Isaac Asimov - La fin de l'éternité

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La fin de l'éternité: краткое содержание, описание и аннотация

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* Depuis que les Technocrates de l'Eternité envoient leurs délégués dans l'avenir et dans le passé, ils croient que la Terre va enfin
.
* Mais ils ignorent qu'un jeune
s'est épris d'une ravissante
et que l'amour peut saboter tous les principes de l'Eternité.
Avec cette extraordinaire aventure de l'homme dans le temps et dans l'Eternité, Asimov nous prouve une nouvelle fois qu'il est bien le maître de la science-fiction.

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— Je voudrais bien le savoir. »

Twissell examina le bout allumé de sa cigarette comme s’il y cherchait l’inspiration. « Il ne peut rien dire directement. Il ne peut dire : « Cooper du 78 e, échoué au 20 eet appelant l’Éternité. »

— Comment pouvez-vous en être sûr ?

— Impossible ! Donner au 20 edes informations que nous savons qu’ils n’avaient pas serait aussi dangereux pour le cercle de Mallansohn qu’une erreur de notre part. Nous sommes encore ici, donc au cours de toute sa vie dans la Réalité originelle du Primitif, il n’a fait aucun dégât de cette sorte.

— D’autant plus », dit Harlan en s’éloignant du mode de raisonnement circulaire qui paraissait si peu préoccuper Twissell, « que la revue ne sera certainement pas d’accord pour publier quelque chose qui lui semble fou ou qu’elle ne peut pas comprendre. Ils suspecteraient une supercherie ou quelque forme d’illégalité et ne désireraient pas y être mêlés. Donc Cooper ne pourrait utiliser l’Intertemporel Standard pour son message.

— Il faudrait que ce soit quelque chose de subtil, dit Twissell. Il faudrait qu’il se serve d’un détour. Il faudrait qu’il mette une petite annonce qui semblerait parfaitement normale aux hommes du Primitif. Parfaitement normale ! Et pourtant quelque chose qui soit évident pour nous, une fois que nous savons ce que nous cherchons. Très évident. Évident au premier regard parce qu’il faudrait le trouver parmi des petites annonces sans nombre. Quelle longueur pensez-vous qu’elle aurait, Harlan ? Est-ce que ces petites annonces coûtent cher ?

— Très cher, je crois.

— Et Cooper devrait économiser son argent. En outre, pour éviter d’attirer une attention malsaine, il faudrait qu’elle soit petite de toute façon. Devinez, Harlan, quelle dimension ? »

Harlan écarta les mains. « Une demi-colonne ?

— Colonne ?

— C’était des magazines imprimés, comprenez-vous, sur papier. Avec les caractères disposés en colonne.

— Ah ! bon. Je crois que je suis incapable de faire la distinction entre la littérature et le film… Eh bien, nous avons une première approximation d’un autre genre, maintenant. Nous devons chercher une petite annonce d’une demi-colonne qui, pratiquement à première vue, donnera la preuve que l’homme qui l’a placée venait d’un autre siècle (dans la direction de l’avenir, bien sûr) et pourtant qui sera une petite annonce si normale qu’aucun homme de ce siècle ne verra rien de suspect en elle.

— Et si je ne la trouve pas ? dit Harlan.

— Vous la trouverez. L’Éternité existe, non ? Aussi longtemps qu’elle existera, nous serons sur la bonne piste. Dites-moi, pouvez-vous vous rappeler une petite annonce de cette sorte dans votre travail avec Cooper ? Quoi que ce soit qui vous ait frappé, même momentanément, comme bizarre, étrange, inhabituel, une sorte de fausse note à peine perceptible.

— Non.

— Je ne désire pas de réponse si rapidement. Prenez cinq minutes et réfléchissez.

— Inutile. À l’époque où je feuilletais les magazines avec Cooper, il n’avait pas été dans le 20 e siècle.

— Je vous en prie, mon garçon, servez-vous de votre tête. Envoyer Cooper au 20 eintroduit une altération. Il n’y a pas de Changement. C’est une altération irréversible. Mais il y a eu quelques changements (avec un petit « c ») ou micro-changements comme on dit habituellement en sociologie appliquée. À l’instant où Cooper a été envoyé au 20 e, la petite annonce a paru dans le numéro approprié du magazine. Votre propre Réalité a microchangé en ce sens qu’il se peut que vous ayez regardé la page qui porte la petite annonce plutôt qu’une qui ne la porte pas, comme vous l’avez fait dans la Réalité précédente. Comprenez-vous ? »

Harlan était une fois de plus abasourdi presque autant par la facilité avec laquelle Twissell trouvait son chemin à travers la jungle de la logique temporelle que par les « paradoxes » du Temps. Il secoua la tête : « Je ne me souviens de rien de semblable.

— Bon. Alors où gardez-vous les piles de ce périodique ?

— Je me suis fait construire une bibliothèque spéciale au Deuxième Niveau, en me servant de la priorité de Cooper.

— Parfait, dit Twissell. Allons-y. Maintenant. »

Harlan regarda Twissell examiner curieusement les vieux volumes reliés de la bibliothèque, puis en prendre un. Ils étaient si vieux que le papier fragile devait être traité par des méthodes spéciales et ils craquaient entre les mains de Twissell qui ne les manipulait pas avec suffisamment de délicatesse.

Harlan fit la grimace. En d’autres circonstances, il aurait ordonné à Twissell de s’écarter des livres, tout Premier Calculateur qu’il était.

Le vieil homme parcourut les pages qui craquaient et ses lèvres formèrent silencieusement les mots archaïques. « C’est là l’anglais dont les linguistes parlent toujours, n’est-ce pas ? demanda-t-il en frappant une page.

— Oui. De l’anglais », marmonna Harlan.

Twissell remit le volume en place. « Lourd et encombrant. »

Harlan haussa les épaules. Bien sûr, la plupart des siècles de l’Éternité étaient des ères de films. Une minorité respectable était des ères d’enregistrement moléculaire. Pourtant, l’imprimerie et le papier n’étaient pas ignorés.

« Les livres n’exigent pas une technologie aussi coûteuse que les films », dit-il.

Twissell se frotta le menton. « Très juste. Alors, on commence ? »

Il prit un autre volume sur l’étagère, l’ouvrant au hasard et regardant la page avec une curieuse intensité.

Harlan pensa : « Est-ce que ce type s’imagine qu’il va trouver la solution par un coup de chance ? »

Il ne devait pas être loin de la vérité car Twissell, croisant le regard scrutateur d’Harlan, rougit et remit le livre en place.

Harlan prit le premier volume de 19,25 centisiècle et commença à tourner les pages d’un mouvement régulier. Seuls sa main droite et ses yeux bougeaient. Le reste de son corps gardait une attention raide.

À des intervalles qui lui semblaient durer des éternités, Harlan se levait en grognant pour prendre un autre volume. Tous deux profitaient alors de l’occasion pour boire un café, manger un sandwich ou prendre un instant de répit.

Harlan dit d’un ton décidé : « Il est inutile que vous restiez.

— Est-ce que je vous dérange ?

— Non.

— Alors je reste », murmura Twissell. De temps à autre, il se dirigeait vers les rayons de livres, examinant avec impuissance les reliures. Il fumait une cigarette après l’autre et les étincelles lui brûlaient parfois le bout des doigts, mais il n’y faisait pas attention.

Un physio-jour s’acheva.

Leur sommeil fut bref et entrecoupé. Vers le milieu de la matinée, entre deux volumes, Twissell s’attarda sur sa dernière goutte de café et dit : « Je me demande parfois pourquoi je n’ai pas jeté aux orties ma place de Calculateur après l’affaire de ma… vous savez. »

Harlan hocha la tête.

« J’en avais envie, continua le vieil homme. J’en avais envie. Pendant des physio-mois, j’ai souhaité désespérément qu’on ne me demande plus de m’occuper d’un Changement. Ça me rendait malade. Je commençais à me demander si les Changements étaient justes. Bizarre, les tours que la sensibilité peut vous jouer.

« Vous connaissez, vous, l’Histoire Primitive, Harlan. Vous savez à quoi elle ressemble. Sa Réalité se déroulait inconsciemment suivant la ligne de probabilité maximale. Si cette probabilité maximale comprenait une épidémie ou dix siècles d’économie basée sur l’esclavage, un arrêt dans les progrès technologiques ou même un… un… – voyons voir, quelque chose qui soit réellement mauvais – même une guerre atomique si cela avait été possible alors, eh bien, par le Temps, cela arrivait. Il n’y avait rien pour l’empêcher.

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