Victor Hugo - Les Misérables Tome II – Cosette
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[14]Hugo écrit 46 ans après Waterloo, et Napoléon avait 46 ans le 18 juin 1815, comme Jean Valjean à sa sortie du bagne.
[15]Voici l'inscription: Dom – Cy a été écrasé – par malheur – sous un chariot – Monsieur Bernard – de Brye marchand – à Bruxelles le (illisible) – febvrier 1637
[16]Ce guide s'appelait en réalité Decoster.
[17]Hymne patriotique et républicain plus encore qu'impérial, aussi célèbre que La Marseillaise pendant la période révolutionnaire. Il fut chanté à nouveau en 1840.
[18] Splendid ! (mot textuel).
[19]Souvenir d'enfance: des grenadiers hollandais faisaient partie de l'escorte où la voiture de Mme Hugo avait pris place pour traverser l'Espagne et ce sont eux qui remirent sur la route sa voiture à-demi versée au bord d'un précipice. Hugo règle ici, équitablement, d'anciens comptes avec Wellington, vainqueur en Espagne de Joseph et du général Hugo, et dont l'avancée avait jeté sur la route du retour en France, avec les autres familles françaises, Mme Hugo et ses deux cadets. Les grenadiers ont changé de camp; mais V. Hugo lui-même, en 1814 et en 1815, applaudissait l'entrée des Alliés à Paris tandis que son père défendait Thionville contre eux.
[20]Hugo retrouve ici les accents de L'Expiation (Châtiments, V, 8): «Soudain, joyeux, il dit: Grouchy! – c'était Blücher.»
[21]«Tel était le destin»: parodie du « Hoc erat in votis »: «C'est ce que je souhaitais», d'Horace ( Satires , II, 6, 1). Transposition pertinente, car le destin est par définition ce qui contrecarre nos projets.
[22]On sait que Lamartine, dans son Cours familier de littérature , vit dans le «mot» de Cambronne pure «démagogie grammaticale». Hugo répondit à Lamartine, aux critiques et aux historiens qui contestaient l'authenticité de cet «excrément»: «Il entrait de droit dans mon livre. C'est le misérable des mots.»
[23] William Shakespeare justifiera longuement ce droit au shocking en des termes très proches: «Défense de hanter le cabaret du sublime. […] Un curieux genre pudibond tend à prévaloir; nous rougissons de la façon grossière dont les grenadiers se font tuer; la rhétorique a pour les héros des feuilles de vigne qu'on appelle périphrases; il est convenu que le bivouac parle comme le couvent, […]. […] un vétéran baisse les yeux au souvenir de Waterloo, on donne la croix d'honneur à ces yeux baissés; de certains mots qui sont dans l'histoire n'ont pas droit à l'histoire, et il est bien entendu, par exemple, que le gendarme qui tira un coup de pistolet sur Robespierre à l'Hôtel de Ville se nommait La-garde-meurt-et-ne-se-rend-pas .» (II. 2, 4.) On voit que Hugo ne pardonnait pas à Lamartine d'avoir les pudeurs d'une Mlle Gillenormand aînée.
[24]«Combien pèse le chef?» (Juvénal, Satires , X). Hugo aime la formule: voir l'épigraphe du poème XIII des Feuilles d'automne consacré à Napoléon: « Quot libras in duce summo ?» et, dans William Shakespeare (II, 4, 1): « Quot libras in monte summo? »
[25]Une bataille terminée, une journée finie, de fausses mesures réparées, de plus grands succès assurés pour le lendemain, tout fut perdu par un moment de terreur panique (Napoléon, Dictées de Sainte-Hélène).
[26]Le soldat de fer vaut le «duc de fer», surnom de Wellington.
[27]Chiffres donnés par le journal L'Étoile belge du 6 juin 1861.
[28]Voir, plus haut, la note 13 du même livre.
[29]Date de l'entrée de Napoléon dans Paris, premier des Cent-Jours.
[30]Le postillon désigne Murat, fils d'aubergiste mais qui n'avait jamais été postillon. Le «sergent» est Bernadotte, sergent-major en 1789.
[31]Compagnon du général Hugo en Espagne, blessé à Waterloo, Foy fut le principal orateur de la gauche libérale à la Chambre, de 1819 jusqu'à sa mort. Le peuple de Paris lui fit, en 1825, des funérailles grandioses. Dans l'histoire, et dans le roman, il fut relayé par le général Lamarque (voir IV, 10, 3).
[32]Médecin de Louis XVIII.
[33]Surnom de Jacques Dupont, un des chefs de la Terreur Blanche à Nîmes. Victor Hugo avait contribué à répandre sa «gloire» par un article du Conservateur littéraire de 1820.
[34] Nec pluribus impar était la devise de Louis XIV: «incomparable».
[35]Cet article avait dans la Charte «octroyée» le rôle de l'article 16 dans notre constitution actuelle.
[36]Le poème des Châtiments «Aux morts du 4 décembre» (I, 4) était déjà construit sur cette ambiguïté du mot «paix».
[37]Écho de la proclamation de Napoléon quittant l'île d'Elbe le 25 février 1815: «La victoire marchera au pas de charge; l'Aigle, avec les couleurs nationales, volera de clocher en clocher jusqu'aux tours de Notre-Dame.»
[38]Début d'une épigramme de Virgile contre un plagiaire où le poète se compare – et s'adresse – à ceux qui travaillent pour d'autres: «Oiseaux, vous édifiez des nids, mais ce n'est pas pour vous…»
[39]Chauves-souris.
[40]L'auteur ne s'abstient pas sans quelque ironie de commenter le comportement des armées de Napoléon III. Les Châtiments , eux, disent, violemment, que depuis 1830 l 'armée a perdu, en Algérie, toutes ses traditions d'honneur.
[41]Le Palatinat ayant été ravagé en 1693, Turenne, mort en 1675, n'y fut pour rien. Mais il est vrai qu'il «tolérait le pillage».
[42]La Gazette des tribunaux ne fut régulièrement publiée qu'à partir de 1825. Les articles suivants – dont le narrateur invite explicitement à apprécier le style et l'exactitude – sont évidemment factices. Ils mettent d'autant mieux en œuvre l'effet de réel tiré de la citation d'un document que le lecteur est capable de les critiquer.
[43]Citation exacte du poème Le Pauvre Diable de Voltaire (1758).
[44]«Il creuse, et cache, dans une sombre fosse, des trésors, / Un sou, de l'argent, des cailloux, un cadavre, des fantômes, rien du tout.» Ce latin barbare, ce Tryphon, pourraient bien sortir de l'imagination de Hugo. Ce ne semble pas être entièrement le cas puisque, dans une lettre au critique A. Darcel du 29 mai 1862, Hugo dit avoir trouvé ce «Tryphon et les crapauds de sa tombe» dans «le travail d'Auguste Leprévost sur Saint-Georges de Bocherville.» (éd. J. Massin, t. XII, p. 1173.)
[45] L'Orion , lancé en 1813, servit bien de «vaisseau-école» mais il fut toujours basé à Brest où Hugo le vit en avril 1834.
[46]L'Espagne, après une brève expérience de monarchie libérale (1820-1822), connut une réaction violente, ultra et cléricale, qui donna à la Sainte-Alliance, au Congrès de Vérone de 1822, l 'occasion d'intervenir. Chateaubriand, piégé par son rêve de gloire, accepta que l'armée française aille, «sous le drapeau blanc», effacer à la fois la cause libérale espagnole et les souvenirs des armées napoléoniennes. Cette guerre, très impopulaire en France, fut l'occasion d'une véritable terreur blanche que le duc d'Angoulême s'efforça de contenir, d'où son nom «le héros d'Andujar».
[47]Voir la note 7 de la première partie, livre 2.
[48]Ce jugement implique la condamnation du grand responsable de cette «guerre» piteuse et qui devait être glorieuse pour son initiateur, Chateaubriand.
[49]«Le roi pur et simple»: mot d'ordre des «absolutistes».
[50]Nom colonial donné à tous les insectes ailés et piquants. Toute cette description est textuellement reprise d'une page de l'album de voyage de 1839, lorsque Hugo visita Toulon. Quelques lignes plus haut, Hugo avait noté: «Cariatides de Puget […]. Vieux forçat en cheveux blancs, assis sur une borne, sa grosse chaîne au côté […].» Et, d'une autre écriture: «Jean Tréjean» (premier nom donné au héros).
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