Robert Heinlein - Job - une comédie de justice

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Job : une comédie de justice: краткое содержание, описание и аннотация

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Promis à une brillante carrière militaire lorsqu’une grave maladie l’obligea à y renoncer en 1934, il est devenu un des auteurs les plus prolifiques de notre époque. Qui donc se mêle de bouleverser ainsi la vie du pasteur Alex Hergensheimer alors qu’il regagne son cher Kansas après un long voyage ? Dieu ou Satan ?
Tout commence par un épisode de très païenne magie lors d’une escale en Polynésie…
Et quand il se retrouve à bord, l’honorable pasteur découvre que tout a changé, y compris lui-même : pour ses compagnons, il est Alec Graham, homme d’affaires, et pour Margrethe, la jolie stewardess, un parfait amant ! Plus dangereux encore : il se retrouve à la tête d’un million de dollars fort mal acquis.
Quant au temps historique, là, c’est le total chamboulement. Dans quel passé… ou quel futur est-il ?
Sentant se perdre son identité et son âme, Alex s’affole, craint l’approche de quelque Armaguedon…

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Il toucha quelque chose et un pinceau de lumière blanche se dessina au-dessus de la porte. Il ouvrit et Se tourna vers moi.

— Entrez, Alec.

Mon cœur fit un bond et je retins mon souffle.

Jerry ! Jerry Farnsworth !

27

Car avec beaucoup de sagesse on a beaucoup de chagrin, et celui qui augmente sa science augmente sa douleur.

L’Ecclésiaste, 1:18

Il prit la parole et dit : Périsse le jour où je suis né, et la nuit qui dit : Un enfant mâle est conçu !

Job, 3:2-3

Mon regard se brouilla, ma tête se mit à tourner et mes genoux devinrent flasques. Jerry lança d’un ton brusque :

— Hé, pas de ça !

Il m’empoigna par la taille, me tira à l’intérieur et claqua la porte.

Il me retint pour m’empêcher de tomber, puis me secoua et me donna une gifle. Je finis par secouer la tête et repris mon souffle. J’entendis la voix de Katie :

— Porte-le. Qu’il puisse s’allonger.

Ma vue redevint nette.

— Ça ira, dis-je. Je me suis senti tellement bizarre pendant une seconde.

Je regardai autour de moi. Nous étions dans le salon de la demeure des Farnsworth.

— Vous êtes tombé en syncope, voilà ce qui s’est passé. Pas surprenant après un tel choc. Venez, allons dans la grande pièce.

— D’accord. Salut, Katie. Ça me fait plaisir de vous voir.

— Moi aussi, mon cher.

Elle s’approcha, mit ses bras autour de moi et m’embrassa. Une fois encore, sachant bien que Marga était tout pour moi, je me dis que Katie était tout à fait mon genre. Et Pat aussi. Marga, j’aurais tant aimé que tu fasses la connaissance de Pat. (Marga !)

La grande pièce semblait toute nue. Les meubles n’étaient pas finis, il n’y avait ni cheminée, ni fenêtres. Jerry demanda à Katie :

— Mets-nous le Remington 2, veux-tu ? Je vais nous préparer quelque chose à boire.

— Oui, chéri.

Pendant qu’ils s’activaient, Sybil arriva en trombe, me prit entre ses bras (je faillis tomber car elle est du genre costaud) et m’embrassa, très fort, très vite, pas du tout comme sa mère.

— Monsieur Graham ! Vous avez été fantastique ! J’ai tout suivi. Avec sœur Pat. Elle aussi elle vous trouve fantastique !

Sur le mur de gauche, il y avait maintenant une fenêtre par laquelle on apercevait des montagnes. Et, dans la cheminée qui occupait le mur d’en face, un grand feu flambait, exactement comme la dernière fois. Le plafond était bas et les meubles et la décoration étaient bien ceux qui correspondaient au Remington numéro deux.

Katie s’écarta des contrôles et dit :

— Sybil, laisse-le tranquille, ma chérie. Alec, étendez-vous. Il faut vous reposer.

— Ça va. (Je m’assis.) Euh… nous sommes bien au Texas ? Ou bien en enfer ?

— Question d’opinion, dit Jerry.

— Il y a une différence ? demanda Sybil.

— Difficile à dire, fit Katie. Mais ne vous inquiétez pas pour ça maintenant, Alec. Moi aussi je vous ai regardé et je suis d’accord avec les filles. J’étais fière de vous.

— Ça, il a du nerf, intervint Jerry. Pas moyen de le faire changer d’idée. Alec, quel entêté vous faites. J’ai perdu trois paris sur vous. (Des verres apparurent. Jerry prit le sien et le leva.) A votre santé, Alec.

— A Alec !

— A moi, dis-je avant d’absorber une longue gorgée de Jack Daniels . Mais Jerry… Vous n’êtes pas vraiment…

Il me sourit. La tenue texane s’estompa, les bottes western se changèrent en sabots fourchus et des cornes Lui poussèrent sur la tête. Sa peau devint d’un rouge sombre, huileuse, avec des muscles noueux. Entre ses cuisses, un phallus incroyablement énorme se dressait tout droit.

— Je pense que Tu l’as convaincu, chéri, dit Katie, et je ne trouve pas que ce soit une de Tes meilleures apparences.

Aussitôt, le diable conventionnel disparut, remplacé par le non moins conventionnel milliardaire texan.

— C’est mieux, commenta Sybil. Papa, pourquoi Te sers-Tu de ce vieux truc ringard ?

— C’est un symbole évident. Cette apparence-là est plus appropriée ici. J’en conviens. Et toi aussi, tu devrais être habillée comme une Texane.

— Vraiment ? fit Sybil. Je croyais qu’avec Patty, M. Graham s’était habitué à tout voir des femmes.

— Il s’est habitué à elle, pas à toi. Obéis avant que je te fasse griller pour le déjeuner.

— Papa, Tu es un sale traître. (Sybil s’inventa un blue-jean et un caraco sans quitter son fauteuil.) Et j’en ai marre d’être une teenager. Je ne vois pas pourquoi je continuerais cette comédie stupide. Saint Alec sait très bien qu’on l’a trompé.

— Sybil, tu parles trop.

— Chéri, dit doucement Katie, elle a peut-être raison.

Jerry secoua la tête. Je soupirai et dis ce que je devais dire :

— Oui, Jerry, je sais que j’ai été abusé. Par ceux que je considérais comme des amis. Et ceux de Marga aussi. C’est Vous qui étiez derrière tout ça ? Alors, qui suis-je ? Job ?

— Oui et non.

— Qu’est-ce que cela veut dire… Votre Majesté ?

— Alec, il est inutile de Me donner ce titre. Nous nous sommes rencontrés comme des amis. J’espère que nous le resterons.

— Mais comment le pouvons-nous ? Si je suis Job. Votre Majesté… Où est ma femme ?

— Alec, J’aimerais bien le savoir. Il y a quelques indices dans votre mémoire et J’ai cherché. Mais Je ne sais toujours pas. Il faut que vous soyez patient.

— Au diable ! Euh… Mais je suis patient ! Quels indices ? Mettez-moi sur la piste ! Est-ce que Vous ne comprenez pas que je vais perdre l’esprit ?

— Je ne peux pas, et vous ne perdez pas l’esprit. Je vous ai juste mis sur le grill. Je vous ai poussé pour essayer de vous faire craquer. Mais c’est impossible. On ne peut pas vous briser. De toute façon, vous ne pouvez pas M’aider à la trouver, pas en ce moment… Alec, il faut vous rappeler que vous êtes humain… et que Moi, Je ne le suis pas. J’ai des pouvoirs que vous ne pouvez même pas imaginer. Mais également des limites que vous ne pouvez imaginer non plus. Alors, gardez votre calme et écoutez-Moi. Je suis votre ami. Si vous ne le croyez pas, vous êtes libre de partir, de quitter Ma maison et de chercher par vous-même. Il y a du travail près du lac, si vous pouvez supporter la puanteur du soufre. Vous chercherez Marga à votre façon. Je ne vous dois rien ni à l’un ni à l’autre, parce que Je ne suis pas responsable de vos ennuis ! Il faut Me croire.

— Euh… Mais je veux Vous croire.

— Peut-être croirez-vous mieux Katie.

— Alec, dit Katie, l’Ancien essaie de vous apaiser. Ce n’est pas Lui qui vous a créé tous ces ennuis. Chéri, est-ce qu’il vous est déjà arrivé d’essayer de panser un chien blessé ? La pauvre bête n’arrête pas d’essayer de vous mordre et de se faire plus mal encore…

— Oui… (J’avais eu un chien. Brownie. J’avais douze ans quand il était mort.)

— Alors, ne vous comportez pas comme ce pauvre chien. Faites confiance à Jerry. S’il veut vous aider, Il est capable de choses qui dépassent votre entendement. Est-ce que vous prétendriez donner des conseils à un chirurgien du cerveau ? Est-ce que vous vous permettriez de lui dire d’aller plus vite ?

Je souris tristement et pris sa main.

— Je vais essayer, Katie. Je vais être docile.

— Oui, essayez, pour l’amour de Marga.

— Oui, c’est promis… Euh… Jerry, tout en admettant que je ne suis qu’un humain et que je ne peux tout comprendre, est-ce que Vous pouvez au moins essayer de m’expliquer ?

— Je vais faire mon possible. Par où dois-je commencer ?

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