Victor Hugo - Les Misérables Tome III – Marius

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Apparaissent deux nouveaux personnages: Gavroche, fils de Thénardier, qui incarne le gamin de Paris, et Marius Pontmercy, fils du colonel de Waterloo. Marius rejoint un groupe d'étudiants républicains…

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[29]Il est donc né en 1740. Ce personnage fait partie de la série que Hugo décide, en 1860, de «compléter». Exemple: «Insister sur les immoralités badines et cyniques du père Gillenormand.» (Carnet d'octobre 1860.) Nommé, en 1846, Esprit Charpentier, il devient, en 1860, Luc-Esprit Gillenormand, en souvenir peut-être des ancêtres bretons de Sophie, «Le Normand». Notons également, dans les carnets de Hugo, le 12 avril 1856, jour de l'achat de Hauteville-House, ces mots: «Voir la quittance G. Lenormand» et, le 13 mai 1856, le montant des honoraires pour la tractation signé Jean Le Normand .

[30]Actuel quartier de l'Europe, derrière la gare Saint-Lazare, célèbre, vers 1830, par son parc d'attractions et son bal.

[31]R. Journet signale ( Les Misérables , Garnier-Flammarion) que «vers 1845 Hugo a noté des propos assez bizarres de son barbier qui s'appelait Richy. Or, dans la liste des dames qui lui ont accordé à l'époque diverses faveurs, nous trouvons Mme Richy». On rencontrera dans le portrait de M. Gillenormand d'autres traits autobiographiques comme la possibilité de se passer de lunettes, ou la dentition intacte.

[32]La teinture éthérée de perchlorure de fer était utilisée dans le traitement des maladies vénériennes.

[33]Allusion à l'entreprise de Law qui avait fait de la rue Quincampoix le centre de la spéculation.

[34]Mot d'esprit sur un vers de Virgile ( Bucoliques , IV): « Si canimus sylvas, sylyae sint consule dignae »: «Si nous chantons les bois, que les bois soient dignes d'un consul.»

[35]On le retrouve et on le nomme, Marius, dès les chapitres qui suivent. Ils transposent dans celle de Marius l'enfance de Hugo lui-même; mais Gillenormand cumule des traits venus des deux parents: royalisme voltairien, froideur, opposition au mariage du fils viennent de Sophie; la maladresse d'une tendresse contrecarrée par l'appartenance politique et tardivement révélée après un long éloignement relèvent de Léopold dont la figure anime aussi l'image du colonel Pontmercy. Mais Hugo savait que son histoire familiale avait été celle de beaucoup d'autres «enfants du siècle».

[36]Cet émigré, devenu sous la Restauration conseiller général du Cher, auteur d'un opuscule politique et religieux, figure ici sans doute, parmi d'autres, pour son nom inconnu et ronflant que le Grand dictionnaire de P. Larousse lui-même ignore. Hugo avait songé à intituler ce chapitre «Mme de T., laquelle signifie peut-être Mme de P. ou Mme de C.».

[37]En 1815 l 'armée de Davout se retira derrière la Loire. Devant l'ordre d'arborer la cocarde blanche, la moitié des effectifs déserta. De là l'expression employée par les ultras de «brigand de la Loire», étendue à l'ensemble des soldats fidèles à Napoléon. Pour Hugo, dont le père s'était installé à Blois, en pays de Loire, cette appellation devait avoir une tonalité toute particulière.

[38]Auguste Romieu fit paraître, en 1851, un pamphlet Le Spectre rouge de 1852 destiné à accroître la peur du socialisme et à faire accepter le coup d'État. Châtiments déjà n'épargnait guère ce petit plumitif et nous retrouverons, chez les «amis de l'A.B.C.», cette dérision de la peur du rouge. L'expression désigne ici le père de Marius, le baron Pontmercy et avec lui Léopold Hugo, mais d'abord son fils Victor.

[39]Les carrières de Léopold Hugo et de G. Pontmercy sont donc identiques à leurs début et fin (engagement avant 1789, armée du Rhin, campagne d'Allemagne, mise en demi-solde). Mais Pontmercy concentre tous les hauts faits des armées impériales: voir plus loin Eylau, Waterloo où Léopold n'était pas.

[40]Louis avait fait aux Hugo le récit de ce combat reproduit dans le Victor Hugo raconté … (ouv. cit., p. 155-165) et repris dans le célèbre Cimetière d'Eylau de La Légende des siècles ( Nouvelle série, XXI, 4 – volume Poésie III).

[41]Louis XVIII ne reconnut pas non plus au général Hugo son grade ni son titre de comte, accordé par Joseph en juillet 1810.

[42]Dans la même église, et aussi «furtivement», Victor venait contempler Adèle Foucher que le veto de Sophie lui interdisait de voir et d'épouser en 1820. Leur mariage, qui eut lieu précisément à Saint-Sulpice en octobre 1822, fut l'occasion du premier rapprochement entre Hugo et son père. De même, le voyage à Vernon (chap. 7) emprunte à celui que Victor fit à Dreux en juillet 1821 pour voir Adèle et demander sa main à ses parents. Les retrouvailles posthumes de Marius et de son père seront donc le résultat d'une transposition complexe de l'expérience vécue.

[43]«Qu'ils reposent (en paix)!»: liturgie de la messe des défunts et de l'inhumation. Par-delà l'ironie, cette formule s'adresse aussi aux fantômes personnels de l'adolescence de Hugo qui dit ici adieu à l'univers de sa mère.

[44]Le poème des Contemplations (V, 3), Écrit en 1846 , est une réponse au «marquis de C. d'E.» par laquelle le poète justifie l'abandon des convictions royalistes de son enfance.

[45]Lamennais aurait conseillé à V. Hugo de prendre cet abbé comme confesseur (M.-F. Guyard).

[46]La charte de 1814 avait été datée par Louis XVIII de la dix-neuvième année de son règne, lequel avait «commencé» en 1795, à la mort de Louis XVII.

[47]S'agissant de Napoléon Ier, on ne sait qui est ce «quelqu'un». Mais, s'il s'agit de Napoléon III, alors on est sûr que c'est Victor Hugo – voir, par exemple, Châtiments , IV, 3, On loge à la nuit .

[48]5 septembre 1816: dissolution de la Chambre dite «introuvable». 8 juillet 1815: date du second retour de Louis XVIII à Paris, après les Cent-Jours.

[49]Ce souvenir maternel avoue le caractère autobiographique du texte, et confirme que le portrait de Marius qui suit est bien un autoportrait.

[50]C'est en 1827 que les relations devinrent tout à fait intimes entre V. Hugo et son père à qui il dédie, en décembre, Cromwell . Le Victor Hugo raconté … (ouv. cit., p. 423) précise: «Il [Léopold] était descendu avec sa femme me Plumet, dans le même quartier que ses fils. Le jeune homme [Victor] n'était guère de soir sans aller chez son père.» La mort du général, le 29 janvier 1828, mit brutalement fin à ces retrouvailles qui n'avaient duré que quelques mois: de juin 1827 à janvier 1828.

[51]Membre du «conseil de fabrique» ou administration d'une paroisse.

[52]Le comte Hugo, bien sûr.

[53]Paraphrase de la Genèse – «Et Dieu vit que cela était bon» – qui répond aux théories contre-révolutionnaires de J. de Maistre, voir II, 5, note 8.

[54]V. Hugo prit le titre de baron à la mort de son père, en 1828, puis celui de vicomte après celle d'Eugène en 1837, noblesse reconnue par Louis-Philippe au moment de sa nomination à la Chambre des Pairs.

[55]Ce Théodule devait s'appeler, primitivement, Ernest. On a déjà vu qu'Alfred était à la mode (I, 3, note 33) et Hugo ne devait guère aimer ce nom depuis que les deux Alfred – Vigny et Musset – s'étaient courageusement ralliés au second Empire.

[56]Victor Hugo suivit le même itinéraire pour aller à Dreux, l'été 1821, – voir plus haut note 43. Il fit étape à La Roche-Guyon, invité par le duc de Rohan, que l'on a entrevu dans l'épisode du couvent. Sur ce séjour, voir Victor Hugo raconté …, ouv. cit., p. 341-345.

[57]Cette scène, cette boîte et son contenu font beaucoup penser à la page du Rouge et le Noir où Julien cache sous son matelas le portrait de Napoléon légué par le chirurgien-major, et suscite les jalousies de Mme de Rénal et d'Elisa, sa femme de chambre (I, chap. 9).

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