Аристофан - Aristophane; Traduction nouvelle, tome premier
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Fermez-lui la bouche! Donne-moi du foin: je vais l'emballer comme de la poterie, pour qu'il ne se casse pas en route.
Emballe bien, mon cher, cette marchandise destinée à l'étranger, afin qu'il n'aille pas la briser.
J'y veillerai, car elle rend le son grêle d'un objet fêlé par le feu, et désagréable aux dieux.
Que va-t-il en faire?
Un vase utile à tout, une coupe de maux, un mortier à procès, une lanterne pour espionner les comptables, un récipient à brouiller les affaires.
Mais qui oserait se servir d'un vase qui craque de la sorte dans la maison?
Il est solide, mon bon, et il ne cassera jamais, s'il est suspendu par les pieds, la tête en bas.
Le voilà empaqueté comme tu le veux.
Je vais enlever ma gerbe.
O le meilleur des hôtes, aide-le dans le transport, et jette où tu voudras ce sykophante bon à tout.
J'ai eu bien de la peine à empaqueter ce maudit scélérat. Allons, Bœotien, emporte ta poterie.
Viens ici, et baisse ton épaule, Ismènikhos.
Veille à la porter avec précaution. En réalité, tu ne porteras là rien de bon; fais-le toutefois. Tu gagneras à te charger de ce fardeau. Les sykophantes te porteront bonheur.
Dikæopolis!
Qu'y a-t-il? Pourquoi m'appelles-tu?
Pourquoi? Lamakhos te prie de lui céder, moyennant cette drakhme, quelques grives pour la fête des Coupes, et, au prix de trois drakhmes, une anguille du Kopaïs.
Qui est ce Lamakhos avec son anguille?
Le terrible, l'infatigable, qui agite sa Gorgôn et qui remue les trois aigrettes, dont il est ombragé.
Par Zeus! je refuse, me donnât-il son bouclier. Qu'il remue ses aigrettes en mangeant du poisson salé! S'il vient faire du bruit, j'appelle les agoranomes. Pour moi, j'emporte ces provisions, destinées à ma personne. J'entre sur les ailes des grives et des merles.
Tu as vu, oui, tu as vu, ville tout entière, la prudence et l'éminente sagesse de cet homme. Depuis qu'il a conclu une trêve, il peut acheter ce dont il a besoin pour sa maison et ce qui convient à des repas chaudement servis. D'eux-mêmes tous les biens lui arrivent.
Non, jamais je ne recevrai chez moi la Guerre; jamais elle ne me chantera l'air de Harmodios, assise à ma table, parce que c'est un être qui, pris de vin, et faisant ripaille chez ceux qui ont tous les biens, y cause tous les maux, renverse, ruine, détruit, et cela quand on lui a fait nombre d'avances: «Bois, assieds-toi, prends cette coupe de l'amitié,» tandis que lui porte partout le feu sur nos échalas, et répand brutalement le vin de nos vignes.
Chez l'homme que je dis le repas est grandement, libéralement ordonné, et les preuves de sa bonne chère se voient dans les plumes étalées devant sa porte.
O compagne de la belle Kypris et des Grâces aimables, Réconciliation, comme tu as un beau visage! Ai-je pu l'ignorer? Puisse un Amour nous unir, moi et toi, semblable à celui qui est présent, et couronné de fleurs! Crois-tu donc, par hasard, que je suis trop vieux? Mais si je te prends, je crois pouvoir t'offrir trois avantages. Et d'abord je puis aligner un long plant de vignes, puis élever auprès de tendres rejetons de figuier, en troisième lieu, tout vieux que je suis, y marier de jeunes ceps de vigne, et enfin garnir d'oliviers tout le tour de mon champ pour nous oindre d'huile, toi et moi, aux Noumènia.
Écoutez, peuple. A la façon de vos pères, buvez dans les coupes au son de la trompette. Celui qui l'aura vidée le premier recevra une outre faite comme Ktésiphon.
Enfants, femmes, n'avez-vous pas entendu? Que faites-vous? N'entendez-vous pas le Héraut? Faites bouillir, rôtissez, retournez et enlevez ces lièvres prestement; tressez les couronnes… Apporte les broches, pour enfiler les grives.
J'envie ta prudence, mon cher homme, et encore plus ta bonne chère actuelle.
Que sera-ce, quand vous verrez rôtir ces grives?
Je crois que tu dis juste encore sur ce point.
Attise le feu.
Entends-tu avec quelle habileté culinaire, avec quelle science et avec quelle entente de gourmet il se fait servir?
Malheureux que je suis!
Par Hèraklès! quel est cet homme?
Un homme infortuné.
Suis ton chemin devant toi.
O cher ami, puisque la trêve est pour toi seul, cède-moi un peu de pain, ne fût-ce que de cinq ans.
Que t'est-il arrivé?
Je suis ruiné, j'ai perdu deux bœufs.
Comment?
Les Bœotiens les ont pris à Phyla.
O trois fois malheureux! Et tu es encore vêtu de blanc?
Ces deux bœufs, par Zeus! me nourrissaient de leur fumier.
Que te faut-il donc, maintenant?
J'ai perdu la vue à pleurer mes bœufs. Mais si tu prends intérêt à Derkélès de Phyla, frotte-moi vite les deux yeux avec de la poix.
Mais, malheureux, je ne suis pas en situation de rendre service à tout le monde.
Allons, je t'en conjure, peut-être retrouverais-je mes bœufs.
Impossible. Va-t'en pleurer auprès des disciples de Pittalos.
Rien pour moi qu'une seule goutte de poix, verse-la dans ce chalumeau.
Pas un fétu! Va-t'en gémir ailleurs!
Infortuné que je suis; plus de bœufs de labour!
Cet homme, avec son traité, s'est fait une vie douce, et il ne semble vouloir partager avec personne.
Toi, arrose les tripes avec du miel; fais griller les sépias.
Entends-tu ses éclats de voix?
Grillez les anguilles!
Tu vas nous faire mourir, moi de faim, et les voisins de fumée et de ta voix, en criant de la sorte.
Rôtissez cela, et que la couleur en soit dorée!
Dikæopolis! Dikæopolis!
Quel est cet homme?
Un jeune marié t'envoie ces viandes de son repas de noces.
Il fait bien, quel qu'il soit.
Il te prie, en échange de ces viandes, pour ne pas aller à la guerre et pour rester à caresser sa femme, de lui verser dans cette fiole un verre de poix.
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