble douteux. D. M. Frame : « And this comes about because... ». Je comprends comme lui : le texte dit bien « Et advient cela de ce que... ».
495Montaigne emploie fréquemment, comme ici, le mot « fortune », avec le sens de : hasard, sort, et même destin.
496Caligula.
497Ce n'est pourtant pas Caligula, mais Tibère qui aurait eu ce mot.
498Empereur romain d'origine syrienne, qui fut massacré par ses prétoriens en 222. Il n'avait régné que quatre ans. Antonin Artaud, fasciné par le personnage, a écrit sur lui un ouvrage qui ne manque pas de souffle : Héliogabale, ou l'anarchiste couronné Gallimard, coll. l'Imaginaire 1979.
499Montaigne écrit: « s'estant empoisonné, s'en repentit après. » A. Lanly II, p. 265, se contente de reproduire la phrase telle quelle (à l'orthographe près)... Elle est pourtant surprenante ! L'épisode provient de Plutarque Vies... XXXIV, p. 1324, où l'on comprend que le poison en question n'en était pas un... heureusement !
500Il s'agit d'un vers du poète grec Épicharme.
501Probablement celle de sa chute de cheval, cf. supra chap. 6.
502On peut rapprocher cela de l'histoire de l'« âne de Buridan », mourant de faim et de soif entre une botte de foin et un seau d'eau...
503Montaigne avait fait graver cette sentence (latine) sur une des poutres de sa « librairie ».
504Montaigne avait fait graver cette sentence de Sextus Empiricus en latin sur une des poutres de sa « librairie ».
505Maîtresse de Néron, sur qui elle eut beaucoup d'influence jusqu'à ce qu'il la tue, en 65 av. J.-C.
506La mode récente alors des « vertugadins » ou jupes maintenues par des armatures de fer ou de bois.
507On trouve cette idée dans Sénèque Épîtres ou Lettres à Lucilius LXXXIII.
508Rutilius Namatianus, poète latin né en Gaule, au Ve s., Itinerarium I, 397.
509En l'occurrence, il s'agit d'Hérodote, L’Enquête IV, 23.
510Tiré de Gomara, Histoire Générale des Indes Occidentales ... III, 30.
511Allusion probable aux luttes de la « Ligue » contre Henri IV qui, on le sait, dut entrer en guerre et finalement se convertir au catholicisme en 1589.
512Le texte de 1595 a omis « en France ».
513On considère généralement que ces « trente ans » sont ceux écoulés depuis le début des « troubles », vers 1560.
514Montaigne écrit « voix ». Faut-il traduire par « parole », « appellation » ? J'emploie « mot » mais ce terme est un peu réducteur. Surtout si l'on remarque, quelques lignes plus loin : « voix et vent ».
515Montaigne écrit : « tous creux et vuides ». Le statut de « tous » n'est pas clair. Il semble bien que ce soit plutôt un adverbe ici, malgré l'accord. Et dans ce cas, il n'est pas vraiment nécessaire dans le français d'aujourd'hui.
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