Victor Hugo - Les Misérables Tome II – Cosette

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À la bataille de Waterloo, Thénardier avait détroussé le colonel baron Pontmercy, tout en lui portant secours. Nous sommes en 1823. Jean Valjean a été repris et renvoyé au bagne. Il s'évade de nouveau, on le croit noyé. Ayant caché sa fortune près de l'auberge des Thénardier, il délivre Cosette de cet enfer…

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[51]L'épisode est inspiré par un événement réel (juin 1847) sur lequel Hugo avait été précisément documenté. Il en intitule le récit manuscrit: «Note écrite pour moi dans les premiers jours de juin par M. le baron La Roncière Le Nourry, aujourd'hui (mai 1860) capitaine de vaisseau, ami de Napoléon Jérôme et prochainement contre-amiral.» Le texte de Hugo reprend parfois mot pour mot cette note, mais le forçat ne s'était pas évadé.

[52]La date du 16 novembre 1823 est celle de la dernière lettre connue d'Eugène, lettre pleine d'amertume, de jalousie et de sentiment d'abandon. Peut-être est-ce de ce jour que Hugo date le moment où son frère s'enfonce dans le silence et la demi-mort de la folie.

[53]Une note de Hugo prouve son intention d'indiquer «que J. Tréjean se regarde comme la cause du malheur de Fantine et que tout ce qu'il fait pour Cosette est une réparation». Il n'y a pas donné suite et ce titre seul indique ce motif du dévouement de Jean Valjean à Cosette en même temps que la nature des paroles dites à Fantine en I, 8, 4.

[54]Ce rapace américain semble avoir ravi Hugo qui l'a noté dans un carnet avant d'introduire cet oiseau bonapartiste à Montfermeil.

[55]Ce sont les mêmes mauvaises herbes que M. Madeleine sait, lui, «extirper» – voir note 4 en II, 4, 3.

[56]Pour la première apparition de Gavroche, cette phrase traduit à peu près le début du Psaume 129, chanté à l'office des morts: « Deprofundis clamavi ad te Dominum »: «Du fond des ténèbres j'ai crié vers toi, Seigneur.» Le célèbre premier poème des Feuilles d'automne : « Ce siècle avait deux ans… » fait percevoir ce que ce cri a d'autobiographique:

Un enfant sans couleur, sans regard et sans voix

Si débile qu'il fut ainsi qu'une chimère

Abandonné de tous excepté de sa mère.

[57]Hugo donnait cet aimable surnom à Pierre Leroux.

[58]Colonie française fondée au Texas en 1818 par quelques centaines de bonapartistes et libéraux proscrits. Une souscription avait été lancée par le journal La Minerve , début 1819, pour soutenir les colons.

[59]Voir II, 1, 19.

[60]Sur la présence de cette image obsédante, depuis Notre-Dame de Paris » voir aussi, par exemple, Javert en II, 5, 10 et l'égout en V, 3, 7.

[61]La suppression du «de» n'est pas vraiment populaire, puisque Mme Hugo elle-même écrit ainsi, mais tend à le devenir.

[62]Peut-être les cheveux de Fantine.

[63]Hugo emploie ici une chose entendue et notée: Choses vues , ouv. cit., 1847-1848, p. 57.

[64]Une ancienne coutume, pratiquée jusqu'à la fin de la monarchie, voulait qu'un condamné à mort rencontré par le Roi fût gracié. Le condamné du Dernier Jour attendait vainement cette rencontre. Ici, elle authentifie en quelque sorte la grâce acquise et la redouble.

[65] Les Deux Forçats ou La Meunière du Puy-de-Dôme fut effectivement joué à la Porte-Saint -Martin, mais en 1822 et en tout cas pas le jour de Noël où les théâtres faisaient relâche.

[66]Cette notation transpose sur les trois fillettes l'inquiétude qu'éprouva un jour Hugo au spectacle de la rencontre, notée dans Choses vues (ouv. cit., 1830-1846, p. 333), d'un pauvre homme «maigre, hagard […] la tête nue et hérissée» avec la voiture d'une dame «en chapeau rose […] fraîche, blanche, belle, éblouissante […]». «L'homme avait sous le bras un pain. Le peuple disait autour de lui qu'il avait volé ce pain et que c'était à cause de cela qu'on l'emmenait. […] Cette femme ne voyait pas l'homme terrible qui la regardait.

«Je demeurai pensif.

«Cet homme n'était plus pour moi un homme, c'était le spectre de la misère, c'était l'apparition difforme, lugubre, en plein jour, en plein soleil, d'une révolution encore plongée dans les ténèbres, mais qui vient. […] Du moment où cet homme s'aperçoit que cette femme existe, tandis que cette femme ne s'aperçoit pas que cet homme est là, la catastrophe est inévitable.»

[67]Avec le prénom primitivement donné à Marius – Thomas – cette poupée forme l'identité complète de Catherine Thomas: la femme auprès de qui, dès 1803 vraisemblablement, Léopold se consola de l'absence de sa femme, et qu'il finit par épouser sitôt Sophie morte, en septembre 1821, au scandale de ses fils. Autant qu'une réconciliation posthume avec son père et un hommage, on peut voir là, de la part de Hugo, de l'amertume – poupée que cette Catherine! – voire une terrible dérision: la «dame» remplace Fantine auprès de Cosette comme Catherine remplaçait Sophie. Mais on peut spéculer à perte de vue – ou rêver – puisque Catherine était aussi le dernier prénom donné à Léopoldine, dont un des surnoms était «poupée».

[68]Organe des «doctrinaires», libéral, et dont le programme était «d'infliger la publicité aux hommes politiques». Quelque chose donc d'intermédiaire entre Le Canard enchaîné et Le Monde .

[69]Les manuscrits du Victor Hugo raconté par Adèle Hugo disent comment, au retour d'Espagne dont c'est un des très rares souvenirs, le petit Victor perdit deux cadeaux paternels. Une pièce d'or, offerte par le comte de Tilly, en qui d'autres détails permettent de reconnaître une figure paternelle, se perdit dans une fente de la voiture et ne fut jamais retrouvée; une montre en or, donnée à l'enfant par son père, glissa de la poche de son pantalon, dans des circonstances pudiquement évoquées mais assez précisément pour qu'on comprenne qu'elle dut rejoindre l'égout. Deux gestes manques par lesquels Victor sanctionnait et assumait la perte de son père. Les dons de Jean Valjean adoptant Cosette retournent exactement ces maladresses et, chez Victor Hugo, l'or restera durablement lié à la paternité.

On se souviendra enfin qu'en cette année 1823, Hugo revoit pour la première fois son père avec qui il avait renoué des relations progressivement plus affectueuses depuis la mort de Sophie, mais qu'il n'avait pas revu depuis 1815. Léopold venait assister au baptême du premier enfant de son fils – Léopold, qui mourra deux mois plus tard – et traiter avec Ladvocat pour la publication de ses Mémoires . L'ode À mon père célèbre ces retrouvailles.

[70]Cette lettre, déjà lue en I, 6, 1, ne portait pas alors de date. Celle-ci s'explique: du 25 mars au 25 décembre 1823 se sont écoulés exactement les neuf mois qui séparent l'Annonciation de la Noël, et cette «nativité» de Cosette fait symboliquement de Jean Valjean sa mère. (Voir aussi note 6 du livre suivant et «C'est peut-être ma mère cet homme-là!» – IV, 3, 6; p. 705.)

[71]On l'a compris depuis longtemps, mais le roman tient à ne rendre au héros son identité qu'après l'adoption de Cosette. Elle le rend à la vie en une sorte de résurrection ou de seconde naissance, et à lui-même en l'exposant à de nouvelles épreuves.

[72]Ce promeneur rousseauiste est bien sûr Hugo lui-même, déjà «passant» à Waterloo (II, 1,1), bientôt nommé «rôdeur de barrières» (III, 1, 5).

[73]Dans cet intervalle, prophétique – car l'hésitation appartient à la première rédaction -, se lit la date de 1851, année du coup d'État et du départ en exil. Mais c'était déjà, en 1845- 1848, l 'inversion de 1815.

[74]En mai 1827, Ulbach, âgé de vingt ans, tua la jeune fille qu'il aimait. Ce souvenir reparaîtra en IV, 2, 1.

[75]Par son numéro et son voisinage (Hôpital, départ de la chaîne du bagne, lieu des exécutions capitales) cette maison est donc localisée au centre même de la misère.

[76]Cette petite digression est de celles, très nombreuses, par lesquelles le roman s'offre comme livre total et virtuellement unique: Bible religieuse autant qu'encyclopédie des connaissances utiles. Énigmatique cependant est la date de juillet 1845. Peut-être exacte, elle ne pouvait pas ne pas rappeler à Hugo ce matin du 5 juillet 1845 où il fut surpris en «flagrant délit d'adultère» avec Léonie Biard.

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