Hal Clement - Le microbe détective

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Le microbe détective: краткое содержание, описание и аннотация

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  Dans un univers d'infiniment petits, un microbe a commis un crime et pour échapper aux foudres de la justice se sauve vers la terre.     Un microbe détective se lance à la poursuite du criminel, mais comment le retrouver ? Les microbes ne peuvent pas vivre seuls sur la terre, ils doivent se glisser dans un corps humain pour y subsister comme des parasites.     Parmi les jeunes graçons courant sur cette île du Pacifique, qui donne asile sans le savoir au microbe assassin ?     Bâtie comme un roman policier, cette histoire extraordinaire ne s'oublie pas de sitôt. On pense longtemps après l'avoir lus au microbe se glissant derrière la rétine de Bob pour surveiller les alentours. On revoit la poursuite des deux microbes dans l'eau alors qu'ils viennent de quitter les corps respectifs qui les abritaient.     Quel comportement étrange de la part de Bob, qui parle sans s'en apercevoir, dont les blessures se cicatrisent seules et qui court dans le noir sans même trébucher. Heureusement, le microbe chasseur parvient à entrer en contact avec son « abri » et a finalement le dessus, mais de peu…

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Sans la moindre gêne, Hay exposa ses intentions. Il n’avait jamais songé à prendre le fil de fer sans le demander, mais il avait espéré malgré tout avoir l’occasion de faire son choix lui-même après avoir passé en revue les trésors que renfermait la salle du matériel, et surtout il tenait à choisir lui-même la personne à qui il allait exposer sa requête.

M. Kinnaird hocha la tête d’un air entendu et répondit :

« Vous serez sans doute obligés de grimper jusqu’au nouveau réservoir que l’on construit là-haut pour avoir une barre à mine ou un outil de ce genre. Pour votre grillage, j’ai l’impression que l’on doit avoir ça à notre rayon. Venez voir. »

Tous les garçons, y compris Teroa, emboîtèrent le pas à M. Kinnaird pour traverser les petites passerelles faites de plaques d’acier très glissantes. Tout en marchant Hay expliqua ce qui s’était produit à sa piscine et comment on avait fini par découvrir la raison de tous ses ennuis. M. Kinnaird avait l’habitude d’écouter les gens qui lui parlaient, mais il ne put s’empêcher de jeter un coup d’œil rapide vers son fils lorsqu’il fut question de la dangereuse baignade. Bob ne surprit pas le regard de son père et la conversation lui remit soudain à l’esprit le livre dont le médecin lui avait parlé. Il s’approcha aussitôt de Hay pour le lui rappeler. M. Kinnaird ne put s’empêcher de dire :

« Tiens, tiens, aurais-tu par hasard l’intention de devenir médecin ? Jusqu’à présent tu n’en prends guère le chemin.

— Non, papa, j’ai simplement besoin d’un renseignement », répondit Bob d’un ton neutre.

Les préoccupations du Chasseur revenaient plus urgentes que jamais. Et il se demandait avec inquiétude quand il pourrait entrer en communication avec Bob. Pour l’instant il ne pouvait en être question !

M. Kinnaird se retourna en souriant et montra l’une des portes de la cabane devant laquelle il venait d’arriver.

« Il y aurait peut-être quelque chose pour vous là dedans, Norman », dit-il en sortant la clef du cadenas.

Il faisait très noir à l’intérieur, mais M. Kinnaird tourna le bouton dissimulé près de l’entrée et une faible lueur jaillit d’une ampoule sale suspendue au bout de son fil. Tous les regards se portèrent immédiatement vers un des coins de la pièce où se trouvait un gros rouleau de grillage galvanisé qui semblait avoir été mis là dans l’unique dessein de répondre aux désirs de Norman. Hay se précipita dessus pendant que le père de Bob restait dans l’encadrement de la porte en s’amusant du spectacle.

« Combien t’en faut-il ?

— Oh ! un petit morceau d’une vingtaine de mètres me suffirait largement… »

M. Kinnaird prit une paire de pinces dans un tiroir et découpa le grillage, puis il tendit à Norman le morceau convoité. Ils quittèrent tous la pièce et Bob déclara à son père pendant que celui-ci refermait le cadenas :

« Je ne savais pas qu’on se servait de grillage comme celui-ci dans l’île.

— Non, c’est vrai ? J’étais pourtant persuadé qu’à force de tourner par ici tu connaissais les moindres détails de l’installation. » M. Kinnaird se dirigea alors vers le plus proche des réservoirs de charge et montra l’un des puits de sécurité construit à côté : « Tenez », dit-il, en désignant du doigt l’ouverture d’un mètre carré à peu près, que rien ne protégeait. Les garçons s’approchèrent pour regarder dans le trou. À quelques mètres de là un filet protecteur semblable au grillage que transportait Norman était scellé dans les parois du béton.

« Je n’aurais jamais cru ce grillage assez fort pour supporter le poids d’une personne qui tomberait dessus, fit remarquer Bob.

« — Les gens ne doivent pas tomber là-dedans, lui rétorqua son père, et si par hasard un accident arrivait, la seule ressource serait de se laisser glisser jusqu’au fond pour pouvoir nager au-dessous. Ce grillage a été placé là à seule fin de retenir au passage les outils qui pourraient tomber dans le puits. Cela arrive souvent, car les plaques de tôle sont particulièrement glissantes par ici. C’est d’ailleurs pour cela que les abords de ces puits sont interdits. »

Il s’éloigna, fit quelques pas et bien involontairement donna la démonstration rapide de la véracité de ses paroles. Il glissa. Du moins Malmstrom affirma toujours que M. Kinnaird avait glissé le premier, mais personne n’en était sûr. Tout le groupe se comporta alors comme une rangée de quilles et le seul à conserver son équilibre fut Teroa qui dut s’éloigner très rapidement pour ne pas être emporté à son tour. Malmstrom fut projeté contre Hay qui perdit pied et entraîna dans sa chute Bob et Colby. Leurs chaussures ne trouvèrent aucun point d’appui solide sur la surface de métal huileux et Bob poussa un hurlement lorsqu’il comprit qu’il allait mettre à l’épreuve la force de résistance du grillage.

Ses réactions rapides lui avaient fait occuper une place de premier plan dans l’équipe de hockey du collège et ce fut encore cette qualité qui le sauva.

Il se laissa tomber les pieds les premiers et dès que ses chaussures touchèrent le grillage il étendit les bras en avant autant qu’il le put afin de prendre un point d’appui sur son dos aux parois du puits. Il reçut un coup violent dans les côtes, mais parvint néanmoins à ne pas appuyer de tout son poids sur le grillage qui ainsi soutint le choc.

À quatre pattes, son père essayait de lui tendre la main, mais Bob glissa de nouveau et ne put saisir le bras secourable. Malmstrom et Colby, qui étaient également tombés sur le sol, ne se relevèrent pas et en profitèrent pour saisir Bob par le poignet sans s’occuper du danger que présentait leur position et permirent ainsi à Bob de remonter lentement en s’aidant du dos et des pieds.

Une fois debout, Bob essuya d’un revers de main la sueur qui perlait à son front et son père lui adressa un sourire un peu forcé en le regardant fixement, après avoir esquissé un geste pour retirer quelque chose qu’il devait avoir dans l’œil : « Tu comprends ce que je veux dire », dit-il à son fils. Puis reprenant ses esprits, il ajouta :

« J’ai l’impression que l’un de nous sera en retard pour dîner. Ou je me trompe fort ou l’embarcation que j’ai vue attachée là-bas vous appartient et vous allez certainement la reconduire dans la crique où vous la cachez. »

Les garçons répondirent en effet que telle était leur intention et M. Kinnaird ajouta :

« Alors allez-y vite et disparaissez d’ici avant de vous être tous rompu le cou. Bob, je vais rentrer tout de suite et prévenir ta mère. J’ai l’impression qu’il vaut mieux ne pas lui parler de ta petite descente. »

Les garçons, tout joyeux de voir que leur camarade s’en était tiré à si bon compte, s’éloignèrent en riant.

De son côté le Chasseur ne trouvait pas la situation aussi drôle. Il voulait absolument parler à Bob, mais avait tant à dire qu’il ne savait par où commencer. Il fut très heureux de voir que son hôte allait s’installer à l’avant de l’embarcation plutôt que de prendre un aviron. Et à l’instant même où Bob dirigea ses regards vers le large, le Chasseur se manifesta. « Bob ! »

Les lettres qui apparaissaient sur la rétine du jeune garçon étaient épaisses et beaucoup plus grandes que d’habitude. Elles auraient certainement été teintées d’un rouge éclatant si cela avait été possible. Néanmoins le jeune garçon comprit que le message était urgent et regarda aussitôt l’endroit le plus clair de l’horizon.

« Nous ne nous arrêterons pas, pour le moment tout au moins, sur votre propension à vous exposer à de petites blessures pour la simple raison que vous savez être protégé. Cette tendance est assez désagréable en elle-même, mais de plus, vous vous mettez à présent à faire part à tout le monde de la confiance que vous avez en votre propre immunité. Ce matin vous vous offrez devant tout le monde à vous jeter le premier dans cette eau qui aurait pu être dangereuse. Ensuite, vous claironnez à tous vents l’intérêt subit que vous portez à la biologie en général, et au virus en particulier. J’ai eu envie, à plusieurs reprises aujourd’hui, de paralyser votre langue. Au début j’ai pensé que vous pourriez simplement effrayer notre criminel et l’obliger ainsi à choisir une meilleure cachette, mais à présent je crains fort que la situation soit plus inquiétante.

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