Мишель Монтень - Les Essais - Livre II

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611Chef des Gaulois qui prirent Rome en 190.

612Il semble pourtant que la France ait conservé la suzeraineté du duché de Bretagne ?

613Il ne peut s'agir que de Jean Le Bon, fils de Philippe VI de Valois. Mais on ne sache pas qu'il ait mené une guerre « outre-mer ».

614Cette citation et celle qui suit sont prises, non dans Prudence directement, mais dans Juste Lipse Saturnalium sermonum libri duo I, XIX et I, XII, II, XXII.

615P. Villey , II, p. 684, met en note pour ce mot : « le souffle ». Mais je ne vois pas pourquoi : « rendre l'esprit » n'est-il pas assez clair ?

616Il faut noter que dans la rédaction de 1588, cette phrase faisait directement suite à « même des hommes libres qui se vendaient pour cela » (§ 8), et que les citations ajoutées ensuite ont un peu « rompu le fil » des réflexions de Montaigne.

617Le sens de la phrase n'est pas très clair : à quoi se rapporte « qui » ? Je suis ici la leçon de P. Villey (p. 686), qui met en note : « ce qui », et ajoute « De pareilles exactions équivalaient presque à la vente du royaume ».

618Montaigne a traduit d'abord lui-même la citation.

619Historien, né à Alexandrie, qui vécut à Rome au IIe siècle. Son Histoire romaine fournit de précieux renseignements sur les peuples vaincus par les Romains.

620Dans le livre I, chap. 20.

621En réalité une naine ; c'était, semble-t-il, l'usage d'en adopter dans les riches familles.

622Le premier sens de « anti » est « en face de ». Dans les éditions précédentes, Montaigne expliquait cette étymologie ainsi: « qui signifie exceller sur les autres. »

623A. Lanly traduit : « Elle n'a besoin ni de l'excitation d'une voix charmeuse ni de la caresse d'un pouce délicat pour se dresser ». Mais le contexte de l'épigramme (licencieux !) indique plutôt le sens que je donne ici, qui est aussi celui de P. Villey et de D.M. Frame.

624Les interprétations de « pollice verso » divergent aujourd'hui de celle de Montaigne. Pour Gaffiot, Dictionnaire illustré Latin-Français p. 1195, qui cite Juvénal, III, 36, l'expression signifie : « avec le pouce renversé, tourné vers le sol » et le donne comme signe de « désapprobation, en part., refus de grâcier le gladiateur vaincu ». Cette façon de voir semble mieux justifiée : le pouce est plutôt naturellement vers le haut.

625Appelée aussi « Guerre sociale », la révolte des peuples italiques contre Rome, vaincus par Sylla.

626Ville de Thessalie. Cet Alexandre en fut le cruel tyran ; c'est lui qui fit emprisonner le chef Thébain Pélopidas qui fut délivré par Epaminondas. Il fut finalement assassiné par sa femme. Cf. Plutarque Vies... , Pélopidas XIV.

627L'un des « sept Sages » de la Grèce antique.

628Dans l'Inde centrale.

629Orateur romain qui fut consul, puis écrivit des tragédies dont il ne nous est rien parvenu.

630Il se prénommait Bertrand. Montaigne l'avait emmené avec lui en Italie et il y fait allusion dans le récit qu'il a fait de ce voyage.

631L'expression de Montaigne « à sa fin » est ambiguë. On peut comprendre comme D.M. Frame : « useful for its purpose ». Mais cela me semble un peu tautologique... Ou bien comme je le fais, en me fondant sur la parenthèse qui suit et qui fait état de la supériorité du « vieil » : donc de celui qui maîtrise mieux cet « art ».

632Tite-Live, Annales XXVIII.

633On peut comprendre aussi (comme le font D. M. Frame et A. Lanly) « se cachait pour », mais cela ne me semble pas satisfaisant.

634Des combats livrés avec les combattants de part et d'autre d'une barrière, sur le champ des tournois.

635Dans Lachès , Pléiade, VII.

636Empereur de Byzance jusqu'en 602, où il fut mis à mort avec sa famille par l'armée mécontente, qui élut à sa place Phocas, centurion.

637Philippe V, avant-dernier roi de Macédoine.

638Cette phrase ne figure que dans l'édition de 1595.

639Ville de Thrace.

640Fixant le sort des descendants des condamnés.

641Celles que l'on faisait rougir au feu avant de s'en servir pour arracher des lambeaux de chair...

642Supplice institué par le « bon roi » François 1er... pour les bandits de grands chemins, il est vrai. Le condamné était mis en croix sur une roue de chariot, et on lui brisait petit à petit les membres à coups de masse. D'où l'expression « roué de coups ».

643Il faut l'entendre au sens fort : ôter « toute espérance » au malheureux, c'est en somme commettre un péché, puisque c'est l'amener à mettre en doute la bonté infinie de Dieu...

644Historien juif né en 37 après J.-C.

645Grammairien et historien grec qui vécut de 1424 à 1511. Il émigra en Italie en 1447 et enseigna à Padoue.

646Mahomet II, qui s'empara de Constantinople en 1453, ravagea l'Europe orientale et fut vaincu en Hongrie en 1479 après avoir menacé Vienne.

647Roi de Lydie (VIe s. av. J.-C.), célèbre par ses richesses, dont a parlé Hérodote.

648Artisan qui apprêtait le « drap » (les tissus). Carder la laine consistait à la démêler à l'aide de peignes d'acier.

649Formule rhétorique, certes ; mais Montaigne écrit cela en 1588 et mourra effectivement peu après, en 1592.

650Le Phédon

651Sénèque, Épîtres ou Lettres à Lucilius , LIII.

652Tibulle, De inertia Inguinis cité dans Priapea , LXXXII, 4.

653Philosophes ainsi nommés parce qu'ils vivaient à peu près nus ; ils menaient une vie d'ascètes.

654L'opposition des catholiques et des protestants reposait notamment sur la valeur à accorder aux « œuvres » et à la « foi » : les premiers accordant une grande importance aux « œuvres », les seconds voulant que la « foi » en soit indépendante.

655Mourad II, sultan des Turcs de 1421 à 1451 ; le roi de Hongrie Ladislas et le voïvode de Transylvanie tentèrent en vain de l'arrêter dans ses conquêtes. C'est le roi d'Albanie Hyskanderr qui y mit fin.

656Henri de Navarre, futur Henri IV, probablement.

657L'assasinat de François de Guise par le protestant Poltrot de Méré pendant le siège d'Orléans en 1563. Cf. Brantôme, Mémoires IV.

658Selon Jean Plattard , il s'agit en effet d'un dénommé Balthasar Gérard. Montaigne opposerait ses paroles fermes à la conduite et aux paroles fuyantes du premier. Mais le texte est très elliptique...

659Nom donné en effet aux membres d'une secte musulmane apparue en Perse au XIe siècle. Selon le dictionnaire Petit Robert notre mot « assassin » actuel serait un emprunt à l'argot assasin pluriel de assas« gardien », plutôt qu'à un dérivé de hasis« haschich ».

660Seule l'édition de 1595 comporte ce qui suit.

661Ambroise Paré a en effet parlé des monstres dans ses ouvrages. Il y voit « le plus souvent [des] signes de quelque malheur advenir ». À la différence de Montaigne, qui considère que tout monstre peut avoir une explication naturelle, même si nous ne la trouvons pas du fait de l'insuffisance de notre raison ou de notre expérience.

662On pense (P. Villey II, p. 712 notamment) que cet essai se place aux alentours de 1578.

663C'est ce que l'on appelle depuis le XIXe siècle des « frères siamois » : nés en 1808 au Siam, deux frères ainsi attachés, mais avec deux têtes, avaient été promenés dans le monde avant de se fixer aux Etats-Unis. Ils sont morts à quelques heures d'intervalle.

664Montaigne se moque du rôle « annonciateur » attribué à son époque aux monstres (cf. supra note 661).

665Sur l'« exemplaire de Bordeaux », on lit « Lucius Saturninus ». L'édition de 1595 a corrigé en « Caius Rabrinus », et à juste titre, précise A. Lanly ( t. 2, p. 370, note 11), puisque « Lucius Sabrinus était mort en 100 av. J.-C. Il s'agit bien ici de Caius Rabirius qui, à l'instigation de César, avait été accusé du meurtre de L. Apuleus Saturninus ».

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