Alber Robida - Le vingtième siècle - la vie électrique
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de la rivière. Il offrit à déjeuner à Estelle au campement des chimistes, un vrai déjeuner militaire, où les convives n’avaient pour sièges que des caisses de torpilles et d’explosifs divers.
Dans l’après-midi, voyant qu’il pouvait disposer d’un peu de temps après une revue du matériel, il prit une aeronef et mena ses amis voir l’engagement ; mais, comme on ne put approcher trop près de peur de tomber dans les mains de l’ennemi, on ne vit pas grand’chose ; à peine, sur l’immense terrain découvert, quelques groupes d’individus minuscules filant le long des haies et, çà et là, quelques flocons de fumée aussitôt dissipée dans l’air.
Comme on ne soupçonnait nul péril, Georges alla diner à l’hôtel où il avait logé ses amis ; il passa gaiement la soirée avec eux, puis s’en fut rejoindre ses hommes à leur baraquement. Mais la nuit devait être troublée: entre trois et quatre heures du matin, Chàteaulin endormi fut réveillé en sursaut par de violentes détonations. C’était l’ennemi qui, ayant réussi dans son mouvement tournant, essayait de surprendre la ville; heureusement, les grand'gardes venaient de l’arrêter à 8 kilomètres. On avait le temps de préparer la défense.
Et, sous les yeux des voyageurs de l'hôtel éveillés par la canonnade.

sous les yeux d’Estelle, souriant à son fiancé qui passe à la tête de sa batterie. devant la pauvre Grettly, qui croit que c’est pour de vrai, les chimistes, visières baissées, avec les tubes d’ordonnance communiquant à leurs réservoirs portatifs d’oxygène, établissent des batteries sur le monticule, à l'abri d’un rideau d’arbres. En vingt minutes, tous les appareils sont montés, les tubes et tuyaux vissés. Georges, monté sur son hélicoptère, est allé reconnaître l'ennemi et, grâce à ses indications reportées sur la carte et soigneusement vérifiées, les appareils sont pointés sur diverses directions.
Pendant que les aéronefs de réserve se portent en avant, les sections de

torpédistes ont semé de torpilles les points menacés, et les chimistes commencent à tirer. La situation reste bonne; l’ennemi, se heurtant à tous les obstacles qu’on sème sur son chemin, fait d’abord peu de progrès; mais, vers les sept heures, il réussit, en profitant d’un pli de terrain, à s’avancer de quelques kilomètres en enveloppant certains postes aventurés.
Pour gagner du temps et laisser aux secours le temps d'arriver, Georges, qui a le commandement en sa qualité d'officier le plus ancien en grade, fait couvrir tout le périmètre de la défense de boites à fumée. Ces boites, éclatant à 100 mètres en l’air, répandent des flots de fumée noirâtre et nauséabonde, qu’en cas de guerre les chimistes eussent rendue absolument asphyxiante. Chàteaulin, où l’atmosphère reste pure, est enveloppé d’un cercle de brouillard opaque qui le rend invisible à l’ennemi déconcerté.
Les batteries chimiques de la défense continuent à tirer; puis, à l’abri de la fumée, des torpédistes se glissent jusqu’à l’ennemi, et enfin le bataillon médical, avec sa batterie particulière, prend l’offensive à son tour. Il se porte en avant et envoie sur les points repérés quelques boites inoffensives, simplement nauséabondes aujourd’hui et provoquant des toux désagréables, lesquelles boîtes, dans une guerre, eussent porté sur les points de concentration de l'ennemi, sur les villages occupés, les miasmes les plus dangereux.
Chàteaulin est sauvé ; pendant que l’ennemi tâtonne dans le brouillard, se heurte aux torpilles ou tourne les points supposés rendus infranchissables par les miasmes, les secours arrivent.
Nous n’avons pas l'intention de suivre pas à pas ces manoeuvres si intéressantes; Georges Lorris, qui avait eu l’idée du bouclier de fumée, fut très chaudement félicité le lendemain par le général, puis, comme sa batterie avait soutenu presque tout l’effort du combat pendant un jour et une nuit, et qu’un certain nombre d’hommes, n’ayant pas eu le temps de renouveler leur provision d’oxygène, étaient indisposés par suite de la manipulation des produits, elle fut, pendant tout le reste des opérations, mise en réserve, ce qui permit à Georges de consacrer un peu plus de temps à sa fiancée.
L’escadre aérienne, après avoir attaqué et dispersé au-dessus de Rennes les aéronefs ennemies, revenait avec des aéronefs prisonnières, apportant son concours aux forces terriennes. Le corps de défense, grâce aux savantes combinaisons du général, reconquit vite le terrain perdu et, dès le troisième jour des manœuvres, la situation de l’ennemi devint assez critique. Toutes les journées étaient employces en combats ou en conférences parle général lui-même ou par quelques ingénieurs de l’état-major. Parfois, au milieu d'une bataille, lorsqu’une circonstance se présentait qui pouvait servir à l’instruction des officiers, un signal arrêtait brusquement les deux armées, les clouant sur leurs positions respectives, et, de chaque côté, les officiers réunis écoutaient la conférence du général, émettaient des opinions ou proposaient des plans. Puis, sur un signal, l’action reprenait au point où 0n l’avait arrêtée.
Bientôt, l’armée ennemie, malgré ses efforts, se vit rejetée dans un

canton montagneux et acculée à la mer. Une partie de son escadre aérienne avait été faite prisonnière, le reste tenta vainement d’enlever une partie du corps menacé, pour le porter nuitamment sur une meilleure position; mais les aéronefs veillaient, leurs jets de lumière électrique fouillant le ciel firent découvrir la tentative.
L’heure suprême avait sonné. Après un travail de toute une nuit pour le placement des batteries, à l’aube du sixième jour les chimistes et le corps médical offensif couvrirent la région occupée par l’ennemi de boites à fumée et d’obus à miasmes. L’ennemi riposta aussi vigoureusement qu’il put; mais ses boites, sur le périmètre très étendu de l’attaque, ne produisaient pas grand effet; il fut bientôt évident que, dans une action véritable, l’ennemi, noyé dans les gaz asphyxiants des chimistes et sous les vapeurs délétères à eff’et rapide du corps médical offensif, eût été bien vite et définitivement mis hors de combat. Les deux corps d’année, attaque et défense, réunis le soir du septième jour à Chàteaulin, furent passés en revue par les généraux, sous les flots de lumière électrique, félicités pour

leurs belles opérations, et les réservistes, immédiatement congédiés, regagnèrent leurs foyers.
Seuls restèrent les officiers ayant à passer des examens pourl'obtention d'un grade supérieur ou à soutenir des thèses pour le doctorat ès sciences militaires. Le général se montra charmant pour Georges Lorris.
«Capitaine, lui dit-il, je serais heureux de vous proposer pour le grade de commandant, niais il vous faut le doctoral auparavant; donc, si vos occupations au laboratoire de monsieur votre père vous en laissent le temps, travaillez, piochez ferme et, aux examens de printemps, vous pourrez nous présenter avec toutes les chances...
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