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Theodore Sturgeon: Vénus plus X

Здесь есть возможность читать онлайн «Theodore Sturgeon: Vénus plus X» весь текст электронной книги совершенно бесплатно (целиком полную версию). В некоторых случаях присутствует краткое содержание. Город: Paris, год выпуска: 2011, ISBN: 2-85184-050-9, издательство: Champ Libre, категория: Фантастика и фэнтези / на французском языке. Описание произведения, (предисловие) а так же отзывы посетителей доступны на портале. Библиотека «Либ Кат» — LibCat.ru создана для любителей полистать хорошую книжку и предлагает широкий выбор жанров:

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Theodore Sturgeon Vénus plus X

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On a volé Charlie Johns. Qui ? Le peuple de Ledom, un monde libre, sans contrainte, sans guerre, sans peur. Un monde sans reproches dont tous les habitants sont bisexués, à la fois mâle et femelle. Bref, le paradis pour Charlie, Homo Sapiens du XXeme siècle ! Jusqu'au jour où il découvre ou il est. Pourquoi il y est. Comment il y est arrivé et ce que sont exactement « ceux-celles » qu'il désigne du nom de vénus plus X.

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Aussi efficace qu’inconnu, le traitement appliqué à son front en effaça les élancements douloureux avec une soudaineté presque inquiétante. Il demeura immobile quelques instants, craignant que la douleur ne lui retombe dessus avec la même soudaineté, la même violence, mais il n’en fut rien. Il leva une main hésitante et, aussitôt, le tissu qui recouvrait ses yeux fut retiré et il se trouva nez à nez avec un visage souriant, penché sur le sien, et qui prononçait des syllabes fluides, terminées par une trille interrogative.

Charlie Johns dit : — Où suis-je ?

Le visage leva les sourcils et rit d’un rire avenant. Des doigts frais et fermes se posèrent sur ses lèvres et la tête s’agita de gauche et de droite.

Charlie comprit et dit : — Je ne vous comprends pas non plus.

Il se redressa sur un coude et jeta un coup d’œil circulaire. Il se sentait beaucoup plus fort.

Il se trouvait dans une vaste pièce qui affectait grossièrement la forme d’un T. La plus grande partie de la barre verticale du T était occupée par — disons la cellule capitonnée dont il venait de sortir ; la porte en était restée ouverte. Elle rayonnait, à l’intérieur comme à l’extérieur, de cette lumière argentée, douce et froide, apparemment venue de nulle part. On aurait dit une énorme citrouille munie d’ailes.

Quant à la barre horizontale du T, d’un bout à l’autre et du sol au plafond, elle était fermée par un immense panneau transparent d’un seul tenant. Charlie songea qu’il en avait peut-être déjà vu d’aussi grand — la vitrine d’un grand magasin — mais il n’en était pas sûr. À chaque extrémité du T pendaient des rideaux qui, il le supposa, masquaient des portes.

À l’extérieur, c’était à vous couper le souffle. Certains terrains de golf offrent parfois des moutonnements d’un vert parfait un peu comparable — mais jamais sur des kilomètres et des kilomètres carrés. Des groupes d’arbres se dressaient çà et là — des arbres tropicaux, la note éclatante des flamboyants le prouvait, si vive qu’on la ressentait plus qu’on ne la voyait ; et toute la gamme de palmiers — dattiers, cocotiers, palmiers-choux ; et les fougères arborescentes et toutes sortes de cactus en fleur. Sur un amas de ruines, si terriblement pittoresques qu’on les aurait jurées artificielles, construites là pour faire terriblement pittoresque, un magnifique figuier étrangleur avait poussé jusqu’à près de trente mètres de haut, ses troncs multiples et ses racines crochues suivant les ondulations profuses de son feuillage luisant.

Le seul bâtiment visible — et eux-mêmes devaient être assez haut placés, treize ou quatorzième étage, selon les estimations de Charlie — était… impossible.

Imaginez un cône, un bonnet d’âne, mais allongé de trois fois au moins sa longueur normale. Incurvez-le maintenant d’un quart de cercle environ, posez-le sur sa pointe délicate, en laissant sa lourde base dans les airs, soutenue par rien du tout, retomber gracieusement comme une énorme fleur. Bon. Éloignez-vous de quelques pas, conférez au tout les dimensions surhumaines — deux cents mètres de haut — ajoutez-y des bouquets de fenêtres plaisamment asymétriques, distribuées au hasard comme des broches de diamants, n’oubliez pas les balcons incurvés, apparemment taillés dans la masse et non surajoutés — et vous aurez une idée de ce bâtiment, de ce bâtiment im-pos-si-ble.

Charlie Johns le regarda puis reporta les yeux sur son compagnon ; puis il le regarda encore, la bouche ouverte ; puis, alternativement, l’un et l’autre. L’homme avait l’air — n’avait pas l’air — humain. Les yeux étaient presque trop écartés, trop allongés — un rien de plus et ils se retrouvaient sur le côté de son visage. Le menton était volontaire et lisse, les dents saillantes et saines, le nez grand et doté de narines si ouvertes qu’elles étaient à la limite du naseau. Charlie savait déjà que les doigts étaient fermes et délicats. Force et délicatesse mêlées — voilà ce qui caractérisait le mieux ce personnage, son visage, son maintien, toute son attitude. Le torse semblait un tout petit peu trop allongé et les jambes un soupçon plus courtes, peut-être que Charlie Johns ne les eût dessinées, s’il avait eu le moindre talent pour le dessin. Et, bien sûr, il y avait cet accoutrement…

— Me vlà donc sur Mars, bredouilla Charlie, cherchant bravement à être drôle et parvenant seulement à être pitoyable dans sa frayeur. Il ébaucha un geste inutile en direction du bâtiment.

À sa grande surprise, l’homme sourit aussitôt et hocha énergiquement du chef. Du doigt, il désigna Charlie, lui-même, puis le bâtiment et, faisant un pas en direction de l’immense fenêtre, l’invita à le suivre d’un geste du bras.

Ma foi, pourquoi pas ?… et pourtant Charlie jeta en arrière un regard appuyé à la porte restée ouverte de la cellule d’argent d’où il avait émergé. Oh, ce n’est pas qu’il l’aimait, non, mais c’était la seule chose, en ce lieu étrange, qui lui fut vaguement familière.

L’homme comprit son sentiment et, pour le rassurer, esquissa du bras une espèce de demi-cercle désignant d’abord le bâtiment puis la cellule, pour signifier qu’il y reviendrait.

Avec un sourire un peu jaune, Charlie Johns fit signe qu’il était d’accord.

L’homme le prit vivement par la main et se mit en route, non vers l’une des extrémités de la pièce, là où pendaient les rideaux, mais vers la fenêtre et, tenez-vous bien, il sortit par la fenêtre. Mais alors, là, il le fit seul, parce que Charlie Johns s’était figé sur place, comme un animal rétif, avant de retourner en courant vers le centre de la pièce, s’appuyer à l’espèce de table sur laquelle l’autre l’avait soigné.

L’homme se tenait maintenant à l’extérieur, les deux jambes écartées, fermement plantées sur rien et lui faisait signe en souriant. Il appelait également mais cela, Charlie ne le vit qu’au mouvement de ses lèvres car il n’entendit rien. Quand on est dans un endroit fermé, on le sent. Pour être plus précis : on l’entend — enfin, quoi qu’il en soit, on le sait, et justement, Charlie SAVAIT qu’il était dans un endroit fermé. Pourtant cette créature en peignoir écarlate avait traversé ce qui fermait la pièce, sans effort et sans casse et la pièce restait fermée, et la fichue créature invitait maintenant Charlie Johns à la rejoindre, joyeusement mais non sans impatience.

Enfin, merde, c’est une question de fierté, se dit Charlie Johns qui s’en découvrit alors totalement dépourvu. Il s’approcha de la fenêtre à pas de loup, se mit à quatre pattes et avança lentement la main vers le panneau transparent. Il était bel et bien là, il l’entendait, il le sentait, mais sa main passait à travers. Il la sortit de quelques centimètres.

L’homme rit (mais il rit AVEC lui, pas DE lui, Charlie en eut la certitude) et marchant sur rien, revint vers lui. Quand il fit mine de prendre la main de Charlie, celui-ci la rejeta vivement en arrière. L’homme rit de nouveau, se pencha en avant et frappa vivement, de la paume, la matière invisible qui soutenait ses pieds. Puis il se redressa et tapa du pied.

D’accord, de toute évidence, il était debout sur QUELQUE CHOSE. Charlie se souvint (ça y est, je recommence à me souvenir !) d’une vieille Antillaise qu’il avait vue, un jour, à l’aéroport de San Juan. Dieu sait pourquoi elle avait pris l’avion et elle rencontrait son premier escalator. Tout un manège ! Et de reculer, et de toucher, et d’avancer le pied, et de sursauter, jusqu’à ce que le rude jeune homme qui l’accompagnait se décide à la saisir à bras-le-corps et à la planter en plein dessus. Elle avait agrippé la rampe et n’avait cessé de pousser des hurlements stridents qui se poursuivirent longtemps après qu’elle eut atteint le sommet. Tout du long, ç’avait été des hurlements de rire.

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