Мишель Монтень - Les Essais - Livre II

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721Dans le texte de 1580 et celui de l'« exemplaire de Bordeaux » on lit ici : « prou » (« assez » ou « beaucoup »).

722Tacite, Annales II, LXXVII. Mais la citation de Montaigne est inexacte.

723Source : Pline le Jeune, Correspondance Livre VI, 24.

724Celles que rapporte Pline, au § 11.

725Ce passage est inspiré de Tacite, Annales XV, 62-64.

726« âme » est ici le souffle vital aussi, sens premier du mot latin « anima ». Je conserve la jolie expression de Montaigne, en la développant un peu.

727Cléomène Ier, qui a vécu entre -519 et -540.

728Xénophane de Colophon (Asie Mineure), philosophe grec de l'école d'Élée, qui vécut au -VIe s. « Il dénonça surtout le caractère anthropomorphique et immoral de la représentation des dieux chez Homère et Hésiode » (d'après le dict. Petit Robert des noms propres ).

729Philosophe stoïcien qui vécut à Athènes vers 180-110 av. J.-C.

730Outre le poème de Virgile, l'Énéide qui établit une origine troyenne pour Rome, on peut citer la Franciade de Ronsard, qui fait d'un soi-disant Francus, fils d'Hector, l'ancêtre des Français...

731Alexandre ravagea Thèbes en 335, mais épargna Athènes.

732Il ne s'agit pas ici du poète du même nom. Ces meurtres sont relatés par Quinte-Curce, Histoire romaine I, 17.

733Compagnon d'Alexandre, il avait osé critiquer celui-ci en faisant l'éloge de son père. Alexandre, qui était ivre, le tua, et le regretta amèrement par la suite.

734Le texte de 1580 comportait ici : « car on tient entre autres choses que sa sueur produisoit une tres douce et souefve odeur. » Cette « précision » a disparu ensuite.

735Le mot « secte » a pris aujourd'hui un sens tellement péjoratif, qu'il vaut mieux l'éviter ici.

736Ces deux « vies » de Plutarque sont en effet perdues.

737Victoire remportée en Béotie en 371, contre les Spartiates.

738Les mots « luy mort» ont été ajoutés à la main sur l'exemplaire de 1595 de la BNF.

739Aujourd'hui on parle de « coliques néphrétiques », que Montaigne désigne ailleurs par « maladie de la pierre » (calculs rénaux).

740Montaigne écrit « dans le sein » ; A. Lanly conserve le mot, de même que D. M. Frame qui écrit « in the breast ». C'est à mon avis une erreur. En 1685-86, Charles Cotton traduisait plus justement : « in the sound and living part ».

741Cette phrase a disparu dans le texte de 1595.

742Vers qui nous sont parvenus grâce à Sénèque ( Épîtres CI). Mécène était le ministre de l'empereur Auguste connu pour aider les artistes et notamment les poètes.

743« irrémédiable » est le mot employé par Montaigne ; mais nous ne le comprenons plus aujourd'hui dans ce sens premier de « sans remède ».

744Dans l'« exemplaire de Bordeaux » figurait ici un long passage, contenant des vers en italien de l' Orlando Furioso de l'Arioste. Ce texte a été barré et remplacé à la main par la version reprise dans l'édition de 1595 et dont je donne la traduction. Les curieux peuvent voir la page de l'« exemplaire de Bordeaux » à l'adresse : http://artfl.uchicago.edu/images/montaigne/0336v.jpg (le passage en question est en bas de l'image).

745La fin de cette phrase ne figure que dans l'édition de 1595. Cette « précision » va dans le sens de l'authenticité de cette édition posthume : pourquoi Marie de Gournay aurait-elle ajouté cela ? Je conserve « brailler », aujourd'hui un peu « populaire ».

746Dans l'« exemplaire de Bordeaux » on trouve ici une phrase barrée : « Je devise, je ris, j'estudie, sans esmotion & alteration ».

747Cette histoire est prise dans Plutarque, Pourquoy la justice divine differe ..., éd. Amyot XIX. La précédente dans Pline, Histoire Naturelle , VII, 12.

748L'évocation de sa mère est rarissime dans les « Essais » : deux occurrences seulement...

749Dans le Timée. Montaigne l'a lu, on le sait, dans la traduction de Marcile Ficin.

750Le mot de Montaigne est « bihore ». P. Villey indique en note qu'il s'agit du « cri que pousse le charretier pour faire avancer ses chevaux ». C'est aussi ce que pense D.M. Frame , qui traduit par le mot « Giddap », variante de « Giddy up » (Get up). Mais A. Lanly, de son côté ( II, p. 423, note 71) y voit une déformation du mot anglais « before » ( ?). J'ai préféré le mot courant en français pour faire avancer un cheval.

751Platon, République III. P. Villey donne la citation extraite de la traduction latine de M. Ficin : « Mendacium hominibus... pro medicameno est utile, quare publicis medicis concedendum » (« le mensonge doit être accordé aux médecins publics, parce qu'il est utile aux hommes comme médicament »).

752Le texte de Montaigne est fautif : le premier mot de la citation latine est est « Tum », et non « Nam ». Je reprends ici la traduction de l'édition de J-P. Chausserie-Laprée aux éditions de « La Différence », p. 347.

753Il s'agit de l'escargot... Il fallait ici traduire mot à mot Cicéron, je pense.

754Rappelons que le terme de « coliques » désignait alors ce que nous appelons aujourd'hui « coliques néphrétiques ».

755L'Antiquité en effet considérait qu'il y avait dans l'hommequatre humeurs fondamentales : le sang, le phlegme, la bile et l'atrabile (bile noire, mélancolie).

756Corps légers et subtils que l'on considérait comme les principes de la vie.

757Pline l'Ancien.

758Si Hippocrate n'est pas véritablement le créateur de la médecine, il est celui qui a véritablement embrassé le savoir médical de l'époque et l'a mis en pratique.

759Asclépiade fut célèbre en son temps (124-96 av. J.-C.) ; il s'opposait à la méthode d'Hippocrate.

760Élève d'Asclépiade, et partisan de la médecine expérimentale (1er siècle av. J.-C.).

761Il en est question dans les Annales de Tacite XI, 31-35.

762Pierre Villey ( t. II, p. 079) indique que ce développement est fort proche de ce que dit Cornelius Agrippa, Vanitate scientiarum 83-84.

763Provenant d'un arbre des Antilles, et utilisé alors contre la syphilis.

764Plante des Antilles dont on utilisait les racines comme diurétique notamment.

765Arbre d'Asie, dont le rhizome a des propriétés antirhumatismales.

766C'est l'instrument employé pour écarter les cavités naturelles du corps et en faciliter l'examen. Speculum matricis (speculum vaginal) est passé dans la langue courante de nos jours sous sa forme latine abrégée.

767Etienne de la Boétie.

768Le terme employé par Montaigne est « choses apéritives » ; le mot « apéritif » étant trop marqué de nos jours, j'ai choisi « dilatateur » bien qu'il soit apparu seulement au XVIIe.

769Ou « maladie de la pierre », ou « coliques néphrétiques » comme on dit aujourd'hui.

770On parle aujourd'hui encore de « sable », mais de « calcul » plutôt que de « pierre ».

771Cette expression imagée chère à Montaigne est facile à comprendre...

772La rédaction de tout le pasage qui suit (jusqu'à « qui se voit par ailleurs dans cet art ») a été pour l'essentiel modifiée par rapport à l'édition de 1580.

773Bagnères-de-Bigorre probablement.

774La Lorraine était un duché indépendant. Montaigne séjourna à Plombières en septembre 1580.

775Montaigne en parle dans son Journal de voyage.

776Région traversée par l'Adour, où se trouve Aire-sur-Adour.

777Un bénéfice (ecclésiastique) était un domaine concédé à un curé, un évêque, etc. Le droit de patronage concernait le droit de nommer quelqu'un à un bénéfice.

778Cf. note 768.

779On ne voit pas bien ce que Montaigne désigne par « petite boule » ?

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