Isaac Asimov - La fin de l'éternité

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La fin de l'éternité: краткое содержание, описание и аннотация

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* Depuis que les Technocrates de l'Eternité envoient leurs délégués dans l'avenir et dans le passé, ils croient que la Terre va enfin
.
* Mais ils ignorent qu'un jeune
s'est épris d'une ravissante
et que l'amour peut saboter tous les principes de l'Eternité.
Avec cette extraordinaire aventure de l'homme dans le temps et dans l'Eternité, Asimov nous prouve une nouvelle fois qu'il est bien le maître de la science-fiction.

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Il est hasardeux de raisonner par analogie, mais Harlan obtint par la suite une preuve plus rigoureuse et maintenant, après un voyage sans précédent dans le Primitif, il pouvait avoir confiance et ne ressentir aucune surprise en trouvant l’ouverture exactement où on lui avait dit qu’elle serait.

Il écarta le camouflage de pierres branlantes et de rochers et entra.

Il fouilla l’obscurité en se servant du rayon blanc de sa lampe presque comme d’un scalpel. Il balayait les parois, la voûte, le sol, chaque centimètre.

Noÿs, qui se tenait juste derrière lui, murmura : « Qu’est-ce que vous cherchez ?

— Quelque chose. N’importe quoi. »

Il trouva son quelque chose tout au fond de la grotte, sous la forme d’une pierre plate qui recouvrait des feuilles de papier verdâtres comme un presse-papier.

Harlan enleva la pierre et passa le pouce sur les feuilles.

« Qu’est-ce que c’est ? demanda Noÿs.

— Des billets de banque. Un moyen d’échange. De l’argent.

— Vous saviez que c’était là ?

— Je ne savais rien. J’espérais seulement. »

Il suffisait d’utiliser la logique inductive de Twissell, de déterminer la cause par l’effet. L’Éternité existait, Cooper devait donc prendre des décisions correctes lui aussi. En supposant que le signal ferait venir Harlan à l’époque voulue, la caverne était évidemment un moyen de communication supplémentaire.

C’était encore mieux que ce qu’il aurait osé espérer. Plus d’une fois pendant la préparation de son voyage dans le Primitif, Harlan avait pensé que circuler dans une ville en n’ayant que de l’or à sa disposition entraînerait la suspicion et des pertes de temps.

Cooper s’en était occupé pour plus de sûreté, mais il avait eu le temps. Harlan soupesa le tas de billets. Cela avait dû prendre du temps pour en amasser autant. Il avait bien fait, ce jeune homme, merveilleusement bien fait.

Et le cercle se refermait !

Les vivres avaient été transportés dans la grotte, à la lueur de plus en plus, rougeoyante du soleil descendant à l’Ouest. La cabine avait été recouverte d’une pellicule réfléchissante diffuse qui la cacherait à tous les yeux sauf aux plus curieux et aux plus proches, mais Harlan avait un pistolet pour s’en charger si c’était nécessaire. Le Radiant était installé dans la grotte et son rayon était calé dans une crevasse, de telle sorte qu’ils avaient chaleur et lumière.

Dehors régnait une froide nuit de mars.

Noÿs examinait pensivement la surface lisse du paraboloïde tandis que le Radiant tournait doucement. « Andrew » quels sont vos projets ? demanda-t-elle.

— Demain matin, je partirai pour la ville la plus proche. Je sais où elle est – ou devrait être. » (Il revint à « est » dans son esprit. Il n’y aurait aucun ennui. De nouveau la logique de Twissell.)

« Je viendrai avec vous, n’est-ce pas ? »

Il secoua la tête. « D’une part, vous ne parlez pas la langue et puis la randonnée sera assez difficile pour un seul. »

Noÿs avait l’air étrangement archaïque avec ses cheveux courts et la colère soudaine qui brilla dans ses yeux obligea Harlan à détourner son regard avec malaise.

Elle dit : « Je ne suis pas idiote, Andrew, c’est à peine si vous me parlez. Vous ne me regardez pas. Qu’y a-t-il ? Est-ce le puritanisme de votre époque d’origine qui reprend le dessus ? Avez-vous l’impression d’avoir trahi l’Éternité et m’en rendez-vous responsable ? Pensez-vous que je vous ai dévoyé ? Qu’y a-t-il ?

— Vous ne savez pas ce que je ressens, dit-il.

— Alors décrivez-le-moi. Vous feriez aussi bien. Vous n’aurez jamais une occasion aussi favorable que celle-ci. Éprouvez-vous de l’amour ? Pour moi ? Vous n’avez pu ou voulu m’utiliser comme bouc émissaire. Pourquoi m’avez-vous emmenée ici ? Dites-le-moi. Pourquoi ne pas m’avoir laissée dans l’éternité puisque je ne vous suis d’aucune utilité ici et puisqu’il semble que vous puissiez à peine supporter ma vue ? » Harlan murmura : « Il y a du danger.

— Allons, je vous en prie.

— C’est plus que du danger. C’est un cauchemar. Le cauchemar du Calculateur Twissell. C’est pendant notre dernière fuite panique dans l’avenir jusqu’aux Siècles Cachés qu’il m’a ouvert son cœur concernant ces Siècles. Il spéculait sur la possibilité de spécimens évolués de l’humanité, de nouvelles espèces, de surhommes peut-être, se cachant dans l’avenir lointain, évitant tout contact avec nous, complotant pour mettre fin à nos altérations de la Réalité. Il pensait que c’était eux qui avaient construit la barrière au travers du 10000 e siècle. Puis nous vous avons trouvée et le Calculateur Twissell a abandonné son cauchemar. Il a décidé qu’il n’y avait jamais eu de barrière. Il est revenu au problème plus immédiat du sauvetage de l’Éternité.

« Mais moi, comprenez-vous, j’avais été contaminé par son cauchemar. J’avais fait l’expérience de la barrière, aussi je savais qu’elle existait. Aucun Éternel ne l’avait bâtie car Twissell disait qu’une telle chose était impossible sur le plan théorique. Peut-être les théories de l’Éternité n’allaient pas assez loin. La barrière était là. Quelqu’un l’avait construite. Ou quelque chose. »

« Bien sûr, continua-t-il pensivement, Twissell se trompait en plusieurs points. Il pensait que l’homme doit évoluer, mais il n’en est pas ainsi. La paléontologie n’est pas une des sciences qui intéressent les Éternels, mais elle intéressait les Primitifs tardifs, aussi l’ai-je étudiée un peu moi-même. Je connais au moins cela : les espèces évoluent seulement pour faire face aux pressions de nouveaux milieux. Dans un milieu stable, une espèce peut rester inchangée pendant des millions de siècles. L’homme primitif évoluait rapidement parce que son milieu était dur et changeant. Mais une fois que l’Humanité a appris à créer son propre milieu, elle en a créé un d’agréable et de stable et c’est pourquoi tout naturellement elle a cessé d’évoluer.

— Je ne sais pas de quoi vous parlez », dit Noÿs qui ne paraissait pas le moins du monde adoucie, « et vous ne dites rien de nous et c’est de ça que je voulais parler. »

Harlan s’efforça de garder une apparence calme. « Alors, dit-il, pourquoi cette barrière au 100000 e ? À quoi servait-elle ? On ne vous a pas fait de mal. Quelle autre signification pouvait-elle avoir ? Je me suis demandé : « Qu’est-il arrivé à cause de sa présence qui ne serait pas arrivé si elle avait été absente ? »

Il s’arrêta, regardant ses informes et lourdes bottes en cuir naturel. Il lui vint à l’esprit qu’il serait plus à son aise s’il les ôtait pour la nuit, mais pas maintenant, pas maintenant…

Il reprit : « Il n’y avait qu’une seule réponse à cette question. L’existence de cette barrière me fit revenir fou furieux vers le passé pour m’emparer d’un fouet neuronique afin d’attaquer Finge. J’étais dans un tel état d’excitation que je songeais à risquer l’Éternité pour vous récupérer et à mettre l’Éternité en pièces quand j’ai pensé que j’avais échoué. Vous comprenez ? »

Noÿs l’observa avec un mélange d’horreur et d’incrédulité. « Vous voulez dire que les gens de l’avenir voulaient que vous fassiez tout cela ? Que leur plan était tracé ?

— Oui. Ne me regardez pas ainsi. Oui. Et ne voyez-vous pas que ça change tout ? Aussi longtemps que j’agissais de mon propre chef, pour des raisons personnelles, j’étais prêt à accepter toutes les conséquences matérielles et spirituelles. Mais être trompé, être amené par ruse à agir, par des gens tenant et manipulant mes émotions comme si j’étais un Computaplex dans lequel il suffirait d’insérer les fiches perforées appropriées… »

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