Мишель Монтень - Les Essais - Livre II

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NOTES

1 Celle de Jean Balsamo, Michel Magnien et Catherine Magnien-Simonin, Gallimard, Coll. «Pléiade», 2007 (texte de 1595). L'article cité est celui du «Mondes des Livres» du 15 juin 2007, intitulé «Montaigne, retour aux sources».

2Montaigne a repris, en la traduisant, l'épitaphe latine du pape Boniface VIII. Celle-ci est mentionnée dans les « Annales d'Aquitaine » de J. Bouchet.

3Montaigne écrit : « des-reglements » ; j'ai conservé le trait d'union qui renforce l'idée.

4Il s'agit bien sûr du caméléon. Le mot est attesté dès le XIIe s.

5Montaigne écrit « bonasse ». Il existe un mot « bonace » encore usité de nos jours, pour désigner le calme plat. On pourrait l'utiliser ici.

6Montaigne citera plus loin encore ces mêmes vers (Chap. 12, § 388).

7Lucrèce, femme de Tarquin Collatin, dont la vertu devint légendaire : pendant que son mari participait au siège d'Ardée, elle fut violée une nuit par Sextus Tarquin qui s'était introduit chez elle. A son père et son mari qu'elle fit venir, elle révéla le crime qu'elle avait subi, et se tua ensuite devant eux d'un coup de poignard.

8A. Lanly traduit par « ne trouve avec elle son heure », expression qui me semble un peu trop obscure.

9Montaigne ne fait ici que démarquer un passage de Plutarque, mais si l'on s'y reporte (Vies... Vie de Pélopidas,p. 537, 2-4), on pourra admirer comment il sait rendre en quelques lignes toute la saveur de ce long passage.

10Dans l'« exemplaire de Bordeaux », on lit « Mechmet ». En fait il s'agirait de Mahomet II, sultan né en 1430, qui s'empara de Constantinople en 1453 ; c'est en 1479 qu'il fit une expédition contre les Hongrois ; elle se termina par un échec. L'édition de 1595 écrit « Mahomet ».

11Terme de logique néo-scolastique ; procédé consistant à diviser les arguments en paires, dont chacune comporte au moins un élément opposé à l'un des éléments de l'autre. Les commentateurs considèrent que le début du chapitre 11 (« Sur la cruauté ») est composé selon ce procédé.

12Une citation de Cicéron : De Natura Deorum , I, 21 (« Ils méprisent la volupté, mais sont trop faibles dans la souffrance ; ils dédaignent la gloire, mais une mauvaise réputation les abat. ») a été ajoutée ici à la main (par Montaigne?) dans l'interligne de l'« exemplaire de Bordeaux » ; curieusement, elle ne figure pas dans l'édition de 1595. Aurait-elle donc été rajoutée postérieurement à la copie dont semblent avoir disposé P. de Brach et Mlle de Gournay ?

13Je n'ai pas trouvé la formulation précise de la « devise » de Talbot. Montaigne écrit « avau le vent » pour « a vau le vent », qu'A. Lanly traduit par « au gré du vent ». Mais cela ne me semble pas rendre complètement le sens, que je rapprocherais plutôt de l'expression « à vau-l'eau » qui est encore usitée aujourd'hui : « à vau », c'est « à val », donc « en aval », vers le bas, suivant simplement la pente naturelle — mais aussi avec une valeur dépréciative. J'ai donc conservé l'expression telle quelle, en ajoutant les traits d'union pour mieux la marquer.

14Tous les commentateurs disent ici : « l'Allemagne », qui n'était pas très appréciée, en effet, des Français de l'époque.

15Voir notamment Sénèque ( De la tranquillité de l'âme XVII, p.690) : « Liber l'inventeur du vin, s'appelle ainsi, non parce qu'il délie les langues, mais parce qu'il libère l'âme des soucis dont elle est esclave... »

16Flavius Josèphe De vita sua , §44.

17Le vers exact est : « Inflatum hestero venas, ut semper, Iaccho ».

18A. Lanly conserve « leur rang », et précise en note (II, 16, note 14) : « apparemment : la section, l'escouade à laquelle ils appartiennent. ». Je comprends différemment.

19 On trouve cette idée dans Sénèque Épitres , ou Lettres à Lucilius , LXXXIII.

20Plutarque Vies ..., Artaxerxès II, et éd. Amyot, Propos de table I, 4.

21« estomac » au XVIe siècle avait un sens moins précis qu'aujourd'hui, et servait plutôt à désigner l'appareil digestif en entier.

22La phrase qui précède ne figure que dans l'édition de 1595. Soit la copie dont disposaient les éditeurs (P. Brach, Mlle de Gournay) était légèrement différente de l'exemplaire de Bordeaux, soit il s'agit d'un ajout de leur propre chef. Mais je pencherais plutôt pour la première hypothèse, car on ne voit pas bien ce qui aurait pu les pousser à ajouter une telle réflexion.

23Aucun commentateur de Montaigne n'a identifié ce personnage.

24Montaigne écrit: « cinq lots ». Le « lot » valait 4 pintes, et la pinte un peu moins d'un litre. Il est difficile de croire Montaigne sur ce point... On sait qu'il n'est guère regardant quant à la qualité et la vraisemblance de ses « informations » !

25 Marc-Aurèle ou l'Horloge des Princes d'Antonio de Guevara, qui connut un grand succès.

26Les deux phrases précédentes ne figurent que dans l'édition de 1595.

27La source est certainement dans Diogène Laërce, Anacharsis I, 104.

28Le texte manuscrit de Montaigne comporte nettement ici « ordonne ». La correction apportée par les éditeurs de 1595 offre un sens plus satisfaisant.

29Les vins grecs étaient très corsés et très alcoolisés, un peu comme le Porto ou le Madère de nos jours, et on les consommait coupés d'eau.

30Cette histoire serait (selon P. Villey) tirée de la Vie de Lucrèce de l'obscur auteur latin Crinitus.

31Montaigne écrit « secte ». Il s'agit probablement ici des Stoïciens et des Épicuriens dans la phrase qui suit.

32Les commentateurs ne sont pas d'accord sur l'identité de ce personnage : pour Villey, il s'agirait de « Métrodore de Lampsaque, philosophe épicurien ». Mais A. Lanly fait observer fort justement (II, 22, note 69), que « ce Métrodore était disciple d'Anaxagore », et qu'il s'agirait plutôt d'un « autre Métrodore, né à Athènes vers 330 av. J.-C. qui fut disciple et ami d'Épicure » .

33Cette anecdote est tirée de Diogène Laërce, IX, 39.

34Paroles attribuées à saint Laurent ; cf. Prudence, Des Couronnes, Hymne II.

35In Flavius Josèphe, Histoire des Macchabées, VIII.

36Platon éd. Gallimard, Pléiade, Ion §533-534, mais aussi : Sénèque, De la tranquillité de l'âme XVII, p. 691.

37Montaigne prend aussi cela dans Sénèque, De la tranquillité de l'âme XVII , p. 691.

38Allusion au travail des Parques : Clotho filait les jours et les événements de la vie, et Lachésis coupait le fil de celle-ci. Grand ou petit, le « fil » est complet, au sens où il représente une vie entière.

39Ce passage est une sorte de traduction très compliquée de Cicéron De finibus , III, 18, et il est plutôt obscur... J'interprète assez librement ici pour tenter de lui donner un sens cohérent ! Ni la traduction de P. Villey ( II, 351, note 20, ni celle d'A. Lanly II, 27) ne m'ont semblé ici satisfaisantes.

40Le texte de 1595 ne comporte que « punis en l'autre monde ». Pourtant, sur l'« exemplaire de Bordeaux », on lit nettement l'ajout manuscrit : « et en celui cy et».

41Dans le texte de 1595 l'expression est en grec.

42Cf. Livre I, chapitre 14.

43Le geste de tourner le pouce vers le bas signifiait que la mise à mort était souhaitée.

44Après le meurtre de César, Brutus, Cassius, et leurs partisans, durent s'enfuir de Rome, Antoine ayant soulevé le peuple contre eux. Ils se rendirent maîtres de l'Orient. Mais en 42, en Macédoine, Cassius battu à l'aile gauche par les troupes d'Antoine et Octave, se tua sans savoir que Brutus était vainqueur sur l'aile droite. Et Brutus, qui dut se replier le lendemain après une nouvelle bataille, se jeta sur sa propre épée. (D'après A. Lanly II, 30, note 57).

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