T. Brass - Le Dieu-Baleine

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Dans un avenir lointain, des trillions de Néchiffes à quatre orteils habitent des fourmilières souterraines où ils mènent une existence programmée d’hommes-insectes. Les Agrimachines cultivent pour eux les champs et ont éliminé toute forme de vie inutile. Les ratisseurs de plancton ont fait de même à la surface des océans jusqu’à ce que les mers elles aussi deviennent stériles.
Mais les humains sauvages et les renégats des cités s’efforcent en toute innocence de maintenir les anciennes valeurs de l’humanité. Avec d’étranges alliés comme le
, un navire robot qui a la nostalgie des grandes pêches d’antan… Ou comme Trilobite, le petit cyber sentimental.
Dans la tradition du
d’Aldous Huxley et de
de Frank Herbert, voici la suite d’
, et un nouveau roman tout aussi étrange et inquiétant que le premier sur un avenir écologique possible de l’humanité, écrit par un biologiste qui est aussi un formidable conteur.

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« Ils abîment mon bateau ! » s’écria le géant. « Je vais les tuer. »

— « Une minute, » dit Larry. Les rouleaux de fils-nerfs étaient assez explicites. « Ils s’en prennent au cerveau du bateau. Vite, activons le contrôle manuel. »

Les tôles du pont se fendirent sous les mâchoires puissantes du Coupoirmache. « Ça y est ! » hurla ARNOLD Dix-Sept. Il précéda les techs dans le réduit obscur. « Descendez les nerfs d’asservissement ; nous allons inciser la moelle épinière à cet endroit précis. » Le Coupoirmache fut amené dans la cavité.

Le Batteur s’impatientait. Cela prenait plus de temps qu’il ne l’avait escompté. « Qu’est-ce qui vous retarde ? »

L’une des grues sur le pont de Rorqual eut un mouvement convulsif. Sa flèche se dirigea lentement vers le groupe.

ARNOLD Dix-Sept passa la tête par l’orifice. « Donnez-moi la trousse à outils de gros calibre. Nous avons atteint le canal, mais nous nous heurtons à d’épaisses couches de rouille. Nous aurons fini dans une minute. »

— « Faites vite ! »

Les chasseurs faisaient cercle, attentifs à l’opération. La flèche de la grue D-1 jetait une ombre menaçante sur l’attroupement.

« Attention, la grue ! »

Pareille à la pince d’une mante religieuse affamée, la flèche cueillit un chasseur dans la foule et le déchiqueta dans l’air, aspergeant les Néchiffes abasourdis de sang rosâtre. Une grêle d’organes et de morceaux de chair les dispersa.

« Rorqual a tué un humain ? ! » s’exclama le Batteur.

— « Cette grue est commandée à distance, » expliqua le C.U. « Dépêchez-vous de finir l’épissure. »

— « C’est fait, mais il ne réagit pas aux ordres, » dit ARNOLD Dix-Sept. « Je vais essayer un traitement de choc pour lui laver le cerveau. Une petite amnésie le rendra peut-être plus obéissant. »

ARNOLD Vingt dévala le pont en hurlant : « Il y a un tueur qui commande la grue. Essayons d’aveugler le navire en crevant les optiques. »

Les Chasseurs décochèrent des flèches aux senseurs. Ils se servirent des couteaux à trophée pour ceux qui étaient à portée de la main. Rorqual gémissait de douleur. Les ponts tremblaient.

« Écartez-vous ! » braillèrent les hauts-parleurs. « Nous allons court-circuiter la moelle épinière. » Le câble auxiliaire sauta ; les isolants grésillèrent lorsque la violente décharge électrique passa entre les deux navires.

ARNOLD Dix-Sept sortit de la salle des commandes. « Les commandes manuelles ne fonctionnent pas. Il ne répond pas. Aucune partie du système central ne fonctionne. Rien dans sa neuroanatomie n’est normal ! »

Larry chassa d’une bourrade un ARNOLD Inférieur qui’s’approchait d’un optique vulnérable. Il entendit les ordres donnés aux chasseurs d’investir les escaliers des cabines. « Ils arrivent. Tu vas enfin pouvoir te battre, ARNOLD. »

— « Enfin ! » Il s’empara de sa hache.

— « Je te suivrai d’ici, en me servant des senseurs et des commandes motrices. Les portes s’ouvriront sur mon ordre. Regarde, je viens de prendre au piège un groupe de chasseurs dans la coquerie. Et il y en a d’autres dans la remise. »

Les portes et les panneaux s’ouvraient et se refermaient à la volée, divisant les attaquants. ARNOLD se faufila dans la coursive, attentif aux murmures de Larry.

« Il y en a deux dans la prochaine cabine, des chasseurs à la peau tendre. Quand j’ouvrirai le panneau, l’un se trouvera à un mètre sur ta gauche. L’autre est derrière la deuxième rangée de couchettes, en train de fouiller dans un coffre. Son arc est sur un lit. Prépare-toi. »

Larry attendit que le bras du géant soit levé. Un sourire traversa son visage anguleux. Il actionna la porte et la hache de ARNOLD se planta dans le dos du chasseur le plus proche, ouvrant la combinaison isolante et le thorax. L’autre chasseur tendit la main vers son arc, mais la corde était prise dans une couverture. Deux pas, et la lame se leva avec rapidité, faisant voler les dents et les tissus du sinus.

ARNOLD Vingt s’éloigna en boitillant d’un grappin ensanglanté et rampa sous une grue arrière, inerte. Le senseur de la poupe cliqueta et se riva sur lui. Il attaqua, le couteau brandi. La grue arrière le frappa, d’un coup maladroit qui le fit culbuter sur les tôles du pont. Quand il essaya de se relever, sa hanche gauche produisit des craquements. La grue endormie l’attrapa et le fit voler dans les eaux turbulentes et écumeuses qui entouraient les deux navires adverses.

ARNOLD Dix-Sept leva les mains. « Nous n’y arriverons pas. Avec ses grues et ses pattes d’ancre, il peut nous tenir à distance jusqu’à l’année prochaine. Les rares hommes qui sont revenus des escaliers de cabine ont dit qu’il y avait des câbles générateurs et neuraux tout le long des coursives. Nous ne parviendrons jamais à neutraliser tout ce réseau. Nous n’avons pas le temps d’étudier sa structure. »

— « Au diable ! Tuez-le ! » dit le Batteur. « Posez une charge dans le poste de commandes et détruisez le cerveau antérieur. Cela devrait paralyser les organes moteurs. »

Le premier sapeur-mineur fut intercepté sur la passerelle. Sa sacoche meurtrière tomba à la mer, sans causer le moindre mal. Un tourbillon d’écume s’éleva dans le sillage du bateau. La secousse sonique renseigna Rorqual sur la force de la charge : un dixième de closson.

« Ces sacoches ne s’amorcent qu’une fois hors de leur bateau, » avertit Rorqual. « Arrêtez-les avant qu’elles atteignent mon cerveau. »

Larry tendit des filets verticaux sur le pont ennemi, et le sapeur suivant fut balayé à la mer. ARNOLD souleva un panneau et lança dans les jambes d’un mineur une lourde chaîne qui lui rompit les os. L’explosion réduisit le Néchiffe à quelques éclaboussures autour d’un trou calciné dans le pontage. Les oreilles d’ARNOLD tintèrent. Il n’entendait plus les flèches qui frappaient le panneau qui l’abritait.

Houuuu ! Houuu !

« Écoutez-moi ! » hurla Larry. « Je m’adresse à tout l’équipage. Faites attention aux sacoches. Elles sont munies d’un dispositif à retardement et explosent plusieurs minutes après avoir quitté le bateau ennemi. Si vous en trouvez une, jetez-la par-dessus bord. Je veux des hommes devant chaque panneau. »

Larry referma par commande manuelle tous les pores de Rorqual en déclenchant la mise en place du blindage-tempête. Trois sapeurs s’élancèrent vers la porte de la cabine. Ils posèrent les charges contre la paroi extérieure. En manœuvrant la grue G-2, Larry en balança deux à la mer. Le troisième s’enfuit, après avoir réussi à entrebâiller la porte. Un quatrième sapeur se rua à l’intérieur, là où la grue ne pouvait pas l’atteindre.

« Bon sang ! » hurla Larry. « Des hommes au poste de commandes ! »

Trois autres mineurs arrivèrent comme des flèches du bateau de la fourmilière. La gruo G-3 gifla les passerelles. Une des charges tomba entre les navires, les bosselant au niveau de la ligne de flottaison.

ARNOLD apparut devant la porte endommagée de la cabine ; il portait une sacoche et sa hache sanglante. Il lança l’explosif sur le navire ennemi, ce qui eut pour effet de disséminer la foule rassemblée sur les ponts.

« Rorqual ! Prends tes autres grues pour nous libérer de ce cocon, moi j’utiliserai la G-3 et la G-2. »

Tandis que Larry lançait ses grues comme des fléaux contre le navire ennemi, les six autres machines entreprirent d’arracher les grappins. Quatre matelots à l’air apeuré apparurent sur le pont arrière et se mirent à cisailler les câbles en macramé. La G-3 fit dégringoler des archers ennemis du pont avant. Une équipe d’Électrotechs intercepta un sapeur et désarma l’engin explosif.

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