Frédéric Frédéric - La sexualité

En Suisse, le mot « thé » signifie : infusion, tisane. Note du traducteur suisse-romand .

Peut-être est-il bon d’indiquer aux non-initiés que le conseiller Schwarzenbach prône la limitation de la main-d’œuvre étrangère en Suisse.

J’allais écrire : « à cet instant », mais faut pas chérer.

Rassurez-vous : s’il s’était agi d’un chat, je lui aurais fait annoncer la chose à Madame.

Je savais que j’allais vous en foutre un avant la fin du chapitre.

Tout porte à croire que le Gros a voulu parler d’une vision d’Apocalypse.

Je dis que le Vieux est omniprésent parce qu’il est dans tous ses états. C’est très boiteux, un peu cucul, mais je ne peux pas m’en passer. Le calembour, c’est la chaise longue des méninges.

Y a des fourrés de la coiffe qui croient encore que j’estropie le français accidentellement. Qu’ils se rassurent : tout ça est délibéré, mes gueux. C’est de la mutilation volontaire.

Comment auriez-vous souhaité que je l’appelle, hmm ? Allons voyons… J’ai des traditions à respecter, moi, mes petits. Ce que je fais n’a l’air de rien, mais c’est tout de même un métier.

Du verbe gourmander.

Du verbe arraisonner.

Myriadique. À verser au dossier.

San-Antonio est un auteur qu’il faut savoir lire en marche.

Pourquoi toujours dire « à la dérobée » ?

J’écris le mot péché en italien car tout le monde comprend et ça fait plus vrai.

Comme dirait Anouilh.

Je ne réponds pas de l’orthographe, n’ayant passé que 48 heures en classe d’inca au lycée.

On n’en est plus à ça près, hein ?

C’est la puissance et la sobriété des images qui font l’intérêt de la pensée san-antoniaise.

Je me convertis lentement à la politesse.

Je suis un adverbiste pas très distingué mais fervent.