Isaac Asimov - La fin de l'éternité

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La fin de l'éternité: краткое содержание, описание и аннотация

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* Depuis que les Technocrates de l'Eternité envoient leurs délégués dans l'avenir et dans le passé, ils croient que la Terre va enfin
.
* Mais ils ignorent qu'un jeune
s'est épris d'une ravissante
et que l'amour peut saboter tous les principes de l'Eternité.
Avec cette extraordinaire aventure de l'homme dans le temps et dans l'Eternité, Asimov nous prouve une nouvelle fois qu'il est bien le maître de la science-fiction.

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— Pour une raison évidente : l’amélioration de l’humanité répondit Harlan.

— Oui, bien sûr. En temps ordinaire, je pense de même. Mais je parle de mon cauchemar. Qu’en serait-il s’il y avait une autre raison, une raison non exprimée, une raison inconsciente. Un homme qui peut voyager aussi loin qu’il le veut dans l’avenir peut rencontrer des hommes aussi en avance sur lui que lui l’est par rapport à un singe. Pourquoi pas ?

— Peut-être, mais les hommes sont des hommes…

— … même au 70000 e siècle. Oui, je sais. Est-ce que nos Changements de Réalité ont eu quelque chose à voir avec cela ? Nous avons engendré l’inhabituel. Même l’époque d’origine de Sennor, avec ses créatures sans cheveux, est continuellement en question et c’est pourtant assez anodin. Peut-être qu’en toute honnêteté, en toute sincérité, nous avons empêché l’évolution de l’Humanité parce que nous ne désirons pas rencontrer les surhommes. »

Une fois de plus, l’étincelle n’avait pas jailli. Harlan dit : « À présent, c’est fait. Quelle importance ? »

« Mais alors si le surhomme existe tout de même, plus loin dans l’avenir que nous ne pouvons atteindre ? Notre contrôle ne s’étend que jusqu’au 70000 e. Au-delà se trouvent les Siècles Cachés ! Pourquoi sont-ils cachés ? Parce que l’homme évolué ne désire pas traiter avec nous et nous interdit son temps ? Pourquoi leur permettons-nous de rester cachés ? Parce que nous ne désirons pas traiter avec eux et qu’ayant échoué lors de notre première tentative pour entrer en contact, nous refusons même d’en faire de nouvelles. Je ne dis pas que ce soit notre raison consciente, mais consciente ou inconsciente, c’est une raison.

— Admettons tout cela, dit Harlan d’un ton maussade. Ils sont hors de notre portée et nous sommes hors de la leur. Vivons et laissons vivre. »

Twissell parut frappé par cette formule. « Vivons et laissons vivre. Mais nous ne le faisons pas. Nous introduisons des Changements. Les Changements s’étendent seulement à travers quelques siècles avant que l’inertie temporelle n’en fasse disparaître les effets. Vous vous souvenez que Sennor a soulevé cette question au petit déjeuner comme l’un des problèmes irrésolus du Temps. Ce qu’il aurait pu dire, c’est que tout cela est une affaire de statistique. Quelques Changements affectent plus de siècles que d’autres. Théoriquement, n’importe quel nombre de siècles peut être affecté par le Changement convenable ; cent siècles, mille, cent mille. L’homme évolué des Siècles Cachés peut savoir cela. Supposez qu’il soit troublé par la possibilité qu’un jour un Changement puisse l’atteindre directement jusqu’au 200000 e siècle.

— Il est inutile de s’inquiéter à propos de telles choses », dit Harlan avec l’air d’un homme qui avait de bien plus grands soucis.

« Mais supposez, continua Twissell en un murmure, qu’ils soient restés relativement calmes tant que nous avons laissé vides les Sections des Siècles Cachés. Cela signifiait que nous ne les agressions pas. Supposez que cet armistice, ou comme vous voudrez l’appeler, ait été rompu et que quelqu’un soit apparu comme ayant établi une résidence permanente au-delà du 70000 e. Supposez qu’ils aient pensé qu’il s’agissait peut-être du signe avant-coureur d’une invasion d’envergure ? Ils peuvent nous interdire leur Temps, donc sur ce point leur science est en avance sur la nôtre. Imaginez qu’en outre ils puissent faire ce qui nous semble impossible et établir une barrière en travers des puits de projection, nous coupant d’eux… »

Pour le coup, Harlan se dressa, glacé d’horreur. « Ils ont Noÿs ?

— Je ne sais pas. C’est de la spéculation. Peut-être n’y a-t-il pas de barrière. Peut-être y avait-il quelque chose qui n’allait pas dans votre cab…

— Il y avait une barrière ! hurla Harlan. Quelle autre explication y a-t-il ? Pourquoi ne m’avez-vous pas dit cela avant ?

— Je n’y croyais pas, gémit Twissell. Je n’y crois toujours pas. Je n’aurais pas dû dire un mot de toutes ces élucubrations. Mes propres peurs – la question de Cooper – tout. Mais attendez seulement quelques minutes. »

Il désigna le temporomètre. La jauge indiquait qu’ils étaient entre le 95000 eet le 96000 e siècle.

La main sur les commandes, Twissell ralentit l’allure. Le 99000 eétait dépassé. Les mouvements de la jauge s’arrêtèrent. On pouvait lire les siècles un par un.

99726… 99727… 99728…

« Qu’allons-nous faire ? » murmura Harlan.

Twissell secoua la tête en un geste qui en disait long et qu’exprimait à la fois la patience et l’espoir, mais peut-être aussi l’impuissance.

99851… 99852… 99853…

Harlan se raidit dans l’attente du choc contre la barrière et pensa avec désespoir : « Est-ce que préserver l’Éternité serait le seul moyen de trouver le temps de résister aux créatures des Siècles Cachés ? Comment récupérer Noÿs autrement ? Il faut retourner en vitesse, en vitesse, jusqu’au 575 eet travailler avec acharnement pour… »

99938… 99939… 99940…

Harlan retint sa respiration. Twissell ralentit encore la cabine, la laissa ramper. Elle répondit parfaitement aux commandes.

99984… 99985… 99986…

« Allez, allez, allez », dit Harlan dans un souffle sans se rendre compte s’il avait émis le moindre son.

99998… 99999… 100000… 100001… 100002…

Les chiffres augmentaient et les deux hommes les regardaient continuer à augmenter dans un silence paralysé.

Puis Twissell cria : « Il n’y a pas de barrière ! »

Et Harlan répondit : « Il y en avait une ! » Puis, avec angoisse : « Peut-être qu’ils la tiennent et n’ont plus besoin de barrière. »

111394 e !

Harlan bondit hors de la cabine et éleva la voix. « Noÿs ! Noÿs ! » Les échos rebondirent sur les murs de la Section déserte en syncopes sonores.

Twissell, sortant plus calmement, appela le jeune homme : « Attendez, Harlan… »

Ce fut inutile. Harlan, courant comme un fou, se précipitait à travers les couloirs vers cette portion de la Section dont ils avaient fait une sorte de maison.

Il pensa vaguement à la possibilité de rencontrer un des « hommes évolués » de Twissell et, l’espace d’un instant, il eut un frisson. Mais cette impression fut bientôt balayée par son urgent besoin de trouver Noÿs.

« Noÿs ! »

Et tout à coup, si vite qu’elle fut dans ses bras avant qu’il soit sûr de l’avoir seulement vue, elle était là avec lui et ses bras l’entouraient et le serraient et sa joue était contre son épaule et sa chevelure sombre était douce contre son menton.

« Andrew ? » dit-elle, la voix assourdie par la pression de son corps. « Où étiez-vous ? Cela a duré des jours et je commençais à avoir peur. »

Harlan la tint à bout de bras, la fixant avec une sorte de solennité affamée. « Est-ce que vous allez bien ?

— Je vais très bien. Je pensais que quelque chose avait pu vous arriver. Je pensais… »

Elle s’interrompit, les yeux soudain emplis de terreur et haleta : « Andrew ! »

Harlan tourna vivement sur lui-même.

Ce n’était que Twissell, tout essoufflé.

Noÿs avait dû reprendre confiance en voyant l’expression d’Harlan. Elle dit d’un ton plus calme : « Le connaissez-vous, Andrew ? Tout va bien ? »

Il répondit : « Tout va bien. C’est mon supérieur, le Premier Calculateur Laban Twissell. Il a entendu parler de vous.

— Un Premier Calculateur ? » Noÿs s’écarta.

Twissell avança lentement. « Je veux vous aider, mon petit.

Je veux vous aider tous deux. Le Technicien a ma promesse, si seulement il voulait y croire.

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