Zhongni Confucius - Les Quatre Livres de Confucius

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Bien que Confucius n'ait jamais développé sa pensée de façon théorique, on peut dessiner à grands traits ce qu'étaient ses principales préoccupations et les solutions qu'il préconisait. Partant du constat qu'il n'est pas possible de vivre avec les oiseaux et les bêtes sauvages, et qu'il faut donc vivre en bonne société avec ses semblables, Confucius tisse un réseau de valeurs dont le but est l'harmonie des relations humaines. En son temps, la Chine était divisée en royaumes indépendants et belliqueux, les luttes pour l'hégémonie rendaient la situation instable et l'ancienne dynastie Zhou avait perdu le rôle unificateur et pacificateur que lui conférait le mandat du Ciel. Confucius voulait donc restaurer ce mandat du Ciel qui conférait le pouvoir et l'efficacité à l'empereur vertueux. Cependant, bien qu'il affirme ne rien inventer et se contenter de transmettre la sagesse ancienne, Confucius a interprété les anciennes institutions selon ses aspirations, il a semé les graines de ce que certains auteurs appellent l'" humanisme chinois ".

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[15] Lun-yu , chap. I, §1.

[16] Lun-yu , chap. V, §19.

[17] Id. , chap. IX, §.

[18] Id. , chap. XV, §30 et 31.

[19] Lun-yu , chap. VI, §9.

[20] Id. , chap. XVII, §22.

[21] Lun-yu , chap. VI, §23.

[22] Meng-tseu , chap. III, pag. 249 de notre traduction. Ce témoignage est corroboré dans Meng-tseu par celui de trois des plus illustres disciples du philosophe, que Meng-tseu rapporte au même endroit.

[23] Description de la Chine , t. I, pag. 187.

[24] Vie de Meng-tseu . Nouv. Mélanges asiatiques, t. II, pag. 119.

[25] Nous renvoyons, pour les détails biographiques que l'on pourrait désirer sur KHOUNG-TSEU et MENG-TSEU, à notre Description de la Chine déjà citée, t. 1, pag. 120 et suiv., où l'on trouvera aussi le portrait de ces deux philosophes.

[26] La traduction que nous publions des Quatre Livres classiques de la Chine est la première traduction française qui ait été faite sur le texte chinois, excepté toutefois les deux premiers livres: le Ta-hio ou la Grande Étude , et le Tchoung-young ou l' Invariabilité dans le milieu , qui avalent déjà été traduits en français par quelques missionnaires ( Mémoires sur les Chinois , t. I, p. 436-481) et par M. A. Rémusat ( Notices et Extraits des manuscrits de la Bibliothèque du roi , t. X, pag. 269 et suiv.). La traduction des missionnaires n'est qu'une longue paraphrase enthousiaste dans laquelle on reconnaît à peine le texte original. Celle du Tchoung-young de M. Rémusat, qui est accompagnée du texte chinois et d'une version latine, est de beaucoup préférable. La traduction française de l'abbé Pluquet, publiée en 1784, sous le titre de: Les Livres classiques de l'empire de la Chine , a été faite sur la traduction latine du P. Noël, publiée à Prague, en 1711, sous ce titre: Sinensis imperii libri classici sex . Nous avons cru inutile de la consulter pour faire notre propre traduction, attendu que nous nous sommes constamment efforcé de nous appuyer uniquement sur le texte et les commentaires chinois. (Voyez, pour plus de détails, les Livres sacrés de l'Orient , p. XXVIII.)

LES SSE CHOU,

OU

LES QUATRE LIVRES DE PHILOSOPHIE

MORALE ET POLITIQUE

DE LA CHINE.

LE TA HIO,

OU

LA GRANDE ÉTUDE,

OUVRAGE DE

KHOUNG-FOU-TSEU (CONFUCIUS)

ET DE SON DISCIPLE THSÊNG-TSEU.

PREMIER LIVRE CLASSIQUE.

PRÉFACE

DU COMMENTAIRE SUR LE TA HIO,

PAR LE DOCTEUR TCHOU-HI.

Le livre de la Grande Étude est cette Grande Étude que dans l'antiquité on enseignait aux hommes, et qu'on leur proposait pour règle de conduite; or, les hommes tirant du ciel leur origine, il en résulte qu'il n'en est aucun qui n'ait été doué par lui des sentiments de charité ou d'humanité, de justice, de convenance et de sagesse. Cependant, quoique tous les hommes possèdent certaines dispositions naturelles et constitutives qu'ils ont reçues en naissant, il en est quelques-uns qui n'ont pas le pouvoir ou la faculté de les cultiver et de les bien diriger. C'est pourquoi ils ne peuvent pas tous avoir en eux les moyens de connaître les dispositions existantes de leur propre nature, et ceux de leur donner leur complet développement. Il en est qui, possédant une grande perspicacité, une intelligence pénétrante, une connaissance intuitive, une sagesse profonde, peuvent développer toutes les facultés de leur nature, et ils se distinguent au milieu de la foule qui les environne; alors le ciel leur a certainement donné le mandat d'être les chefs et les instituteurs des générations infinies; il les a chargés de la mission de les gouverner et de les instruire, afin de les faire retourner à la pureté primitive de leur nature.

Voilà comment [les anciens empereurs] Fou-hi, Chin-noung, Hoang-ti, Yao et Chun occupèrent successivement les plus hautes dignités que confère le ciel; comment les ministres d'État furent attentifs à suivre et à propager leurs instructions, et d'où les magistrats qui président aux lois civiles et à la musique dérivèrent leurs enseignements.

Après l'extinction des trois premières dynasties, les institutions qu'elles avaient fondées s'étendirent graduellement. Ainsi, il arriva par la suite que dans les palais des rois, comme dans les grandes villes et même jusque dans les plus petits villages, il n'y avait aucun lieu où l'on ne se livrât à l'étude. Dès que les jeunes gens avaient atteint l'âge de huit ans, qu'ils fussent les fils des rois, des princes ou de la foule du peuple, ils entraient tous à la Petite École [1], et là on leur enseignait à arroser, à balayer, à répondre promptement et avec soumission à ceux qui les appelaient ou les interrogeaient; à entrer et à sortir selon les règles de la bienséance; à recevoir les hôtes avec politesse et à les reconduire de même. On leur enseignait aussi les usages du monde et des cérémonies, la musique, l'art de lancer des flèches, de diriger des chars, ainsi que celui d'écrire et de compter.

Lorsqu'ils avaient atteint l'âge de quinze ans, alors, depuis l'héritier présomptif de la dignité impériale et tous les autres fils de l'empereur, jusqu'aux fils des princes, des premiers ministres, des gouverneurs de provinces, des lettrés ou docteurs de l'empire promus à des dignités, ainsi que tous ceux d'entre les enfants du peuple qui brillaient par des talents supérieurs, entraient à la Grande École [2], et on leur enseignait les moyens de pénétrer et d'approfondir les principes des choses, de rectifier les mouvements de leur cœur, de se corriger, de se perfectionner eux-mêmes, et de gouverner les hommes. Voilà comment les doctrines que l'on enseignait dans les collèges étaient divisées en grandes et petites . Par cette division et cette composition des études, leur propagation s'étendit au loin, et le mode d'enseigner se maintint dans les limites précises de cet ordre de subordination; c'est ce qui en fit un véritable enseignement. En outre, toute la base de cette institution résidait dans la personne du prince, qui en pratiquait tous les devoirs. On ne demandait aucun salaire aux enfants du peuple, et on n'exigeait rien d'eux que ce dont ils avaient besoin pour vivre journellement. C'est pourquoi, dans ces âges passés, il n'y avait aucun homme qui ne se livrât à l'étude. Ceux qui étudiaient ainsi se gardaient bien de ne pas s'appliquer à connaître les dispositions naturelles que chacun d'eux possédait réellement, la conduite qu'il devait suivre dans les fonctions qu'il avait à remplir; et chacun d'eux faisait ainsi tous ses efforts, épuisait toutes ses facultés, pour atteindre à sa véritable destination. Voilà comment il est arrivé que, dans les temps florissants de la haute antiquité, le gouvernement a été si glorieux dans ceux qui occupaient les emplois élevés, les mœurs si belles, si pures dans les inférieurs, et pourquoi il a été impossible aux siècles qui leur ont succédé d'atteindre à ce haut degré de perfection.

Sur le déclin de la dynastie des Tchéou, lorsqu'il ne paraissait plus de souverains doués de sainteté et de vertu, les règlements des grandes et petites Écoles n'étaient plus observés; les saines doctrines étaient dédaignées et foulées aux pieds; les mœurs publiques tombaient en dissolution. Ce fut à cette époque de dépravation générale qu'apparut avec éclat la sainteté de KHOUNG-TSEU; mais il ne put alors obtenir des princes qu'ils le plaçassent dans les fonctions élevées de ministre ou instituteur des hommes, pour leur faire observer ses règlements et pratiquer sa doctrine. Dans ces circonstances, il recueillit dans la solitude les lois et institutions des anciens rois, les étudia soigneusement et les transmit [à ses disciples] pour éclairer les siècles à venir. Les chapitres intitulés Khio-li, Chao-i, Neï-tse [3], concernent les devoirs des élèves, et appartiennent véritablement à la Petite Étude , dont ils sont comme des ruisseaux détachés ou des appendices; mais parce que les instructions concernant la Petite Étude [ou l' Étude propre aux enfants] avaient été complètement développées dans les ouvrages ci-dessus, le livre qui nous occupe a été destiné à exposer et rendre manifeste à tous les lois claires, évidentes, de la Grande Étude [ou l' Étude propre aux esprits mûrs]. En dehors du livre et comme frontispice, sont posés les grands principes qui doivent servir de base a ces enseignements, et dans le livre, ces mêmes principes sont expliqués et développés en paragraphes séparés. Mais, quoique dans une multitude de trois mille disciples, il n'y en ait eu aucun qui n'eût souvent entendu les enseignements du maître, cependant le contenu de ce livre fut transmis à la postérité par les seuls disciples de Thsêng-tseu , qui en avait reçu lui-même les maximes de son maître KHOUNG-TSEU, et qui, dans une exposition concise, en avait expliqué et développé le sens.

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