Victor Hugo - Les Misérables Tome III – Marius
Здесь есть возможность читать онлайн «Victor Hugo - Les Misérables Tome III – Marius» весь текст электронной книги совершенно бесплатно (целиком полную версию без сокращений). В некоторых случаях можно слушать аудио, скачать через торрент в формате fb2 и присутствует краткое содержание. Жанр: Классическая проза, на французском языке. Описание произведения, (предисловие) а так же отзывы посетителей доступны на портале библиотеки ЛибКат.
- Название:Les Misérables Tome III – Marius
- Автор:
- Жанр:
- Год:неизвестен
- ISBN:нет данных
- Рейтинг книги:4 / 5. Голосов: 2
-
Избранное:Добавить в избранное
- Отзывы:
-
Ваша оценка:
- 80
- 1
- 2
- 3
- 4
- 5
Les Misérables Tome III – Marius: краткое содержание, описание и аннотация
Предлагаем к чтению аннотацию, описание, краткое содержание или предисловие (зависит от того, что написал сам автор книги «Les Misérables Tome III – Marius»). Если вы не нашли необходимую информацию о книге — напишите в комментариях, мы постараемся отыскать её.
Les Misérables Tome III – Marius — читать онлайн бесплатно полную книгу (весь текст) целиком
Ниже представлен текст книги, разбитый по страницам. Система сохранения места последней прочитанной страницы, позволяет с удобством читать онлайн бесплатно книгу «Les Misérables Tome III – Marius», без необходимости каждый раз заново искать на чём Вы остановились. Поставьте закладку, и сможете в любой момент перейти на страницу, на которой закончили чтение.
Интервал:
Закладка:
[93]V. Hugo y avait demeuré avec sa mère et Eugène en 1821, dans un rez-de-jardin. C'est là que Sophie mourut en juin 1821. M. Mabeuf tient peut-être du vieux La Rivière, premier maître de Victor et d'Eugène, son goût, du latin et des livres, et des Feuillantines sa passion du jardinage. Son nom, que Gavroche jugera «farce» (IV, 4, 2), tire sans doute son origine de l'unique faute d'orthographe faite par Victor dans sa première dictée où il avait écrit «beuf» pour «bœuf».
[94]Cette amitié confirme la présence sous-jacente des Feuillantines dans le personnage de Mabeuf: Royol tenait un cabinet de lecture où les enfants Hugo, lors du second séjour aux Feuillantines (1812-1813), allaient «essayer» pour leur mère les livres qu'elle louait – voir le Victor Hugo raconté… , p. 135. Sa librairie avait fermé en 1821.
[95]Village annexé à Paris en 1817, situé entre la Salpétrière et l'actuel boulevard de la Gare, derrière le boulevard de l'Hôpital.
[96]Cette légende, toute symbolique, avait été trouvée par Hugo, pendant l'exil, dans un journal.
[97]Amis, d'après Le Droit et la Loi , plutôt de Lahorie que du général Hugo.
[98]L'autobiographie accélérée conduit le Marais de 1832 à une attitude morale et à des convictions proches de celles de Hugo en 1862, quoique la description du manuscrit par M. R. Journet et G. Robert ne donne pas ce passage comme ajouté en 1860-1862. Évidente aujourd'hui, l'autobiographie politique de Hugo dans le personnage de Marius semble n'avoir pas été d'emblée bien perçue – voir le fragment publié par H. Guillemin (repris dans l'éd. J. Massin, t. XVI, p. 455): «J'avais fait, sous le nom de Marius, des quasi-mémoires, expliquant ce que j'ai appelé quelque part [dans Littérature et Philosophie mêlées , «But de cette publication»] la révolution intérieure d'une conscience honnête. Ceci n'a été compris qu'à moitié.»
[99]Parodie de Fontenelle: «Sonate, que me veux-tu?»
[100]Hugo adapte ici un souvenir de l'Assemblée législative de 1849-1851 qui sera raconté dans Le Droit et la Loi (éd. J. Massin, t. XV, p. 593): «Un député, ancien libéral rallié aux servitudes, demandait qu'il n'y eût plus qu'un seul journal, Le Moniteur , ce qui faisait dire à son voisin, l'évêque Parisis: Et encore! »
[101]Autoportrait très ressemblant de Hugo à vingt ans. Mais ses cheveux étaient châtain clair.
[102]Voici réapparaître le quartier de la jeunesse de Victor qui hanta le Luxembourg pour y voir Adèle en 1820-1821.
[103]Troisième verset de la Genèse: «Et la lumière fut.»
[104]Particulièrement vrai de Hugo qui ne vit pas Léopoldine grandir et s'obstinait – sa femme le lui fait observer – à l'appeler «ma Didine» quand elle était déjà une grande jeune fille.
[105]Voir I, 3, 1, note 27 et le passage du Victor Hugo raconté … (p. 305) où est raconté comment V. Hugo se fit le «nègre» de l'académicien. «L'obligeant écolier démontra en une vingtaine de pages l'originalité de Gil Blas et l'académicien mit en tête de l'édition Didot cette étude qu'il signa de son nom.»
[106]Dictionnaires et traités de versification latine.
[107]Encore un trait autobiographique que trahissent, avec simplicité, les Lettres à la fiancée .
[108]Mars 1822, la cheville d'Adèle avait déchaîné de la même façon la jalousie de Victor qui avait sermonné sa «fiancée», très sérieusement argumenté sur la question et concluait: «Je te supplie désormais, bien aimée Adèle, de prendre garde à ce que je te dis ici, si tu ne veux m'exposer à donner un soufflet au premier insolent dont le regard osera se tourner vers toi; tentation que j'ai eu bien de la peine à réprimer hier et aujourd'hui et dont je ne serais plus sûr d'être maître une autre fois.» (Lettre du 4 mars 1822, éd. J. Massin, t. I, p. 1181.)
[109]La métaphore de la mine était déjà présente dans Le Rhin : «De leur côté, tous les ans, le second jour de la Pentecôte, les notables de Coblentz et de Rhens se réunissent au même lieu sous prétexte de fête, et confèrent entre eux de certaines choses obscures; commencement de commune et de bourgeoisie faisant sourdement son trou dans les fondations du formidable édifice germanique déjà tout construit; vivace et éternelle conspiration des petits contre les grands germant audacieusement près du Königstühl, à l'ombre même de ce trône de pierre de la féodalité.» (éd. J. Massin, t. VI, p. 279.). La métaphore théâtrale du «troisième dessous» était, elle, déjà employée par Balzac dans Splendeurs et Misères des courtisanes , où elle sert une représentation très différente de la société.
[110]Le «socialisme utopique».
[111]«Les enfers», ou, littéralement, «ceux d'en dessous». Le mot renvoie à Dante, voir la note suivante.
[112]Tyran italien du XIIIe siècle que Dante rencontre aux enfers, dévorant par la base du crâne la cervelle d'un autre damné. Celui-ci, de son vivant, l'avait enfermé dans une tour avec ses enfants, dont il avait mangé les corps. Voir Dante , L'Enfer , chant XXXIII:
«Aveugle, alors déjà,
Je me mis à chercher chacun d'eux…»
[113]Bobèche: pitre célèbre sous l'Empire et la Restauration. Bobino: théâtre, situé rue Madame, où l'on jouait des pantomimes. À partir de 1828, l 'autorisation fut donnée d'y représenter des vaudevilles et des comédies.
Le portrait de Gueulemer semble bien inspiré d'un (ou plusieurs) portefaix d'Avignon avec lequel Hugo avait eu des démêlés en 1839: «[…] espèces de géants mal taillés, laids, trapus, robustes carrés, velus, odieux à voir. […] La face sinistre et louche du portefaix vous remet d'étranges souvenirs en mémoire; […] vous voyez apparaître […] l'ombre pâle du maréchal Brune et vous entendez ricaner Trestaillon.» (Carnet du voyage de 1839, éd. J. Massin, t. VI, p. 767-768.)
[114]Dernier de la série des «élégants» – Tholomyès, Bamatabois, Théodule – il hérite d'un trait du portrait de Gilé qui lui a été réservé: la touffe de cheveux. (Voir le texte du Victor Hugo raconté … donné en note 16 de I, 5.) Derrière le surnom de Montparnasse, on ne sait si l'on doit deviner le séjour des Muses ou le tout neuf cimetière, inauguré en 1824. Notons enfin que c'est sur un ton et un rythme très proches qu'est écrit le portrait de Morny au début de Histoire d'un crime , comme si l'escarpe et le duc étaient un peu cousins, par le dandysme et la cruauté.
[115]En I, 3, 6.
[116]Après Ugolin (voir note 112 ci-dessus), autre image inquiétante de l'auteur, homérique bandit des lettres. On aurait aimé que Hugo développât l'idée de dialogue indiquée dans cet intitulé isolé:
«Une négresse appelée Mamzelle Juridique – Homère Hogu.» ( Fragments dramatiques , éd. J. Massin, t. XII, op. 1051.)
[117]Autocitation ironique d' Hernani (III, 6: grande scène fameuse des portraits): «J'en passe et des meilleurs.»
[118]Horace, Satires , I, 2: «Troupes de joueuses de flûte, marchands de drogues, mendiants, comédiennes.»
[119]Le thème recevra tout son développement dans William Shakespeare . Voir aussi les chapitres retirés du roman et réservés pour L'Ame ( Proses philosophiques des années 1860-1865 , au volume Critique ) qui auraient pu prendre place ici. L'avant-dernier paragraphe de cette «digression» dit: «[…] il nous faut maintenant le bon déluge, le déluge de l'esprit. L'instruction primaire et secondaire à flots, la science à flots, la logique à flots, l'amour à flots […] et les erreurs et les idolâtries, et les exploitations, et les superstitions, et les immondices, et les mensonges, et les opprobres, disparaîtront dans cet immense lavage de l'humanité par la lumière.»
Читать дальшеИнтервал:
Закладка:
Похожие книги на «Les Misérables Tome III – Marius»
Представляем Вашему вниманию похожие книги на «Les Misérables Tome III – Marius» списком для выбора. Мы отобрали схожую по названию и смыслу литературу в надежде предоставить читателям больше вариантов отыскать новые, интересные, ещё непрочитанные произведения.
Обсуждение, отзывы о книге «Les Misérables Tome III – Marius» и просто собственные мнения читателей. Оставьте ваши комментарии, напишите, что Вы думаете о произведении, его смысле или главных героях. Укажите что конкретно понравилось, а что нет, и почему Вы так считаете.