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Hal Clement: Le microbe détective

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Hal Clement Le microbe détective

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  Dans un univers d'infiniment petits, un microbe a commis un crime et pour échapper aux foudres de la justice se sauve vers la terre.     Un microbe détective se lance à la poursuite du criminel, mais comment le retrouver ? Les microbes ne peuvent pas vivre seuls sur la terre, ils doivent se glisser dans un corps humain pour y subsister comme des parasites.     Parmi les jeunes graçons courant sur cette île du Pacifique, qui donne asile sans le savoir au microbe assassin ?     Bâtie comme un roman policier, cette histoire extraordinaire ne s'oublie pas de sitôt. On pense longtemps après l'avoir lus au microbe se glissant derrière la rétine de Bob pour surveiller les alentours. On revoit la poursuite des deux microbes dans l'eau alors qu'ils viennent de quitter les corps respectifs qui les abritaient.     Quel comportement étrange de la part de Bob, qui parle sans s'en apercevoir, dont les blessures se cicatrisent seules et qui court dans le noir sans même trébucher. Heureusement, le microbe chasseur parvient à entrer en contact avec son « abri » et a finalement le dessus, mais de peu…

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Hal Clement

Le microbe détective

Hachette, Le Rayon fantastique n°27, 1954

Illustration de René Caillé

Titre original : « Needle », 1950

Traduit de l’américain par Pierre-André Gruénais

I

NAUFRAGE

Les zones d’ombre sont en général de bons endroits pour se dissimuler, même sur la Terre. Une frange de pénombre peut évidemment exister à l’endroit où s’arrête la grande lumière crue.

En dehors de la Terre, là où n’existe aucune atmosphère pour diffuser les ondes lumineuses, la transition entre la lumière et l’ombre est nette. L’ombre elle-même de la Terre, par exemple, est un cône sombre d’un million et demi de kilomètres de long dont la pointe se trouve dans le prolongement du soleil. Ces ténèbres recèlent les germes d’une invisibilité encore plus parfaite que toutes celles que l’on peut imaginer, car les seules lumières qui y pénètrent proviennent des étoiles et des rais faiblement renvoyés par la mince atmosphère qui entoure la Terre.

Le Chasseur savait qu’il se trouvait dans l’ombre d’une planète, bien que n’ayant jamais entendu parler de la Terre. Il s’en était aperçu au moment où sa vitesse devenait inférieure à celle de la lumière. Très en avant de lui il avait découvert un carré noir entouré de rouge. Dans l’ombre où il était plongé seuls ses instruments de bord permettaient encore de détecter l’engin fugitif. Mais, brusquement, il constata que l’autre vaisseau était visible à l’œil nu, et aussitôt la légère inquiétude qui le tenaillait prit corps.

Il n’avait pas encore compris pourquoi le fuyard diminuait de vitesse. C’était peut-être dans le faible espoir de voir son poursuivant le dépasser suffisamment pour ne plus être à la portée des instruments de détection. Et sans cesse la décélération s’accentuait. L’engin fugitif continuait à se maintenir en ligne droite avec le monde qui se dessinait vaguement au-delà. Dans ces conditions il était extrêmement dangereux de chercher à rattraper trop vite le fuyard. Subitement, une immense lueur rouge signala que le premier engin venait d’entrer dans une atmosphère. La planète était donc beaucoup plus petite et infiniment plus proche que le Chasseur ne l’avait cru.

Le poursuivant comprit immédiatement la signification de ce formidable éclat rouge. De toute la puissance de ses générateurs, il fit un effort intense pour s’écarter le plus possible de la planète. En même temps, il fit glisser le restant de son corps dans la salle de contrôle pour protéger d’une sorte de coussin de gélatine le périt afin de le soustraire aux effets de la terrible décélération. Il se rendit compte sur-le-champ que ce ne serait pas suffisant. Il avait à peine eu le temps de se demander si la créature qui fuyait devant lui allait vraiment courir le risque de s’écraser avec son navire que déjà les premières vagues de l’enveloppe d’air qui entourait le monde vinrent freiner son piqué désespéré. Aussitôt les plaques de métal de la coque devinrent d’un rouge presque orangé sous l’effet de la chaleur.

Comme les engins plongeaient tout droit vers le cône d’ombre qu’ils allaient bientôt traverser, le fugitif redeviendrait invisible, une fois sa coque refroidie. Le Chasseur fit un ultime effort pour conserver les yeux fixés sur les instruments qui indiqueraient la marche de l’autre. Il fit bien, car le cylindre étincelant s’évanouit brusquement dans un énorme nuage de vapeur d’eau, voilant entièrement la surface sombre de la planète. Une fraction de seconde plus tard le vaisseau du Chasseur pénétra à son tour dans la masse vaporeuse et au même instant fut secoué par une terrible embardée faisant de sa course rectiligne une vrille inquiétante. Le pilote comprit qu’une des plaques de direction venait de lâcher, arrachée sans doute par la chaleur intense qui n’avait pu se dissiper. Pour l’instant il ne pouvait rien y faire. Il remarqua que l’autre engin venait de s’arrêter brusquement comme s’il était entré dans un mur. Mais il le vit repartir, beaucoup plus doucement d’ailleurs, et le pilote comprit que quelques secondes à peine le séparaient du même obstacle.

Sa supposition était exacte. Bien qu’ayant rentré au dernier moment les plaques de direction qui existaient encore, le navire du Chasseur continuait sa vrille et vint s’écraser presque à plat sur de l’eau. Sous le choc la coque s’ouvrit en deux d’un bout à l’autre comme une coquille d’œuf. Bien que toute son énergie cinétique eût été absorbée sur-le-champ, l’engin ne s’arrêta pas tout de suite. Il continua sa course beaucoup plus lentement, un peu comme une feuille morte qui tombe mollement, et le Chasseur sentit que ce qui restait de son engin allait s’immobiliser quelques secondes plus tard sur ce qui devait être le fond d’un lac ou de la mer.

« Au moins, se dit-il en lui-même, comme il commençait à reprendre ses esprits, mon fugitif doit être dans la même situation. » Il comprenait maintenant pourquoi l’autre machine s’était arrêtée brusquement pour amorcer ensuite un long mouvement de descente. Si le premier engin était entré percutant dans l’eau, le résultat devait être le même et leurs machines à tous deux dans le même état.

Avec d’infinies précautions le Chasseur tâta autour de lui et découvrit que la salle de contrôle qui avait été autrefois une pièce cylindrique de cinquante centimètres de diamètre sur soixante centimètres de long, n’était plus à présent qu’un mince espace compris entre deux plaques déchiquetées. Les soudures des plaques de métal de deux centimètres d’épaisseur composant la coque avaient cédé, ou plutôt s’étaient arrachées suivant une ligne de moindre résistance, car à l’origine l’ensemble se présentait sous la forme d’une seule enveloppe tubulaire en métal. Les parties hautes et basses s’étaient écrasées, et se touchaient presque à un ou deux centimètres près. À chaque bout de la pièce les cloisons étaient éventrées, ce qui prouvait que même cet alliage extrêmement résistant n’était pas à toute épreuve.

Le périt n’existait plus. Il avait été non seulement écrasé par l’affaissement des parois, mais le corps semi-liquide du Chasseur avait transmis la force de l’impact comme une presse hydraulique.

Tous les organes intérieurs du périt qui servait de support vivant au Chasseur étaient anéantis et, s’apercevant de cela, le Chasseur se retira lentement de l’intérieur de la petite créature. Il n’essaya pas de jeter hors du vaisseau ce qui restait du périt, car il pensait que, par la suite, il serait peut-être obligé de s’en servir comme nourriture. Cette idée lui fut fort déplaisante, le comportement du Chasseur à l’égard de l’animal étant semblable à celui d’un homme envers son chien fidèle. Toutefois le périt était beaucoup plus utile que n’importe quel animal domestique, avec ses mains délicates dont il avait appris à se servir au commandement, un peu comme le fait un éléphant avec sa trompe en obéissant aux ordres de son cornac.

Le Chasseur décida de poursuivre son exploration et fit passer par l’une des fentes de la coque un mince pseudopode qui avait la consistance de la gelée. Il savait déjà que le navire reposait dans l’eau salée, mais il ignorait à quelle profondeur, tout en ne la supposant pas très grande. Dans le monde où il était habitué à vivre, il aurait pu calculer avec beaucoup de précision la distance qui le séparait de la surface en se basant sur la pression qu’il ressentait. Mais celle-ci dépendait du poids d’une certaine quantité d’eau, et il n’avait pas eu le temps de demander des renseignements sur l’ordre de grandeur de la gravité de cette planète avant l’accident.

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