Victor Hugo - Les Misérables Tome II – Cosette
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[77]Contractions abdominales douloureuses consécutives à l'accouchement.
[78]V. Hugo rappelle ici directement son exil, au moment où son héros se trouve traqué comme lui-même l'avait été en décembre 1851.
[79]Sous l'impulsion du baron Haussmann.
[80]Ce chapitre et le suivant datent de l'exil; ils étaient exigés par le «dépaysement» du couvent – voir note 2 du livre suivant.
[81]V. Hugo néglige de donner au pont son nom monarchique: «pont du Jardin du Roi», comme il l'a lui-même expliqué dans L'Année 1817 .
[82]Ce «Y», imaginé une fois le couvent «dépaysé» sur la rive droite, prend sens par rapport au «A» de Waterloo, commencement d'une histoire dont le couvent, à une lettre près, aurait pu être l'achèvement.
[83]Triste modernisation de Paris, fondée essentiellement sur des jeux et des prisons. Mazas était bien connue de la famille Hugo puisque c'est là qu'en 1850 les fils Hugo avaient été incarcérés, pour délit de presse.
[84]Quartier imaginaire où Hugo, en 1862, a transposé point par point la topographie réelle du couvent de la rue Neuve-Sainte-Geneviève décrit en 1847.
[85]Comme le Besançon du premier poème des Feuilles d'automne! C'est un indice de l'investissement autobiographique dans l'épisode du couvent.
[86]«Il s'était adossé à cet angle et s'était hissé, avec la seule force musculaire des épaules, des coudes et des talons, jusqu'au toit. […] On le reprit dans le Palais de Justice. Il s'appelait Battemolle.» (Récit de la visite du Palais de Justice dans Choses vues , ouv. cit., 1830-1846, p. 406.)
[87]Écho de la formule du Richard III de Shakespeare: «Mon royaume pour un cheval!»
[88]Tous ces détails rappellent le jardin des Feuillantines; «[…] une immense allée gazonnée, au fond une superbe allée de marronniers, dans un coin un puisard desséché, assez escarpé et profond […]. Des fouillis de broussailles, toutes sortes de coins, […].» ( Victor Hugo raconté …, ouv. cit., p. 127.)
[89]Le texte de l'édition «de l'Imprimerie nationale» dit: «une assez grosse cloche».
[90]Le lecteur, lui aussi, se souvient de I, 5, 7: Le père Fauchelevent devient jardinier à Paris.
[91]Pastiche de La Fontaine: «Honteux comme un renard qu'une poule aurait pris.» ( Fables , I, 18, Le Renard et la Cigogne.)
[92]Pourquoi 62? Peut-être parce que 1862, date de l'achèvement et de la publication du livre, répond au 1851-1815 du numéro 50-52 de la masure Gorbeau. Dans une page du manuscrit Hugo écrit, par un lapsus significatif, «52 de la petite rue Picpus».
[93]Une série de transformations successives a abouti à ce couvent, irréel mais démonstratif. La dernière, contemporaine de l'ajout du livre 7, achève d'éloigner le Petit-Picpus de son modèle: le couvent des bénédictines de l'Adoration Perpétuelle du 12, rue Neuve-Sainte-Geneviève, aujourd'hui installées à Rouen. À la source originelle, encore non identifiée, se sont ajoutées des informations venues de Léonie Biard – dont la tante était demeurée plusieurs années rue Neuve-Sainte-Geneviève – et de Juliette, prisonnière plus que pensionnaire, dans son enfance, du couvent des Dames Saint-Michel, ainsi que des sources documentaires ordinaires: Moréri, Sauval, etc.
Sur le manuscrit, Hugo note qu'il «dépayse» le couvent – et modifie l'ordre dont il relève, mais non les rites – pour éviter les «criailleries» des ordres existants et les «tracasseries» possibles. Prétexte plus que vraie raison: en cela Hugo agit de la même manière que pour la barricade ou Mgr Myriel: la précision de l'information combinée aux décalages permet aux «effets de réel» de fonctionner sans cantonner le texte dans l'exactitude ponctuelle: d'harmoniser dans une vérité nouvelle le sens voulu par le roman et le respect de la réalité. Ajoutons que Le Père Goriot avait rendu célèbre la rue Neuve-Sainte-Geneviève: adresse de la pension Vauquer – sorte de couvent, d'un autre style.
[94]Ordre inventé par Hugo qui utilise, en le déformant un peu, le nom d'un réformateur espagnol de l'ordre cistercien, Martin de Vargas, mort en 1446.
[95]Textuellement: «Elle n'apprendra ni à lire ni à écrire sans l'autorisation expresse de la Supérieure.»
[96]Cette précision, exacte pour les communautés de la rue Neuve-Sainte-Geneviève et de la rue Picpus, prépare aussi l'épisode du livre 8.
[97]Souvenir de Léonie Biard, alors petite fille, à qui l'on interdit effectivement de passer sa main à travers les barreaux pour la donner à sa tante.
[98]La même antithèse intitule Les Rayons et les Ombres .
[99]Ce châtiment, comme la description du réfectoire, vient de Juliette dont le couvent, maison de redressement et prison pour «filles repenties» est aussi contradictoire avec le pensionnat chic de Léonie que le sont les «sévérités» des religieuses avec les «gaîtés» des enfants.
[100]«Personne ne communiquera nos règles ou nos institutions aux étrangers.»
[101]Cette «duchesse» n'est autre que Juliette. Hommage flatteur si, lors de son intervention précédente – pour la «petite patenôtre blanche» – la même Juliette n'avait été désignée comme «vieille[s] femme[s] aujourd'hui». La contradiction qui caractérise tout le couvent, – et le fait même d'emprunter, pour le décrire, aux deux amantes, rivales entre elles de surcroît – s'étend ici à une seule des informatrices.
[102]Cette grande dame, séquestrée et passant pour morte, est une sorte de double féminin de Jean Valjean.
[103]Ce que cachait aux pensionnaires le rideau de serge, et qui donne sens – grotesque, galant et nostalgique – à l'anecdote, Hugo lui-même le savait, et beaucoup de ses contemporains. Chateaubriand, par exemple, qui fait ce portrait: «Le duc de Rohan était fort joli; il roucoulait la romance, lavait de petites aquarelles et se distinguait par une étude coquette de toilette. Quand il fut abbé, sa pieuse chevelure éprouvée au fer avait une élégance de martyr. Il prêchait à la brune, dans des oratoires, devant des dévotes. […] Guérin, faisant le portrait de l'abbé-duc, lui adressait un jour des compliments sur sa figure; l'humble confesseur lui répondit: «Si vous m'aviez vu priant.» (Mémoires d'outre tombe, texte cité par G. Venzac, Les Premiers Maîtres de V. Hugo , Bloud et Gay, 1955, p. 259.)
[104]C'est Juliette qui montait «aux commodités», au second étage, pour voir le visage du joueur de flûte. Contrairement aux personnages du roman, elle ne put jamais en «distinguer l'âge ni la figure».
[105]«De mérite inégal, trois corps pendent à des branches: Dismas et Gesmas, entre eux deux, la puissance divine. Dismas aspire au royaume d'en haut, Gesmas, le malheureux, au royaume d'en bas. Que sur nous et nos biens s'étende la protection de la puissance suprême. Récite ces vers et tes biens ne te seront pas volés.»
[106]Dans cette liste de noms se distinguent les noms d'origine maternelle: Auverné, où Sophie Hugo avait vécu, nom déjà donné au héros de Bug-Jargal ; les noms d'origine paternelle: Cogolludo, Cifuentès et Siguenza: lieux d'Espagne dont Joseph avait fait comte Léopold Hugo; La Miltière et La Laudinière: propriétés achetées par le père de Hugo près de Blois; les noms venus de l'enfance: Mlle Roze, dont l'homonyme, Mlle Rose fascinait l'enfant Hugo lorsqu'elle mettait ses bas (voir Victor Hugo raconté …, ouv. cit., p. 102); les noms venus de l'amour, Juliette se trouvant ici sous son patronyme réel, Mlle Gauvain, et sous son nom de théâtre, Mlle Drouet.
[107]Il s'agit de la «lettre écrite il y a vingt-cinq ans par une ancienne pensionnaire» citée p. 391. En fait, le texte reprend ici non le manuscrit de Juliette, mais celui de Léonie!
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