Rene Menard - La Vie Privée Des Anciens
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- Название:La Vie Privée Des Anciens
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- Издательство:Paris, Morel
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Fig. 336. — Rhéa (d'après un bas-relief antique).
Le péplos. — Le péplos est une draperie sans couture qui s'ajuste au moyen d'agrafes ou de broches et qui peut être serrée autour du
LA DRAPERIE.
267
corps à l'aide d'une ou deux ceintures. Quelquefois aussi il n'y a pas de ceinture du tout, comme dans la figure 337, où, le péplos étant livré à lui-même et tombant sans interruption du haut en bas, présente une disposition très-aisée à comprendre. C"est une grande pièce d'étoffe qui enveloppe entièrement le corps du côté gauche et dont les deux parties, en se rejoignant sur le côté droit, forment les grands plis qui de l'épaule redescendent jusqu'aux pieds. Des agrafes les relient en différents points. Cette manière de poiter le péplos se voit assez souvent sur les peintures de vases, mais on la trouve beaucoup plus rarement sur les statues et les bas-reliefs, dans lesquels on voit généralement une ou deux ceintures rattachant le vêtement autour du corps. L'usage de la double ceinture est extrêmement ancien, car on la voit représentée sur les monuments de la période arciiaïque. Quand les deux ceintures sont employées, la première a pour mission de fixer le vêtement autour de la taille, et la seconae remédie à la
Flg. 337. Femme portant le péplos.
Flg. 338. — Patron.
trop grande longueur de l'étoffe, qui sans ce secours traînerait souvent
LE VETEMENT.
à terre. Le redoublement de cette étoffe produit à l'aide de ces cordon ces sortes de secondes jupes que l'on voit fréquemment sur les statues antiques.
Fig. 339. Fig. 340.
statuettes d'Heroulanum.
La figure 338 va nous faire comprendre le vêtement de dessus des femmes grecques. Le plan nous montre que sa forme générale est carrée ou plutôt rectangulaire; mais il n'est pas toujours aisé de comprendre comment cette pièce d'étoffe produisait les plis que nous voyons dans les statues. Avant de s'en servir, il fallait la plier d'une manière particulière. — D'abord on pliait par le haut la pièce entière A B C D en ligne E F, ce qui la réduit au parallélogramme E F C D, la ligne A B coïncidant par derrière avec la ligne G H sur le devant. Ensuite on la pliait en deux par le milieu, suivant la ligne I K L et l'on amenait le côté F C à coïncider avec le coté opposé E D, la portion de l'étoffe dont on avait fait un repli restant en dehors, de sorte que le tout se trouvait enfin réduit à [la figure E D L I, qui est double et entièrement fermée d'un côté IK L, tandis qu'elle est ouverte dcl'autreE G D. Alors voici comment on mettait la palln : la personne
LA DRAPERIE.
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qui voulait s'en revêtir séparait les deux côtés, qui avaient été ramenés l'un contre l'autre en E G D, de manière à être exactement au milieu
Flï. 3-11. l'.tf-
Costume (d'après deux statues du musée de Naples).
du carré EDLI dans la figure 1, e rf LN dans la figure 2. Elle attachait alors l'un à l'autre le devant et le derrière de la palla par une broche, au-dessus de l'épaule gauche en N, passant le bras à ^travers l'ouverture marquée N I dans la figure 1 et N i dans la figure 2 (drapée). Une autre broche était ensuite attachée de la même manière sur l'épaule droite, en M comme est en train de le faire la figure 339 et 3/)0, de sorte que ia partie comprise entre M et N fournit une ouverture par le cou et celle entre M E de la figure 1 (M e de la figure 2) un passage
LE VÊTEMENT.
pour le bras droit, analogue à celui qui laissait de l'autre côté passer le bras gauche. Les coins E G et I K de la figure 1, e i de la figure 2, retomberont dans le sens qu'indiquent les lignes ponctuées, et occuperont les points E G 1 K de la figure 2 (drapée). La palla est donc une draperie flottante, que l'on ajuste sur soi en s'en enveloppant.
Les figures 3^1 et 342 montrent un vêtement analogue au précédent, mais la femme porte une ceinture qui se trouve marquée par la partie draperie rabattue en avant, et qu'on devine seulement par les plis qu'elle forme en dessous.
Les figures que nous venons de voir reproduisent des statuettes en bronze, découvertes à Portici au milieu du xvui" siècle. On les avait d'abord appelées canéphores, et depuis on leur a donné le nom de dameuses : quelle que soit l'appellation sous laquelle on les désigne, elles sont extrêmement intéressantes, au point de vue du vêtement, qu'elles montrent plus clairement que la plupart des autres statues antiques.
Le voile. — Les femmes en Grèce ne portaient pas do chapeaux, mais elles avaient souvent un voile nommé calyptra, qu'elles ramenaient sur leur visage quand elles ne voulaient pas être vues. Ce mouvement, qui est prtîsque toujours dirigé par un sentiment de pudeur, est très visible sur la fi^'ure 3Z|3 qui représente Pénélope. Ce voile était généralement d'un tissu transparent et extrêmement léger, lorsqu'il devait, comme d;ms le cas présent, recouvrir entièrement le visage. Mais le plus souvent les femmes, lorsqu'elles sortaient, mettaient simplmnent leiir voile au-dessus de la tète pour se garantir du vent ou du soleil. Nous avons vu déjà que les
femmes ramenaient quelquefois leur manteau sur leur tête. Le voile
s'employait aussi pour cet usage.
Fig. 3J3. — Pénélope (d'après une peinture antique).
III
COSTUMES DE LA GRÈCE
Les vêtements de dessous. Le chiton. — Les robes a dessins. — Les vêtements transparents.
Costumes divers.
Les vêtements de dessous. — Nous avons vu les draperies qui enveloppaient le corps et que la statuaire aimait tant à représenter, à cause des larges plis qu'elle savait en tirer. Ces draperies font partie du costume grec, mais elles forment exclusivement les vêtements de dessus. Ceux de dessous présentent une allure plus modeste, et sont souvent dissimulés en partie par l'ample draperie qui les recouvre. Outre le chiton qui répond à notre chemise, mais qui, dans les représentations a beaucoup plus d'importance, parce qu'il est beaucoup plus apparent, et constitue presque à lui seul le vêtement de l'artisan et du cultivateur, il faudra nous occuper de quelques costumes spéciaux, qu'on ne rencontre que sur les peintures de vases.
Le joli bas-relief que montre la figure 3kk représente une scène dont les antiquaires ont donné deux interprétations très-différentes. On y voit aujourd'hui Orphée se retournant pour voir Eurydice que Mercure amène des enfers; autrefois, on croyait y reconnaître Antiope entre Zéthus et Amphion. Quel que soit le nom qu'on veuille donner aux personnages, ce monument offre pour nous un intérêt tout à fait particulier, parce qu'on y voit les principales parties qui composent le costume des Grecs, tel qu'il est représenté sur la plupart des monuments de la sculpture. Les deux hommes portent le chiton à double ceinture, avec la chlamyde agrafée sur l'épaule droite. L'un des deux est coiffé d'un casque, l'autre porte le chapeau thessalien, rejeté derrière les épaules. La femme est vêtue de la longue robe ionienne, et sa tête est recouverte du voile. Chacune de ces pièces demande une étude particulière.
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