Marc Elsberg - Black-Out. Demain il sera trop tard

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Black-Out. Demain il sera trop tard: краткое содержание, описание и аннотация

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Par une froide soirée d’hiver, le réseau électrique européen commence à lâcher. De nombreux pays s’enfoncent dans l’obscurité et plusieurs centrales nucléaires mettent en danger la vie de millions d’êtres humains. Menace terroriste ou défaillance technique ? Piero Manzano, ex-hacker italien, croit savoir qui est responsable. Avec l’aide d’un policier français d’Europol, François Bollard, Manzano s’engage dans une véritable course contre la montre face à un adversaire aussi rusé qu’invisible.
Marc Elsberg est né en 1967 à Vienne. Depuis la publication en 2012 de
, véritable phénomène éditorial en Allemagne, il est régulièrement invité par tous les médias nationaux allemands pour son expertise scientifique et technique sur les menaces que font peser sur notre société les progrès de l'hyper-connectivité. Un thriller éclairant qui n’a de cesse d’être rattrapé par la réalité. C’est ce qui le rend à la fois intéressant et effrayant. Blaise Gauquelin,
. Un roman aussi apocalyptique que ludique (tant il appuie sur le ridicule de notre schéma énergétique). À lire avant qu’il ne soit trop tard. Hubert Artus,
.
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— On n’a encore trouvé aucun téléphone ni autre moyen de communication, déclara un des hommes.

— Ils n’en avaient pas besoin, répondit Hartlandt. À partir du moment où ils avaient leur itinéraire, ils pouvaient agir en toute autonomie. Ça protégeait les autres.

— Voici la seconde carte », annonça l’un des policiers. Il déplia, devant Hartlandt et le commandant, une carte en meilleur état, où le tracé violet se prolongeait jusqu’en Grèce.

Du coin de l’œil, Hartlandt ne perdait rien du combat que menaient les policiers pour garder en vie l’un des terroristes, en espérant qu’ils y parviendraient.

Bruxelles

Devant le commissariat, les femmes furent conduites dans un petit bus, Manzano dans un plus grand, en compagnie d’autres hommes, dont les fenêtres étaient grillagées. Quatre policiers armés les accompagnaient. Sous les sièges étaient fixées des barres avec des entraves pour les pieds. Les fonctionnaires les contrôlèrent et les attachèrent.

Comme un dangereux criminel, pensa Manzano. Il regardait les façades défiler le long de la route, dans les ténèbres. Les seuls véhicules qu’il vit étaient des blindés militaires, et, hormis des colonnes de soldats, peu de gens dans les rues. Les civils portaient des lampes de poche, les militaires des frontales. Comme dans un de ces foutus films catastrophe, songea-t-il. À l’avenir, je ne regarderai plus que des comédies à l’eau de rose. Si toutefois il y a un avenir.

À proximité de Nuremberg

Le projecteur de l’hélicoptère illumina une cabane au milieu d’un champ. Elle devait faire cinq mètres sur cinq, estima Hartlandt. Le pilote posa sa machine à quelques mètres. À peine les patins avaient-ils touché le sol que Hartlandt et les hommes du GSG-9 sautèrent dans le froid. Courbés, ils couraient pour éviter les remous du rotor.

Les pales de la machine ralentirent, tout devint silencieux. Prudemment, les hommes de l’unité spéciale parcoururent les derniers mètres. Ils firent passer sous la porte une caméra commandée par un câble qui transmettait en temps réel les images à l’ordinateur de Hartlandt. Il ne vit qu’un intérieur vide, seulement un peu de paille sur le sol. Le policier fit pivoter la caméra qui filma la face intérieure de la porte.

« Sécurisé ! » cria-t-il.

Deux hommes fracassèrent la porte à coups de bélier. Les autres éclairèrent l’endroit de leurs puissantes torches. La cabane était vide. Du pied, ils dégagèrent la paille sur le côté.

« Il y a quelque chose, là. »

Ils dégagèrent rapidement une petite fente dessinant une ouverture dans le sol.

De nouveau, l’un des policiers mit la caméra en marche.

Hartlandt identifia des paquets dans du film plastique blanc sur le côté gauche, des jerrycans à droite. Entre les deux, trois caisses de boîtes de conserve, maintenues ensemble par de la bande adhésive transparente. La caméra passa tout l’espace au peigne fin, y compris la serrure.

Au « O.K. » de l’homme à la caméra, ils ouvrirent la trappe. Deux des hommes s’accroupirent pour couper prudemment le film plastique transparent et en inspecter le contenu.

« Des explosifs, annonça l’un deux. Pas d’indications. Il faudra les analyser pour savoir ce que c’est précisément. »

Dans les jerrycans, du diesel.

« Des explosifs, de l’essence, des vivres, résuma le commandant. Il n’y a rien d’autre.

— Ni téléphone ni radio, observa Hartlandt.

— Non. Ils étaient livrés à eux-mêmes. Cette piste s’arrête là. »

Bruxelles

Le bus s’arrêta devant un bâtiment faiblement éclairé. De l’électricité, pensa Manzano. Une imposante porte en fer s’ouvrit, le véhicule s’engouffra dans une grande cour. Le bus plus petit, celui des femmes, le suivit. La cour était entourée de quatre bâtiments comptant chacun trois étages, dont les fenêtres sur les façades étaient éclairées à intervalles réguliers, baignées d’une pâle lumière jaune. Le transport des femmes prit vers la gauche, celui de Manzano continua tout droit à travers un haut porche. De l’autre côté se trouvait un cordon de policiers armés. Les hommes de l’escorte désentravèrent les prisonniers, crièrent pour qu’ils se lèvent et descendent — Manzano s’exécuta. Ayant quitté le bus, on les conduisit dans un long couloir, à l’extrémité duquel attendaient d’autres fonctionnaires devant une grande porte à double battant. Elle ouvrait sur une vaste salle austère d’où émanait une odeur putride. Les prisonniers y furent poussés sans ménagement, puis la porte se referma sur eux dans un inquiétant cliquetis métallique.

Au plafond brillaient quatre néons, dont deux clignotaient. Leur lumière n’atteignait pas les extrémités de la salle. Manzano décela les contours de rangées de lits superposés aux armatures en ferraille — ils encombraient tout l’espace. Entre eux, des hommes tournaient en rond. Il devait y en avoir des centaines.

Je n’ai rien à faire là, songea-t-il.

Au milieu du groupe des nouveaux venus, il ne bougeait pas, dans l’attente de ce qui allait suivre. Personne ne leur avait dit quoi que ce soit ni indiqué une place où patienter. Quelques hommes, affalés sur les lits les plus proches, les apostrophèrent agressivement.

Certes, Manzano ne comprit pas un traître mot, mais il devina sans peine qu’il lui était préférable de ne pas bouger.

« Plus de lit disponible », lui chuchota-t-on. C’était un jeune homme avec qui Manzano avait échangé quelques mots en anglais durant le trajet.

Un autre lui parla à son tour, le jeune homme faisait office d’interprète.

« Plusieurs prisons bruxelloises ont été évacuées dans celle-ci. Toutes les cellules sont pleines. C’est censé être le gymnase. Il y a toutes sortes de détenus. Du vol à l’étalage au détournement d’argent et au meurtre. Il faut qu’on se tienne tranquilles, qu’on fasse ce qu’on nous dit. »

Manzano chercha un recoin libre, à même le sol poisseux.

Dixième jour — lundi

Bruxelles

Il se réveilla au milieu des cris et des hurlements de panique. Avant même d’avoir pu ouvrir les yeux, il remarqua l’odeur bien reconnaissable qui venait masquer la puanteur des lieux.

Incendie.

Pris de panique, Piero se leva au milieu des châlits et vit immédiatement, au centre de la pièce, des flammes de la hauteur d’un homme. Une fumée noire s’accumulait sous le plafond.

Nombreux étaient les détenus à s’être rassemblés contre les murs. Une foule importante se pressait à la porte, d’autres s’affairaient autour du feu, y jetant des matelas — Manzano ne savait pas bien si cela étouffait le brasier ou, au contraire, le nourrissait.

Les fumées, de plus en plus lourdes, emplissaient la pièce.

Les fenêtres étaient à six mètres du sol, et si étroites que personne n’aurait pu s’y faufiler, quand bien même on serait parvenu à les atteindre.

La foule qui se bousculait vers la porte devenait plus importante, ainsi que les groupes cherchant à fuir par d’autres sorties, plus discrètes, que Manzano découvrait seulement. Ils criaient à l’aide, frappaient des poings ou essayaient de dégonder les portes au moyen d’éléments métalliques pris à l’armature des châlits.

La fumée lui piquait la gorge, les détenus toussaient tant et plus, couvrant leurs visages de mouchoirs ou de vêtements.

Des détonations retentirent.

Un battant de l’entrée principale s’ouvrit soudain, des hommes se ruèrent dans l’ouverture, puis d’autres détonations — qui ne parvenaient pas à couvrir les clameurs d’effroi.

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